Pouvons-nous comprendre une civilisation étrangère ?

« laisser aller et d'accepter certains principes.

Mais comment pouvons-nous nous défaire de cette peur de lanouveauté, de l'étranger ? La nouveauté peut vraiment représenter un autre monde à l'égard d'un être humain, c'estpourquoi il peut vraiment être dur de comprendre une civilisation étrangère, cela reste toujours étranger à notreculture et nous pouvons nous demander s'il est possible de se sentir comme dans sa civilisation d'origine dans unecivilisation étrangère, si nous pouvons nous y retrouver.

En effet, comme nous le disions plus haut, c'est ancré ennous, et cela reste à difficile à changer.

C'est un obstacle de plus à l'acceptation et la compréhension d'unecivilisation étrangère.

Par ailleurs, nous pouvons nous demander si voyager dès notre enfance nous permettrait d'acquérir d'autrescultures.

En effet, nous avons du mal à comprendre une civilisation étrangère car comme nous le disions, ce n'estpas la nôtre, c'est nouveau pour nous.

Et c'est en grandissant et en évoluant que notre culture est de plus en plusmarquée, ancrée.

Ainsi, les voyages dès notre plus tendre enfance ne pourraient-ils pas nous « sortir de notremonde » ? Imaginons que lors de notre première année de vie, nous allions par exemple en Italie.

Dans ce pays, lesgens sont accueillants et chaleureux.

Y passer un moment nous permettrait d'inclure ces traits de caractèredirectement dans notre culture et dans notre personnalité.

Nous pouvons penser que plus nous sommes jeunes, etplus il est facile d'apprendre des choses.

Ainsi découvrir un tas de culture nous offrirait la possibilité de les ancrer ennous.

Il faut nécessairement beaucoup voyager.

Admettons que nous enchainions ensuite avec l'Afrique.

Sur cecontinent, les gens sont plutôt nécessiteux.

Nous pouvons donc penser qu'ils s'entraident comme ils se comprennentet sont ainsi pour la plupart sur le même pied d'égalité.

Ainsi, passer quelque temps dans ce pays nous permettraitd'aider nos prochains et de rayer l'égoïsme de notre culture et nos façons de penser.

Ces cultures africaine etitalienne auront chacune prise une place en nous, et nous serions ainsi touchés jeunes.

Nous pourrions doncconsidérer que nous aurions acquis une partie des ces cultures.

Après de multiples voyages dans d'autres pays,supposons que nous terminions par le Japon.

A ce moment, nous serions donc un peu plus âgés et en âge decomprendre le monde du travail et d'y entrer.

Nous pourrions travailler quelques mois dans ce pays et, de cettefaçon, acquérir les manières de travailler des Japonnais, les normes et les habitudes.

Nous savons par exemple queles Japonais sont très stricts au niveau du travail, des performances et du respect pour son employeur.

Au boutd'un certain temps, nous aurions acquis ces façons de faire dans le monde du travail.

En fait, nous aurions acquisune partie de chaque civilisation dans lesquelles nous sommes allés vivre.

Cela nous donnerait ainsi un « mélange »de cultures, ce qui peut être quelque chose de très intéressant.

Nous avons constaté que le fait de comprendre une culture différente ne nous est pas impossible malgré certainsobstacles.

Acquérir une autre culture est également envisageable grâce à un goût pour l'aventure.

Nous pouvonsaussi nous demander si ces barrières sont les mêmes pour chaque civilisation.

Proviennent-elles toutes del'éducation ? Sujet désiré en échange : L'oeuvre d'art est-elle une oeuvre de son temps?. »