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Le scarabée d'or d'Edgar Allan Poe

Publié le 30/12/2012

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AUTEUR Edgar Allan Poe (Boston, 19 janvier 1809 - Baltimore, 7 octobre 1849) est un poète, romancier, nouvelliste, critique littéraire, dramaturge1 et éditeur américain, ainsi que l'une des principales figures du romantisme américain. Connu surtout pour ses contes -- genre dont la brièveté lui permet de mettre en valeur sa théorie de l'effet, suivant laquelle tous les éléments du texte doivent concourir à la réalisation d'un effet unique -- il a donné à la nouvelle ses lettres de noblesse et est considéré comme l'inventeur du roman policier. Nombre de ses récits préfigurent les genres de la science-fiction et du fantastique. Né à Boston, Edgar Allan Poe perd ses parents, David Poe Jr. et Elizabeth Arnold, dans sa petite enfance ; il est recueilli par John et Frances Allan de Richmond, en Virginie, où il passe l'essentiel de ses jeunes années, si l'on excepte un séjour en Angleterre et en Écosse, dans une aisance relative. Après un bref passage à l'Université de Virginie et des tentatives de carrière militaire, Poe quitte les Allan. Sa carrière littéraire débute humblement par la publication anonyme d'un recueil de poèmes intitulés Tamerlan et autres poèmes (1827), signés seulement « par un Bostonien «. Poe s'installe à Baltimore, où il vit auprès de sa famille paternelle et abandonne quelque peu la poésie pour la prose. En juillet 1835, il devient rédacteur-assistant au Southern Literary Messenger de Richmond, où il contribue à augmenter les abonnements et commence à développer son propre style de critique littéraire. La même année, à vingt-sept ans, il épouse sa cousine germaine Virginia Clemm, alors âgée de 13 ans. Après l'échec de son roman Les Aventures d'Arthur Gordon Pym, Poe réalise son premier recueil d'histoires, les Contes du Grotesque et de l'Arabesque, en 1839. La même année, il devient rédacteur au Burton's Gentleman's Magazine, puis au Graham's Magazine à Philadelphie. C'est à Philadelphie que nombre de ses oeuvres parmi les plus connues ont été publiées. Dans cette ville, Poe a également projeté la création de son propre journal, The Penn (plus tard rebaptisé The Stylus), qui ne verra jamais le jour. En février 1844, il déménage à New York, où il travaille au Broadway Journal, un magazine dont il devient finalement l'unique propriétaire. En janvier 1845, Poe publie Le Corbeau, qui connaît un succès immédiat. Mais, deux ans plus tard, son épouse Virginia meurt de la tuberculose le 30 janvier 1847. Poe envisage de se remarier, mais aucun projet ne se réalisera. Le 7 octobre 1849, Poe meurt à l'âge de 40 ans à Baltimore. Les causes de sa mort n'ont pas pu être déterminées et ont été attribuées diversement à l'alcool, à une drogue, au choléra, à la rage, à une maladie du coeur, à une congestion cérébrale, etc. L'influence de Poe a été et demeure importante, aux États-Unis comme dans l'ensemble du monde, non seulement sur la littérature, mais également sur d'autres domaines artistiques tels le cinéma2 et la musique, ou encore dans des domaines scientifiques3. Bien qu'auteur américain, il a d'abord été reconnu et défendu par des auteurs français, Baudelaire et Mallarmé en tête. La critique contemporaine le situe parmi les plus remarquables écrivains de la littérature américaine du XIXe siècle. Edgar Allan Poe résida à Fort Moultrie de 1827 à 1828 sur l'île Sullivan dans le comté de Charleston (Caroline du Sud) où se déroule l'intrigue. Plusieurs rues portent aujourd'hui le nom de ses nouvelles et poèmes (Raven drive, GoldBug Drive ...) et la bibliothèque a été nommée en son honneur. La trame romanesque sur laquelle se base la nouvelle continue également de motiver les chasseurs sur les traces d'un trésor enfoui dans la région. ELEMENTS SUR LA NOUVELLE Le Scarabée d'or (The Gold Bug) est une nouvelle d'Edgar Allan Poe, parue en juin 1843 dans le journal de Philadelphie Dollar Newspaper. Poe a gagné un concours organisé par le journal et reçu un prix de 100 dollars, ce qui représente le montant le plus élevé que l'écrivain ait touché pour une nouvelle publiée1. C'est