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Le tiers-monde face au développement

Publié le 31/01/2011

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I.                   Le tiers-monde et les tiers-mondes :

1)     Le tiers-monde, un concept discuté pour une réalité complexe

 

A.     Le tiers-monde

Définit par Alfred Sauvy ènaissance à La conférence de Bandung(1955).

Membre : Inde, Pakistan, Ceylan, Birmanie, Indonésie,Cambodge,Laos,Viet-Nam(Nord et Sud), Thaïlande, Philippines, Népal, Chine, Japon, Egypte,Libye,Irak,Syrie, Jordanie, Arabie saoudite,Yémen, Iran, Afghanistan, Ethiopie, Côte d’or, Liberia, Soudan, Turquie).

èVolonté de résoudre question de l’Indochine et de Formose + s’absoudre des camps de la GF. Echec de cette politique(trop de disparitésèhétérogénéité des politiques,des éco …). Seule l’Inde de Nehru est réellement neutre dans la GF.

èAdoption d’une charte de 10 points(condamnation du colonialisme, ségrégation raciale+ 2macipation des peuples).Aimé Césaireè1956 « mort des colonies «.

èEntre Bandung et 1ere conférence des nations unies pour le dév (CNUCED, 1964) Le terme de tiers-monde se développe et désigne des pays pauvres (connotation révolutionnaire(cf :le tiers état de la révolution de 1789).

 

B.     Des pays sous développés

èNotion de sous-développement(1948, dans le titre IV du plan d’assistance financière des Etats-Unis) est purement économiqueèPauvreté des Etats auxquels la BIRD commence très tôt à distribuer une aideèMet l’accent sur les insuffisances de certains pays+inégalités de richesses(50% pour europe de l’ouest+ EU alors qu’ils ne représentent qu’ 1/5 de la pop, Afrique 3,4%, Asie 18,4%).

è Exprimé en PIB par habitantèmontre que la richesse se concentre en Europe occidentale(encore plus aux EU), alors que très faible en Af.

èpour sortir du sous-dév il faut augmenter la production pour que chacun ait des conditions de vie décentes(Amartya Sen dit qu’au delà de la production, c’est la circulation des denrées qui est importante).

èSous-dév lié à l’insuffisance d’éducation et de santé publique.1960 è 1/2analphabète dans les PED et 42% d taux d’enseignement primaire(fortes variations entre les pays).Santé è46 pour 1000 de mortalité infantile pour les pays dév alors que 233 pour mille dans le 1/3 monde.

è1987 èCommission Buntland(commission sur l’environnement et le développement)è5 types de besoins communs à tous les hommes :se nourrir, se loger, se vêtir, travailler et voir sa qualité de vie s’améliorer.1990èPNUD met en place IDH (qui se base sur l’espérance de vie, sur le revenu et sur l’alphabétisation).

 

C.      Des pays en voie de développement

èAnnées 60 :Remplacement de l’expression de pays sous dév par PED et PMA révèle l’objectif de rattrapage économique de ce pays sur les pays dév. Il faut procurer à ces pays une croissance supérieure à celle des pays de tête. Les experts des deux blocs tentent des solutions(Rostow, les marxistes qui ventent le modèle communiste).

èAssimilation voie du développement/croissance de l’économie.Illusion de rattrapage rapidement dissipée car l’écart ne fait que se creuser.Cette désillusion nourrit une courant de pensée(tiers-mondismeèDumont en France, qui dit que le développement de ces pays doit partir des techniques locales et ne doit pas imiter les méthodes occidentales+ mouvements révolutionnaires)

 

2)     L’expansion du tiers-monde

 

A.     L’impact de la décolonisation

Troisième quart du XX ème SèAugmentat° du nombre d’Etats èmajorité pour le tiers-mondeèdécolonisation ++.La majorité de ces pays sont pauvres, alors qu’ils sont importants numériquement(majorité des membres aux Nations Unies)èlien entre pauvres et colonisés. Ainsi dimension géoéconomique de la notion de tiers-monde.

