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Le « pouvoir anesthésiant » de l'image ?

Publié le 13/08/2012

Extrait du document

En outre, il est vrai que des image peuvent nous inculquer une fausse vérité et être erronées. Peut-être ces images nous sont-elles présentées dans le but de nous abrutir et d'annihiler tout autre pensée de notre tête mais nous nous complaisons dans cette idée. En effet, en aucune manière nous ne cherchons à aller plus loin que les images qui nous sont présentées, nous nous satisfaisons de l'image du monde qui nous est offerte car elle est rassurante et c'est plus simple de l'accepter que de la combattre. Nous ne cherchons pas à nous révolter contre cette propagande (aussi bien politique que venant de la société de consommation), au contraire nous l'acceptons bien volontiers car elle nous rassure des craintes qui nous entoure par des mensonges choisis avec soin. Autrement dit, si le processus imaginé fonctionne convenablement, nous finissons tous avec la certitude qu'une paire de chaussure ou le GSM dernier cri qu'on a vu à l'arrêt du bus arrangera tous nos problèmes. Nous ne voulons donc pas prouver que ce que l'on voit est faux car on n'en a pas l'envie et il en résulte que tous le monde se complait dans le mensonge d'une réalité inexistante.

« de la réflexion et de la pensée est donc justifiée par le bon fonctionnement de la société. Ainsi donc des images peuvent être truquées, fausses ou encore mal interprétées et donc trompeuses.

Elles peuvent de surcroit servir « d'anesthésiant d'opinion » ennous inculquant une pensée préparé avec soin et par là être un objet de propagande redoutablement efficace qui nous transforme petit à petit en clone ou en robot dela société.

Mais on ne peut négliger que les principaux responsables de ces dangers sont nous-même qui nous complaisons dans ces mensonges rassurants, à larecherche d'un « guide bienveillant ».

De ce fait, nous pourrions donc affirmer qu'une remise en question de ces images et une prise de recul par rapport à ellespourraient avoir raison de ces dangers et enlèveraient tout pouvoir néfaste à ces images.

La question qui se pose alors serait est-ce que la société est prête pour serendre compte qu'on la manipule et est-elle prête à s'émanciper?. »

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