également le texte le plus largement lu du vivant de l'auteur2. La nouvelle popularisa la cryptographie auprès du grand public tout en établissant la réputation de cryptographe hors pair de l'écrivain aux yeux de ses contemporains3. Elle a été reprise dans de nombreux journaux et publications et fut traduite en français par Charles Baudelaire et publiée dans le recueil des Histoires extraordinaires. L'intrigue Dans cette nouvelle, William Legrand, trouve un magnifique scarabée doré sur l'île Sullivan en Caroline du Sud où ce fils de bonne famille déchu est venu fuir la misère. Apparemment en or massif, le scarabée va tourmenter son esprit jusqu'à l'obsession. Accompagné par son fidèle serviteur Jupiter et suivi par son ami narrateur, Legrand se lance, après de multiples péripéties engendrées par la découverte du scarabée, à la poursuite du trésor du célèbre Cap'tain Kidd dans une étrange chasse préfigurant L'Île au trésor de Stevenson. La découverte d'un message mystérieux sur une esquisse griffonnée sur un vieux parchemin engendre pour les protagonistes une série de rebondissements qui mêle suspense et cryptologie. METHODE ANALYTIQUE Le concept de méthode tire son origine du vocable grec methodos (« chemin « ou « voie «) et désigne le moyen employé pour parvenir à des fins. La méthode scientifique désigne donc l'ensemble des démarches nécessaires pour obtenir des connaissances valides (scientifiques) par le biais d'instruments fiables. Cette méthode a pour but de protéger le chercheur de la subjectivité. La méthode scientifique est basée sur la reproduisibilité (la capacité de répéter une expérience donnée n'importe où et par n'importe quelle personne) et la falsifiabilité ou la réfutabilité (toute proposition scientifique est susceptible d'être réfutée). Outre les démarches nécessaires conformant la méthode scientifique, il y a lieu de mentionner l'observation (qui consiste à appliquer les sens à un objet ou à un phénomène pour l'étudier tel qu'il se présente en réalité), l'induction (action et effet d'extraire depuis certaines observations le principe particulier de chacune d'entre elles), l'exposé de l'hypothèse (au moyen de l'observation), la démonstration ou réfutation de l'hypothèse, et la présentation de la thèse ou la théorie scientifique. Parmi les divers types de méthodes scientifiques, nous retiendrons la méthode empirique analytique (basée sur la logique empirique, en distinguant les éléments d'un phénomène et en revoyant chacun d'entre eux, individuellement), la méthode expérimentale (qui comprend la méthode hypothétique déductive, la méthode de l'observation scientifique et la méthode du mesurage / de la mesure physique), la méthode herméneutique (qui étudie la cohérence interne des textes), la méthode dialectique (qui considère les phénomènes historiques et sociaux en mouvement continu), la méthode phénoménologique (connaissance accumulative) et la méthode historique (associée à la connaissance des différentes étapes des objets dans leur succession chronologique). L'induction est historiquement le nom utilisé pour signifier un genre de raisonnement qui se propose de chercher des lois générales à partir de l'observation de faits particuliers, sur une base probabiliste. Remarque : Bien qu'associée dans le titre de cet article à la logique, la présentation qui suit correspond surtout à la notion « philosophique « de l'induction. En effet, en mathématiques, en logique et en informatique, l'induction complète, aujourd'hui très souvent abrégée en induction, est une autre façon de désigner la récurrence, aussi bien le raisonnement par récurrence que les définitions par récurrence. Le terme est souvent employé pour les généralisations de la récurrence aux bons ordres et aux relations bien fondées Savoir-faire technique de l'écrivain. Le récit Le Scarabée d'or tiré des Histoires extraordinaires d'Edgar Allan Poe présente la cryptologie sous quelques-uns de ses aspects. La nouvelle publiée en 1843 dans le Philadelphia's Dollar Newspaper popularisa la cryptographie auprès du grand public et contribuera à établir la réputation de cryptographe hors pair de l'écrivain aux yeux de ses contemporains 1. Outre le suspense et l'étrange ambiance de