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Prévision et prévention des catastrophes naturelles

Publié le 26/03/2012

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Depuis les temps les plus reèulés, les tempêtes et les inondations ont occasionné beaucoup de douleur et de misère. Les gens ont bien été obligés de chercher des moyens de se protéger. Il a été prévu plus de moyens de défense contre les tempêtes et les inondations que pour les autres catastrophes. naturelles. La sécurité offerte par les projets imaginés augmente de pair avec le développement de la technique. Il apparaît malheureusement qu'il n'existe aucun moyen efficace de protection contre la force destructrice d'un raz de marée.

« Ci-dessus: La bande de terrain située de part et d'autre du Nil, étroite mais fertile, démontre l'utilité d'une inondation.

Dans le cas présent, le fleuve dépose chaque année une· couche de limon très fertile sur les ter­ rains de culture.

A droite: Des pluies torrentielles peuvent occasionner, sur des terrains plats et secs, des inondations éclair, comme ce fut le cas ici, à Brisbane en Australie .

Le sol asséché ne parvient pas à absorber assez rapidement une si grande quantité d'eau, mais les situations se rétablissent rapide­ ment, et le niveau d'humidité du sol se normalise.

une fois près de la moitié de notre planète.

Les satellites survolent l'équateur à la même vitesse que la terre tour­ nant autour de son axe.

Ces satellites restent toujours à la même place dans l'espace.

Ils exaucent le souhait des météorologues: 'Un oeil fixe qui ne cligne pas serait l'oeil météorologique idéal'.

On distingue les typhons d'une même saison, en leur don­ nant des noms féminins.

Une liste de vingt-six noms a été constituée.

Le premier cyclone de l'année porte un nom qui com­ mence par A, le deuxième par B et ainsi de suite.

Par saison, il y a rarement plus de dix cyclones, bien qu'en 1950 et 1961, il y en eut onze .

En 1914, il n'y en eut pas un seul.

Si un nom a été utilisé pour désigner un cyclone particulier, il ne sera plus utilisé pendant les dix années suivantes .

Ce fut le cas pour Diane, en 1955, qui passa de la Caroline du Nord au Massachusets et causa des dégâts pour cinquante milliards de dollars.

En outre, le pays imbibé par les pluies, subit encore une inondation supplémentaire.

Le cyclone qui traversa la Floride en octobre 1947, se déplaçait tout d'abord au-dessus de l'océan Atlantique.

Il y a des opinions différentes sur ce qui se passa ensuite.

Il semble qu'après que l'on eut essayé de le contenir, en l'arrosant de cristaux de sel iodé, il amorça un tournant qui le ramena vers les côtes des Etats-Unis.

L'Etat de Georgie subit des dégâts pour 3 millions de dollars.

Une autre proposition destinée à combattre les cyclones consisterait à empêcher leur formation.

Les cyclones, pour se produire, ont besoin de chaleur.

S'il était possible d'apporter de l'eau froide à la surface de la mer, au­ dessous de l'endroit où le cyclone en est encore à son pre­ mier stade de formation, on pourrait ainsi empêcher son développement ultérieur.

Mais, même si on découvrait la manière de prévoir et d'anéantir sans danger les cyclones au-dessus de la mer, on pourrait se demander s'il serait sage de les appliquer.

L'écrivain anglais Frank Lane établit, dans son livre The Element Rage (Les éléments en fureur), qu'en 1966 la question suivante était à l'ordre du jour: 'Peut-être des dommages encore plus grands pourraient en résulter.

Les cyclones semblent avoir un rôle important dans la circu­ lation de l'atmosphère et dans le maintien de l'équilibre thermique.

Que pourrait-il advenir si l'on parvenait à bannir entièrement les cyclones? Qui le sait? Il peut être extrêmement dangereux d'agir sur les forces naturelles'.

Bref, il est désagréable d'être pris dans un cyclone.

Lorsqu'on est fouetté par des vents de 160 km à l'heure, et que l'on se noie dans une pluie presque continue, il est naturel que l'on maudisse les forces de la nature.

Mais on oublie que la pluie est très utile et qu'elle nous est indis­ pensable.

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