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Texte d'opinon

Publié le 01/04/2011

Extrait du document

Depuis la nuit des temps, les médias se traduisent par la diffusion de l'information, que ce soit par les images, par le son ou encore par l'écriture. À partir du moment où ces médias peuvent être enregistrés sur un support et reproduits ou communiqués, ils deviennent des vecteurs de l'information. Madame Marie-Hélène Léger vous n'avez pas eu raison de publier votre article, car l'information n'était pas crédible, de plus, l'article que vous aviez publié était dans vos propres intérêts.

Tout d'abord, je crois que l'information n'est pas crédible, puisque cette créature à sang froid ne pourrait survivre très longtemps avec les conditions qu?offrent les égouts, l?eau y étant trop froide. Cet animal, comme toutes espèces à sang froid ont besoin d?une source de chaleur externe pour réguler la température de son corps. Dans une eau dont la température est d'environ 26 °C, les enzymes de l?estomac de l?alligator ne peuvent assurer leur rôle et il ne peut donc digérer les aliments ingurgités, en d'autres mots il est impossible qu'un alligator survie dans le milieu hostile des mondes souterrains.

Deuxièmement, selon moi, votre article vous l'aviez publié trop rapidement, vous n'aviez aucune source fiable et encore moins de preuves concrètes, vous étiez poussé par une envie de sortir une exclusivité, ce qui vous a littéralement empêché de réfléchir et de vous demander si cette information méritait ou non d'être éditée.

Donc, je crois donc que mon fait et mon argument mettent clairement en doute la véracité de cet article et démontrent hors de tout doute le manque de jugement de Madame Marie-Hélène.

L?article n'avait pas lieu d'être, surtout dans une plate-forme populaire telle que le journal. L'alligator ne peut point survivre dans les conditions misérables des égouts et vous n'aviez pensé qu'à vous et votre gloire si cette information se révélait vraie. J'appelle à l'action des propriétaires des médias, afin qu'il surveille plus étroitement le contenu de leurs journaux.

 

Source : Zoo de New York

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