cette histoire, la cryptographie, autant que la cryptanalyse sont illustrées à partir d'un seul exemple simple, coeur de l'intrigue : un vieux parchemin très mince et sale, supposément écrit par le capitaine Kidd -- pirate renommé -- et découvert par William Legrand, héros de l'histoire. Stéganographie Ce document semblait vierge puis, par un concours de circonstances, le dessin d'un crâne est apparu à la grande surprise des protagonistes du récit. Cette apparition est l'illustration d'une technique stéganographique très populaire dite de « l'encre invisible «. Ici, comme souvent, c'est l'action de la chaleur qui révèle le message et Poe, par son héros, explique deux méthodes de fabrication d'une encre permettant d'obtenir ce résultat : « ...le safre2, digéré dans de l'eau régale et délayé dans quatre fois son poids d'eau ; il en résulte une teinte verte. « « Le régule de cobalt3, dissous dans l'esprit4 de nitre, donne une couleur rouge. « Ces substances voient leur couleur disparaître en refroidissant, mais réapparaître aussitôt en présence de chaleur. Ces formules chimiques anciennes utilisent un vocabulaire plutôt alchimique qui renforce d'autant aujourd'hui l'aspect cryptique de ces procédés. Un autre dessin finira par apparaître suite à une application plus homogène et soutenue de chaleur sur le parchemin : un chevreau. Baudelaire, dans sa traduction parle de « signature logogriphique5 « alors que Poe utilise les termes de hieroglyphical signature. Il s'agirait donc plutôt d'une signature logographique, puisque cette figure amène Legrand à penser que le document fut écrit par le capitaine Kidd ; en effet « chevreau « se dit « kid « en anglais6. On retrouve déjà en 1838 ce procédé, et l'emploi du terme hieroglyphical, utilisé par l'écrivain dans la note 7 en forme d'épilogue qui referme le récit des Aventures d'Arthur Gordon Pym et déroutera les lecteurs comme les commentateurs de Poe 8. Cryptanalyse Le savoir-faire technique de l'écrivain Dès 1839, Poe s'intéresse à une méthode rigoureuse destinée à résoudre ou concevoir des énigmes et, dans une réponse adressée à un lecteur du journal Alexander's Weekly Messenger, il affirme qu'il existe des règles qui permettent de déchiffrer facilement toute écriture hiéroglyphique utilisant au hasard n'importe quelles marques au lieu des lettres alphabétiques9. Poe lance un défi aux lecteurs du journal, se déclarant capable de décrypter n'importe quel code par substitution monoalphabétique qui lui serait soumis et de fait, il en décrypte sans mal plusieurs dizaines, suscitant au fil des mois l'admiration du public10. Au mois d'avril 1840 paraît dans le même journal un code plus complexe que les précédents, où le même caractère codé recouvre deux lettres différentes : C'WW WPB VKI WPYKIY UN BI VKONJC'WW NZV BI VU VKI XIEB DZCNJPFL WPJI BI YVPEVIPNK AUWWB YKPWW EINIOXI MB YVCFLIPNK UCNI ZFVU MB AIIV CWW GECFLPFL MPJI CV YMPEV. Un autre est adressé à l'écrivain-reporter qui contient des signes arbitraires et des figures se substituant aux différentes lettres de l'alphabet11: 8n( )h58td w!O bt !x6ntzk65 !nz k65,81tn bhx 8ndhPxd !zw8x 6k n6?6w--tud !x86n; x=tOzt55!zt x=t w8nz8n 8xd 62n tdXttw !nz k65 ?t 8x x65t36 t5 8xd Pt ?tP b3 5t ?tUst.() hn8hd. Qu'importe, Poe en vient à bout dans les deux cas et y trouve l'inspiration d'un récit didactique sur ce thème et l'opportunité d'attiser l'engouement de ses lecteurs :« Nous maintenons délibérément que l'ingéniosité humaine ne peut pas concocter un code secret que l'ingéniosité humaine ne puisse résoudre «12. En juillet 1841, Poe expose ses techniques dans un article intitulé « Quelques mots sur l'écriture secrète « qui préfigure la méthode de décryptage exposée dans le Scarabée d'or13. En 1843, Poe retranscrit finalement son expérience sous forme aventureuse dans le Scarabée d'or qui demeure, avec les cryptogrammes de Voyage au centre de la terre et de La Jangada, romans de Jules Verne, le texte le plus abouti en termes de cryptographie romanesque. Le héros, en apparence rendu fou par la morsure d'un scarabée d'or, découvre un trésor dans des conditions rocambolesques qui s'avèrent en définitive complètement rationnelles. METHODE ANALYTIQUE DU POINT DE VUE