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Publié le 03/01/2013

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Dans la société mondiale de consommation, le principal outil de propagande commerciale est bien sûr la publicité. Qu'elle passe par le bais de la télévision, de l'affichage ou même à la radio, la publicité se décline sous toutes formes, pour que l'ensemble du grand public ne puisse pas passer à côté du marketing de chaque entreprise. La société est encadrée, voir dirigée par la publicité, qui incite toujours plus à la consommation cherchant sans cesse à déclencher chez son récepteur l'acte d'achat. La logique capitaliste induite par l'économie de marché entraine une marchandisation de l'art, dont l'aspect créatif, esthétique et représentatif d'un temps n'est plus l'unique objet, cette dernière devenant un produit marchand à part entière. Les fonctions économiques sont indissociables du marché de la publicité. Un projet publicitaire implique toute une chaine de production allant de l’étude à la diffusion sur support auprès des publics cibles, chaine qui associe une multitudes de profession qui y concourent. Contenu de son impact, la publicité est contrainte de respecter certaines règles déontologiques par l'instauration de nor...

« graphistes, scénariste ou encore musiciens.

C'est métiers sont les piliers de la créativité publicitaire ; mais plus encore, ils sont un facteur à son économie.

Mais la chaine de production ne s'arrête pas là, elle comprend également tous les métiers participant à sa diffusion et à la négociation d'espaces dans lesquelles elle va prendre place.  En effet, la publicité a des fonctions commerciales et économiques.

Comme abordé ci-dessus, elle génère de nombreux emplois dont les artistes et les métiers du commerce.

Elle a aussi pour fonction de faire vendre et acheter, c'est à dire convaincre l'acheteur de consommer en provocant l'acte d'achat.

Moyen le plus efficace ainsi que le plus rapide pour faire connaître un produit, la publicité finance aujourd'hui en grande partie les médias (presse, télévision, internet).

De nouveaux procédés font vendre ; le dessin humoristique de Faujour illustre (dans ce cas précis) que les sportifs font vendre.

Pour tenter de se démarquer de la jungle publicitaire, on n'hésite pas à utiliser l'image d'une célébrité appréciée du public pour promouvoir divers produits et par ce biais, une fois pousser le récepteur a la consommation.

Face à l'omniprésence de la publicité, il est nécessaire de la règlementer pour la contrôler. Pour éviter que la publicité s'invite de force et l'inflation du matraquage, le Bureau de Vérification de la Publicité (BVP), instance de régulation, établit des règles déontologiques.

Cette instance fixe les limites qu'il convient de ne pas franchir par les annonceurs, qui s'apparentent à une autodiscipline du secteur.

Ces règles déontologiques se basent sur trois principes fondamentaux; le conseil, l'avis et l'autosaisie.

Certains termes et certains concepts sont ainsi modifiés, juger et quelque fois prohibés pour le respect de l'audience.

Son but premier est  d'attirer l'attention du consommateur, susciter sa curiosité, son amusement, son émotion et donc faire naitre chez lui non seulement un désir mais un besoin.

Les techniques de séduction peuvent pour autant s'avérer abusives ; par conséquent la publicité est souvent considérée comme manipulatrice, et outils du capitalisme.   La publicité est un élément indissociable comme nous l'avons vu plus haut de l'économie, mais également de l'industrie des médias via le marché à deux versants.

Le contenu informationnel ne sera jamais gratuit pour un lecteur, il sera financé par le contenu publicitaire, donc les annonceurs.

Sur ces supports, les publicités. »

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