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San benardino, commentaire

Publié le 23/01/2013

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Le sujet de ce commentaire est un poème intitulé San Bernardino extrait du recueil 'Débarcadères' . qui est publié en 1922 qui est une des oeuvres majeure de Jules Supervielle, poète et écrivain français né le 16 janvier 1884 à Montevideo en Uruguay d'un père béarnais et d'une mère basque et qui meurt le 17 mai 1960 à l'âge de 76 ans à Paris. Reconnu par d'autres poètes, il est élu Prince des poètes en 1960. Jules Supervielle est considéré comme l'une des plus grandes figures de la poésie contemporaine française. San Bernardino est un poème qui se compose de 3 strophes : 1 strophe de 9 vers, une strophe de 11 vers et un distique final. Ce poème évoque les souvenirs et les sentiments du poète. En quoi le désir d'ailleurs relève-t-il pour le poète d'un besoin et quelle en est la nature de ce besoin ? Dans ce poème, le titre est évocateur, car il se trouve que San Bernardino est une ville espagnole. Supervielle a donc décidé d'écrire sur un lieu e...

« mots « aurai » et « visiterez ».

Il utilise également le vocabulaire du souvenir avec la répétition du mot « mémoire » (vers 1 et 2) qui est une écholalie sonore et qui évoque un passé heureux, sans nuages qu’il souhaiterait peut-être retrouver.

Ses souvenirs sont personnifiés par l’utilisation de ‘vous’ et sa mémoire est comparée métaphoriquement à un coffre-fort.

Le poète semble se chercher à travers ce voyage, se persuader que ce voyage est idéal.

Il est en quête d’une certaine stabilité spatiale et temporelle. On remarque que le poète semble apaisé, comme arrivé à son but, au terme de son voyage spirituel car au vers 19 il dit être ‘arrivé’ après de multiples voyages, pour cela il a utilisé du passé composé mais on remarque que ce n’est pas définitif car dans le vers 20 Supervielle parle d’appareillement qui marque une limite de temps.

Cependant le ‘voyage’ s’apparente non seulement à un voyage physique mais également à un voyage spirituel car le champ lexical du ciel est présent : « infini » (vers 17), « heures égales » (vers 21), « âme » (vers 16).

Puis, l’élan vertical vers le ciel fait penser à un horizon sans fin.. »

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