DES PERSONNAGES « je sentis luire en moi par degrés une conviction qui me frappa bien autrement encore que cette coïncidence « ; « il me sembla poindre une faible lueur dans les régions les plus profondes et les plus secrètes de mon entendement, une conception embryonnaire de la vérité «, « je me livrai à une investigation un peu plus méthodique de la chose «, « je voulus comprendre de quelle manière ce parchemin était tombé dans mes mains «. « Quand je m'en emparai [scarabée], il me mordit cruellement, et je le lâchai. Jupiter ramassa le parchemin, enveloppa l'insecte et me le donna. Peu de temps après, nous rencontrâmes le lieutenant G...Je lui montrai l'insecte, il le fourra dans la poche de son gilet sans le parchemin, sans y penser, j'ai remis le parchemin dans ma poche. Lorsque je m'assis à la table pour faire un croquis du scarabée, je ne trouvai pas de papier à l'endroit où on le met ordinairement. Je cherchais dans mes poches, espérant trouver une vieille lettre, quand mes doigts rencontrèrent la parchemin « « Je vous détaille toute la série de circonstances qui l'ont jeté dans mes mains « « J'avais uni deux anneaux d'une grande chaîne « « Un bateau échoué à la côte, et non loin de ce bateau un parchemin portant l'image d'un crâne « « le crâne ou la tête de mort est l'emblème bien connu des pirates « « Arrivé à ce point de mes réflexions, je m'appliquai à me rappeler tous les incidents survenus dans l'intervalle en question. La température était froide, oh ! l'heureux, le rare accident !- et un bon feu flambait dans la cheminée. Vous, vous aviez tourné votre chaise tout près de la cheminée. Mon terre neuve entra. Vous le caressiez avec la main gauche, et vous cherchiez à l'écarter, en laissant tomber votre main droite, celle tenant le parchemin tout près du feu. Vous savez bien qu'il y a eu -il y en a eu de tout temps,- des préparations chimiques, au moyen desquelles on peut écrire sur du papier ou du vélin des caractères qui ne deviennent visibles que lorsqu'ils sont soumis à l'action du feu. On emploie quelquefois le safre, digéré dans l'eau régale et délayé dans quatre fois son poids d'eau ; il en résulte une teinte verte. Le régule de cobalt, dissous dans l'esprit de nitre, donne une couleur rouge. Ces couleurs disparaissent plus ou moins longtemps après que la substance sur laquelle on a écrit s'est refroidie, mais reparaissent à volonté par une application nouvelle de la chaleur. J'allumai immédiatement du feu, et je soumis chaque partie du parchemin à une chaleur brûlante. Je vis apparaître, dans un coin de la bande, au coin diagonalement opposé à celui où était tracée la tête de mort, une figure que je supposai d'abord être celle d'une chèvre. Mais un examen plus attentif me convainquit qu'on avait voulu représenter un chevreau. Vous avez sans doute entendu parler peut-être d'un certain capitaine Kidd. Je considérai tout de suite la figure de cet animal comme une espèce de signature logogryphique ou hiéroglyphique (kid=chevreau). Quant à la tête de mort placée au coin diagonalement opposé, elle avait l'air d'un sceau, d'une estampille. Et puis cette série d'accidents et de coïncidences était vraiment si extraordinaire ! Avez-vous remarqué tout ce qu'il y a de fortuit là-dedans ? Il a fallu que tous ces événements arrivassent le seul jour de toute l'année où il a fait, où il a pu faire assez froid pour nécessiter du feu ; et sans ce feu, et sans l'intervention du chien au moment précis où il a paru, je n'aurais jamais eu connaissance de la tête de mort, et n'aurais jamais possédé ce trésor. Il est notoire que Kidd avait accumulé d'immenses richesses. Je considérais que la terre les gardait encore et le parchemin contiendrait l'indication disparue du lieu du lieu où avait été fait le dépôt. Je nettoyai soigneusement le parchemin en versant de l'eau chaude dessus, puis je le plaçai dans une casserole de fer-blanc, le crâne en dessous, et je posai la casserole sur un réchaud de charbons allumés. Au bout de quelques minutes, la casserole étant parfaitement chauffée, je retirai la bande de vélin, et je m'aperçus qu'elle était mouchetée en plusieurs endroits de signes qui ressemblaient à des chiffres rangés en lignes. Legra...