 

B.     L’extension du tiers-monde

Tous les pays pauvres dans le monde ne sont pas d’anciennes colonies et bcp de pays fondateurs de l’ONU sont également sous dév .Mais bcp ne se considèrent pas comme tiers-mondistes(ex : ArgentineèUne minorité riche proche du monde occidental ou turquie qui a conscience de son passé glorieux impérialiste).Mais des difficultés économiques et culturelles conduisent ces pays à s’assimiler au 1/3 mondeèintérêts communs(régulation monétaire)èexpansion du 1/3 monde qui touche tous les continents et qui en 1975 devient le « sud « en opposition avec le « Nord «.

 

3)     Diversités et convergences des pays du tiers monde

 

A.     Une diversité géographique

-          Une diversité de tailles entre des Etats continents(Chine..), des Etats vastes mais enclavés(Tchad, Bolivie),micro-Etats(Singapour,Maurice), et des Etats maritimes dans des archipels(Indonésie, malaisie, Philippines).

-          Différences entre fortes densités rurales de L’Asie de la riziculture et les très faibles densités de l’Afrique subsaharienne. Le surpeuplement associé au tiers-monde résulte pour l’essentiel de l’explosion démographique de la seconde moitié du XXème siècle. La question démographique est différente selon les pays è=les états ne sont pas prêtes pour l’exode rurale qui  a lieu. De plus les faibles densités sont un handicap pour la mise en valeur des territoires. Pour les fortes densités problèmes de l’amélioration des rendements agricoles à cause des moussonsèréformes agraires que les pays vont réaliser avant 1975.De son côté le gouvernement brésilien pour faire face à l’accroissement de pop organise l’expansion du peuplement vers le centre du pays (Brasilia 1960)(Cf : USA front pionnier).Inversement ,pour l’afrique sous peuplée, problèmes avec les ressources locales èpas d’équilibre(Sahel) et manque d’efficacité+modernisation.

-          Singapour èentrepôt créé par Anglais en 1819 èautonomie en 1959 est très bien exploitée alors que la Gambie est mal exploitée.

  

B.     Une diversité liée à l’histoire

Hétérogénéité géographique doublée d’une diversité politique et sociale(liée aux évolutions historiques).Chine n’a rien à voir avec Brésil indépendant depuis 1822.Les deux sont différents de l’Inde(indépendant depuis 1947). La variété des régimes politiques et des types d’organisation sociale est tout aussi grande : pouvoir centralisé et dictature en Chine, Congrès en Inde.République fédérative au Brésil. En dépit de ces différences , ces Etats ont un point commun : culture étatique bien établie. Ce n’est pas le cas pour l’Afrique subsaharienne qui manque de politique et de contrôle des activités économiques ainsi que d’élites locales. Mais au Maghreb et Moyen Orient èles pouvoirs politiques retrouvent des traditions dirigistes de l’islam pour organiser des régimes étatisés, monarchistes ou dictatoriaux (Maroc,Lybie,Irak,Syrie, Arabie Saoudite..).   

C.      Une diversité économique

èCirconstance économique est héritée de l’histoireèDisparités de richessesè1960 PIB de la colombie deux fois plus élevé que celui de certains pays asiatiques. Partout il y a beaucoup d’agriculture mais dans certains pays + que d’autres (Thaïlande par rapport à l’Am latine où il y a plus d’industries..).On dénote alors des pays partiellement industrialisés et d’autres où l’analphabétisme fait rage. Dans les colonies certains ont bénéficié de meilleures infrastructures que d’autres(chemins de fers,ports)(ex :inde ).En Am lat le réseau est beaucoup plus dense qu’en chine(sauf Brésil).

 

II.                Des relations inégales entre le tiers-monde et le monde

 

1)     des pays dépendants

 

A.     Des dépendances politiques

èabsence dans les pays du 1/3 de structures étatiques et politiques+ manque d’élites pour développer.Mais diversités de situations : Moyen orient possède des restes de l’empire ottoman qui avait conservé pendant la colonisation les structures habituelles de l’islam(cf :protectorats), alors que l’inde avait une certaine autonomie qui s’est amplifiée avec la pression mise par le Congrès sur les britanniques en 1892.Ces pays arrivent à gérer leur politiques après la décolonisation. Idem algérie(ancien département français).

èPour les nouveaux états africains(anciens aof, aef) c’est plus durèinstabilité politique surtout en matière de sécurité justice, finance.

