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La Psychologie de l’enfant

Publié le 16/07/2012

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* Importance de la communication avec les parents, et avec l’enfant. La communication verbale doit être adaptée à l’enfant, claire, mémorisable (phrases courtes), et sincère (toujours tenir ses promesses pour ne pas perdre la confiance de l’enfant). De plus, il faut savoir écouter l’enfant pour répondre à ses éventuelles questions et dissiper ses craintes. La communication non verbale est capitale, notamment chez les moins de 3 ans (compréhension orale limitée) : elle passe par la voix, la mimique, le regard, et la gestuelle. * Attitude : * Tout commence dans la salle d’attente. Elle doit être accueillante, avec un coin dédié aux enfants. L’attente ne doit pas être trop longue, afin de limiter l’énervement des parents et d’éviter d’augmenter l’anxiété de l’enfant. * Les heures des rendez-vous doivent être adaptées à l’enfant : mercredi (jour des enfants), en début de matinée (l’enfant n’a pas faim) ou en fin d’après-midi (reposé après la sieste). * Lors de la 1e consultation, montrer le fauteuil à l’enfant et les différents instruments (sauf seringue) en lui expliquant à quoi ils servent avec des termes imagés. Ceci permet de le mettre en confiance pour la prochaine séance de soins. Eviter les soins au 1e rendez-vous, sauf en cas d’urgence.

« présence est souhaitable pour les enfants de moins de 6 ans afin qu’ils aient une présence familiale rassurante.

Au-delà, il est préférable que les parents attendentdans la salle d’attente (mais pas toujours applicable, car il y a risque d’accusation diverses par les parents envers le praticien).

Les parents difficiles doivent êtrerassurés autant voire plus que les enfants sur les soins qui vont être faits, par des informations simples.* Le praticien :* Importance de la communication avec les parents, et avec l’enfant.

La communication verbale doit être adaptée à l’enfant, claire, mémorisable (phrases courtes), etsincère (toujours tenir ses promesses pour ne pas perdre la confiance de l’enfant).

De plus, il faut savoir écouter l’enfant pour répondre à ses éventuelles questions etdissiper ses craintes.

La communication non verbale est capitale, notamment chez les moins de 3 ans (compréhension orale limitée) : elle passe par la voix, lamimique, le regard, et la gestuelle.* Attitude :* Tout commence dans la salle d’attente.

Elle doit être accueillante, avec un coin dédié aux enfants.

L’attente ne doit pas être trop longue, afin de limiter l’énervementdes parents et d’éviter d’augmenter l’anxiété de l’enfant.* Les heures des rendez-vous doivent être adaptées à l’enfant : mercredi (jour des enfants), en début de matinée (l’enfant n’a pas faim) ou en fin d’après-midi (reposéaprès la sieste).* Lors de la 1e consultation, montrer le fauteuil à l’enfant et les différents instruments (sauf seringue) en lui expliquant à quoi ils servent avec des termes imagés.Ceci permet de le mettre en confiance pour la prochaine séance de soins.

Eviter les soins au 1e rendez-vous, sauf en cas d’urgence.* Une séance doit être courte.

Il faut rappeler et expliquer simplement à l’enfant ce qui va être fait : dire, montrer, faire.

Il est possible de le faire participer en luiconfiant des missions, ou de le distraire (musique, histoire, respiration).

Il faut finir sur un rapport gagnant-gagnant, et valoriser ses réussites.* Il faut une maitrise parfaite de la douleur = technique d’anesthésie adéquate et sédation consciente si nécessaire (prémédication ou MEOPA).

Le praticien doit êtresouple en adaptant le plan de traitement en fonction de l’enfant, cependant il doit savoir faire preuve de suffisamment d’autorité pour accomplir les soins qui ont étédécidés. Les variations inter-enfants (éducation, milieu socio-culturel, personnalité, handicap) et intra-enfants (évolution avec l’âge) obligent le praticien à faire preuve d’unegrande capacité d’adaptation, de patience, et d’empathie, afin d’apprivoiser l’enfant et ses parents.

En effet, le comportement des parents conditionne directementl’attitude de l’enfant : il faut donc les sensibiliser à l’importance de la prévention et des soins bucco-dentaires, afin qu’ils transmettent ses valeurs à leurs enfants.

Parailleurs, l’enfant d’aujourd’hui est l’adulte de demain : il est primordial de le familiariser précocement avec la santé bucco-dentaire, afin qu’il prenne et garde debonnes habitudes à l’âge adulte, et qu’il transmettra lui-même à ses enfants (meilleure des préventions).. »

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