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Les Soins d'urgence

Publié le 31/05/2012

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Souvenez-vous que les soins d'urgence nécessitent des connaissances précises et de l'entraînement. Si vous n'êtes pas sûr de vous, demandez conseil à une personne expérimentée et appelez immédiatement la police, les pompiers, le SAMU ou une ambulance. Pensez aussi éventuellement à acquérir une formation. De nombreux hôpitaux offrent d'excellentes séances d'entraînement aux soins d'urgence. Vous pourriez ainsi vous aussi sauver des viesl

« par d es o rdin ate urs: il s 'agit d 'un électrocardio ­ g ra mm e ( E C G ) pour le cœ ur e t d ' un électroencé­ pha logramm e (EEG ) pour le cerveau.

Les problèmes respiratoires Ap r è s une o péra tio n imp ortante, des diffi cult és respir ato ires p u vent fa ir e le ur apparition.

Les causes sont d iverses : une mau vaise réac tio n à l 'a n esthésie o u la prése nce de li q uid e da ns les po um o ns.

En cas d 'a blatio n d ' un po um on ou d' une lo ng u e mal adie pulm onair e, un p atient m a nqu e souvent d'oxy gè n e.

Le tra item e nt habi­ tuel c onsist e à utili ser un respirate ur artifi cie l qui ass ure une ventil a tion pulm onair e e fficace.

On insè re dan s la trachée du patient un tub e, par l eque l on inject e de l' oxy gè n e.

On règle e nsuit e la q ua ntit é a dmini s trée, afin d e c r éer un rythm e res­ p irato ire a u ssi no rmal que p oss ib le .

Ce trait em e nt est égal em e nt néce ssair e lorsqu e la parti e du cer­ vea u cha r gée d e co ntrôl er l a re spir a tion e st endomm agée, soit pa r une blessur e dir ecte, so it du fa it d' un e sep ticémie (affection du e à des germes p athogè nes).

D a ns les cas d'insuffis ance respirat oire g r ave, le re spir ate ur agit par voi e externe ( po um o n d 'ac ie r) .

Celui-ci est un coffre é ta nch e re lié à un sys tè m e re spir a te ur.

La cage tho­ raciq ue du m ala de y est enfermée et épo use les variations de p r ess ion: e ll e se diste nd puis s 'a f­ f a isse.

Des an al gés iqu es et d es anti-infl amm ato ir es sont éga le m e nt admini s trés au p a tient afin qu 'il n 'essa ie p as de re spir er ind é pe ndamm ent d e la Les secouristes commencent les soins dès leur arrivée sur les lieux de l 'accident.

Le patient peut avoir besoin d 'un goutte-à-goutte , celui-ci étant utilisé afin de perfuser du sang , du plasma , une solution saline ou un médicament .

Chaque hôpital possède un service d'urgences , spécialement équipé et constamment opérationnel .

machin e.

La respir a tion artifi cie lle n'e st habitu e lle­ m e nt utili sée que po ur un o u deu x jo urs , m ais le tra it em e nt pe\.Jt parfois s'avé re r n écessa ir e à b eau­ coup plu s lo ng te r me.

Les soins nutritionnels Un pati ent inconsc ie nt doit ê tre no urri de f aço n a rtifi cie lle ( nutriti on e ntéra l e).

Si ses intestins fonc ­ tionnent, o n insère par son n ez un tub e très fin, qui desce nd jusqu 'à l' esto m ac et par le que l o n f a it transit er des alim e nts sous form e liqu ide.

Ce liquid e contient un méla n ge de lipid es, d e pro­ téine s, d e g ra i sse s et de v itamin es, d o nt le corps a b eso in.

Si les intestins s ont endomm agés, o n f a it passe r ce liquid e dir ecte m e nt dans le san g pa r l'in ­ t e rmédia ire d' un tube encore plu s fin.

Ces deu x t y p es d e nutriti on artifi cie lle pe rmettent d e ma in­ te nir ind éfiniment une per son n e e n vie e t de l'ai­ d er à r ecouvre r des fq r ces et d onc à guérir plu s r a pidem ent.

Des liquid es e t d es m é dicam ents sont parfois admini strés d an s une veine du b ras ou du cou, p a r la mé thod e dit e du goutte-à-go utte.

Les goutte-à-goutte Un g outt e-à-goutte se rt à injecte r du sa n g o u d es liquid es à l' int éri eur du co rps.

So n d ébit est contr ôlé par u ne simp le pin ce (cla mp) ou par un compt e ur él ectroniqu e.

Il peut éga le m e nt êtr e connecté à d es instrumen ts spéc ifiqu es servant à co ntr ôle r pr éc isém e nt l'é ta t du pati ent.

Pa r exe mpl e, on utili se des ja u ges afin de mesurer la press io n a rtérielle dans l es veines et d onc de cal­ cule r le ta u x de sang et de liquides don t le patient a b eso in.

U n contr ôle consc ie ncie ux impliqu e a u ssi la p r ése nce d'une infirmi ère qui vér ifie à interva lles réguli ers la tempé ra tu re de la perso nne, s o n rythme card iaque, sa tens ion artérielle e t sa resp iration.

Habi tuelleme nt, on procède à ces contrô les au m o ins une fo is par h e ure.

Parf ois, on introduit une son de, appe lée cathéte r, à l'int é rieur de la vess ie a fin de collect e r l' urin e.

L'an al yse chi­ miqu e de celle-c i perme t d'éva lue r le bo n f onc­ tionnemen t du foie e t des reins.

Le tr aitemen t m é dicamenteux est étab li s ur la base de ces résul­ ta ts.

O n adminis tre des antib io tiq ues pour lutt er contre une inf ection, d es a n al gés iqu es p our soula­ ger la do uleur ainsi que des m é dicame nts pour contr ôle r o u mod ifi er la p r ession sang uine.

Les soins d'urgence Par ce qu'elle est extrê m em e nt bie n équip ée, une u nité de soins int ensif s est éga le m e nt appelée pour assur e r d es soins d 'urgence.

Ceux-c i sont dis­ pensés par un personne l compé te nt, tel qu 'u n m éd ecin, un amb ulanc ie r, o u en core un seco u­ rist e e ntr aîné.

La p re miè re c h ose à fa ir e est de contr ôle r l'é ta t glo bal du blessé.

R espir e-t-il , est-il ou no n consc ient, p e rd -il beaucoup d e sa n g? Il est capital d e s ' ass urer que les fo nc tions vitales de l'in­ dividu s e ro nt m a intenues assez lo ngte m ps pour p ermettre son tr anspo rt jusqu 'à l'hôpi ta l.

Les premières précautions Parf ois, un seco uriste d evra s'a ssur e r que rie n n ' empêc he le con tact p hysique avec la personne.

Pa r exe mpl e, il devra le dégage r des débris o u cou­ per l'é l ectricité ( un seco uriste ne doit ja m ais to u­ c h er une per sonne électrocutée si e lle est toujours. »

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