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Sujet d'invention - décrire un paysage en faisant ressortir de l'émotion

Publié le 20/05/2013

Extrait du document

SUJET D’INVENTION   Le paysage occupe tous les plans. Derrière, au troisième plan, on voit les montagnes, les arbres sont devant. Une rivière s’écoule en zigzagant. Des oiseaux allant d’arbre en arbre laissent entendre leur chant rempli de vocalises. La terre laissant pousser les arbres est fraîche et pleine de vie. Certains endroits sont légèrement accidentés mais cela n’empêche pas quelques buissons et cyprès d’y pousser. Aux endroits où ni les arbres, ni les petits buissons ne poussent, l’herbe s’étale de toute sa splendeur. Cela donne l’effet d’un paysage varié, un paysage sauvage qui passe d’un terrain dense envahi par la nature à un endroit spacieux bordé de petites colline...

« les braises si brûlantes peuvent éclairer tout un monde à elles seules.

La brume quant à elle reflète la lumière blanche émise par cet astre lumineux dissimulant en partie le paysage et le rendant obscur.

Le coucher de soleil est proche.

Le soleil s'empresse de transmettre à la nature son énergie débordante et espère avec son éblouissement intense faire vivre cette planète.

C'est son heure, il veut illuminer son monde une dernière fois. Tout doucement, Hélios se retire et offre sa place à Séléné.

Mais la boule de feu - avant de disparaître derrière les montagnes - donne un dernier spectacle : un rayon vert surgit et embellit le ciel un court instant, puis disparaît.   Tout d'abord, ce paysage - malgré ses aspects mystérieux mais pas menaçants - provoque en moi un sentiment de tranquillité.

La vie semble s'y écouler paisiblement.

Tout a l'air à sa place.

Rien ne perturbe, même les éléments obscurs font partie de l'harmonie.

Les couleurs calmes mais plutôt froides de la forêt sont équilibrées par les couleurs rouge et orange du soleil qui plonge l'ensemble dans une ambiance agréable, rassurante.

En contemplant ce panorama j'ai un sentiment de bien-être, je ressens de la joie devant ce paysage qui semble immaculé, vierge de toute intervention de l'homme.

Je suis submergé par la beauté que dégage cette nature. Devant ce spectacle majestueux je me rends compte de ma petite place dans ce monde : je ne suis qu'une feuille dans la forêt, qu'un petit cajou dans les montagnes, mais je m'y sens bien.. »

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