LE THÉATRE DANS LA SECONDE MOITIÉ DU XVIIIe SIÈCLE
Publié le 17/07/2011
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Déclin et renaissance éphémère du théâtre. — Sheridan; les premières comédies; l'École de la Médisance; la peinture des moeurs; l'esprit de Sheridan; la satire littéraire; conclusion.
DÉCLIN ET RENAISSANCE ÉPHÉMÈRE DU THÉÂTRE. — Pendant toute la période que nous avons appelée L'AGE DU ROMAN (1740-1770) le théâtre ne vécut que d'une vie assez réduite. Tandis que le roman, forme littéraire neuve, vivante et souple, pouvait se développer librement, la tragédie et la comédie demeuraient gênées par les conventions et les poncifs du théâtre classique et de la comédie de la Restauration. Pendant toute cette période aucune œuvre de premier plan ne parut sur la scène. Vers 1770 cependant, le théâtre connut de nouveau une certaine faveur. Un grand acteur, GARRICK, à partir de 1747, se mit à reprendre le vieux répertoire, et surtout les comédies de Shakespeare qu'il modifiait par des coupures et des adaptations pour les faire accepter de son public. On adaptait aussi les autres élisabéthains et les comédies de la Restauration. Un peu plus tard la sensibilité, après avoir envahi le roman avec Richardson et Sterne, usée peu à peu dans le roman, allait s'essayer au théâtre. (Nous avons vu déjà GOLDSMITH s'en inquiéter et opposer à la comédie sentimentale ce qu'il appelle laughing comedy, la comédie comique.)
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