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« Le Scarabée d'or ( The Gold Bug ) est une nouvelle d' Edgar Allan Poe , parue en juin 1843 dans le journal de Philadelphie Dollar Newspaper . Poe a gagné un concours organisé par le journal et reçu un prix de 100 dollars, ce qui représente le montant le plus élevé que l'écrivain ait touché pour une nouvelle publiée 1 .

C'est également le texte le plus largement lu du vivant de l'auteur 2 . La nouvelle popularisa la cryptographie auprès du grand public tout en établissant la réputation de cryptographe hors pair de l'écrivain aux yeux de ses contemporains 3 .

Elle a été reprise dans de nombreux journaux et publications et fut traduite en français par Charles Baudelaire et publiée dans le recueil des Histoires extraordinaires . o L'intrigue Dans cette nouvelle, William Legrand, trouve un magnifique scarabée doré sur l'île Sullivan en Caroline du Sud où ce fils de bonne famille déchu est venu fuir la misère.

Apparemment en or massif, le scarabée va tourmenter son esprit jusqu'à l'obsession. Accompagné par son fidèle serviteur Jupiter et suivi par son ami narrateur, Legrand se lance, après de multiples péripéties engendrées par la découverte du scarabée, à la poursuite du trésor du célèbre Cap'tain Kidd dans une étrange chasse préfigurant L'Île au trésor de Stevenson .

La découverte d'un message mystérieux sur une esquisse griffonnée sur un vieux parchemin engendre pour les protagonistes une série de rebondissements qui mêle suspense et cryptologie .

METHODE ANALYTIQUE Le concept de méthode tire son origine du vocable grec methodos (« chemin » ou « voie ») et désigne le moyen employé pour parvenir à des fins. La méthode scientifique désigne donc l’ensemble des démarches nécessaires pour obtenir des connaissances valides (scientifiques) par le biais d’instruments fiables.

Cette méthode a pour but de protéger le chercheur de la subjectivité.. »

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