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le sida

Publié le 24/05/2013

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Les trois modes de transmission du VIH ont chacun leurs particularités : par voie sexuelle, par voie sanguine et durant la grossesse. La plupart des infections par le VIH ont été ou sont encore acquises à l'occasion de rapports sexuels non protégés. La transmission sexuelle se fait par contact entre les sécrétions sexuelles (ou du sang contaminé par le virus) et les muqueuses génitales, rectales ou buccales. La probabilité de transmission varie selon le type de rapport sexuel avec une personne infectée entre 0,005 % et 0,5 % par acte sexuel6. Le meilleur moyen de protection contre le VIH dans ce mode de transmission est le préservatif. Suite à la synthèse de plusieurs études, il a été montré que l'usage du préservatif lors de chaque rapport et de manière correcte fait baisser le risque d'infection de 85 %7. Le mode de contamination par voie sanguine concerne tout particulièrement les usagers de drogues injectables, les hémophiles et les transfusés. Les professionnels de santé (soins infirmiers, laboratoires) sont aussi concernés, bien que plus rarement. Il ne faut pas négliger les risques de contamination par aiguilles souillées et non ou mal désinfectées (tatouages). La probabilité de transmission varie entre 0,67 % pour le partage de seringue avec un toxicomane séropositif au VIH et 90 % pour la transfusion sanguine avec du sang contaminé6. La transmission mère-enfant du virus peut survenir in utero dans les dernières semaines de la grossesse, et au moment de l'accouchement. À noter une tendance à la fauss...

« la survie des enfants.

Actuellement, les traitements disponibles alliés à une césarienne programmée ont réduit ce taux à 1 %12.

Les résultats sont plus mitigés dans les pays en voie de développement13,14, le risque de transmission postnatale diminuant grâce à l'utilisation de la Névirapine jusqu'à 13 % selon HIVNET012, 18 % selon Quaghebeur et al.   Langue et style :   Langue : Rousseau utilise souvent une orthographe un peu archaïque, résistant à l'évolution de la langue à laquelle on assiste au XVIII° siècle (dans l'édition de Jacques Voisine, l'orthographe a été modernisée).

Il a aussi un penchant pour les néologismes : « venturiser », « maman toujours projetante », des souvenirs bien rappelants » : création d'un verbe à partir d'un nom propre, d'un adjectif à partir d'un participe présent.    La langue de Rousseau est assez classique : style noble, usage récurrent du superlatif, tendance à l'abstraction, peu d'épithètes descriptives dans l'évocation des paysages.

Ce sont des traits de l'écriture classique héritée du XVII° siècle.    L'art de Rousseau réside plutôt dans la vivacité, la concision, la simplicité du récit.

D'où l'utilisation de propositions brèves et du présent de narration dans les moments importants.

Rousseau prend souvent à témoin le lecteur, aiguise sa curiosité, par des formules comme « qui croirait que », « croirait-on que ».    Par ailleurs, on trouve différents styles dans les Confessions :  -  Oraison funèbre à l'occasion de la mort de Mme de Warens : « allez, âme douce et bienfaisante » (livre XII).. »

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