ècolonies de « la couronne britannique «on des problèmes aussi comme Zaïre(ancien congo belge) car il appartenait au roi Léopold II puis fut confié à une compagnie d’exploitation et où aucune préparation n’est faite pour l’indépendance.==>Amène souvent à la dictature (Mobutu).Idem Mozambique ou angola,rhodésie…(guerre pour l’indépendance ).Ces pays sont obligés de rester dépendant des métropoles pour un soutien.Ex : lien monétaire avec la France sous le Franc CFA(1945 est plus bas que le franc normal).

B.     La dépendance économique

èLes pays du tiers-monde en 1950 n’ont pas assez de poids économique pour négocier.Il y a une dépendance industrielle et technologique(importations pour moderniser)èpour ça ils doivent avoir des ressources financières . De leur côté les pays dév importent des mat premières de ces pays .Asymétrie des flux en faveur de la métropoleèdépendance forte.Les responsables des nouveaux états doivent rester en collaboration avec les entreprises transnationales(De Beers company pour les diamants)èil y a même de la corruption.

ècette dépendance dure jusqu’à la création de l’OPEP (1960) qui fixera les prix du pétrole(cf : crise de 1973)

 

2)     Des pays pris dans la guerre froide

 

En dépit des volontés de certains dirigeants (Nehru , Soekarno, Nasser ,Tito)èmouvement des « non alignés «(1961èBelgrade, Caire 1964) Les pays rejoignent le conflit est-ouest

A.     Des conflits récurrents

Certaines régions du 1/3 monde sont le théâtre de conflits désastreux pour leur développement à cause de la guerre indirecte.

èCorée(1950-1953)èpartition au niveau du 38ème //.

èIndochine (1946-1975) : d’abord France puis EU(prolongée par des conflits internes : Khmers rouges au Cambodge (75-79) ou guerre vietnam chine(79))).

èAfrique : la décolonisation se fait sans soucis pour la plupart mais certains rencontres bcp de conflits èAngola(guerre civile 1961-1975)  est un enjeu de la GF (troupes castristes en 1976).De plus ventes d’armes de la part des deux blocs pour entretenir l’insécurité.

B.      L’engrenage des guérillas révolutionnaires et des dictatures anticommunistes 

èInstabilités internes dans nombres de pays : Cuba (Fidel Castro 1961 révolution puis Che Guevara dans les années 1960 multiplie les mouvements révolutionnaires en AM lat)è1967 (la havane)èréunion tricontinentale pour relancer la résistance d tiers-monde.Opposition radicale aux EU qui s’allient avec les dictatures militaires(Somoza au Nicaragua) ou envoient de l’intervention directe(1973 Pinochet renverse Allende et en argentine prise de pouvoir par Videla en 1976). De plus EU protègent certaines zones (Philippines Marcos) pour lutter contre les guérillas communistes.

 

3)     Des pays assistés

 

1950 =>prise de cs que le tiers-monde doit être aidé.

A.     Le cadre institutionnel de l’aide au développement

 

Système de l’ONU : l’aide intervient par des agences spécialisées(Unesco,organisation mondiale de la santé…).Dès 1949 èprogramme qui élargit l’assistance et qui donne aux Etats des aides techniques(exertises, formation du personnel)ècomplété en 1960 : Banque mondiale de l’association internationale de développement (devenue Agence nationale pour le dév)èPuis 1964 CNUCED.Par ailleurs ONU complété par FMI et BM.

Banques régionales de développement :Sur le modèle de la Banque Interaméricaine(1959) elles sont mises en place en Afrique (1964),Asie (1966) pour aider financièrement pour les projets publics(mais ce sont les puissances capitalistes qui sont actionnaire maj de ces banques).

Le système européen d’aide au développement : la CEE en 1963 à Yaoundéèconvention d’association avec 18 pays africains puis 46 pays en 75ècoop interétatique et régionale.Les fondateurs de CEE règlent le commerce entre les deux de façon asymétrique pour que le 1/3 M se redresse et que cela favorise les échanges entre ces zones.

 

B. Une aide majoritairement bilatérale.

1960èONU «  décennie du développement «èfixe l’aide à 1% du PIB des pays donateurs(liberté dans le mode de don).Les pays riches développent une aide dans un cadre bilatéralècomité d’aide au développement créé au sein de l’OCDE). Fr : découpage géographique et fonctionnel de l’aide. Aide souvent inférieure au 1% attendu è1971 : 7,6 Mill de $ d’aide dont 83% de façon bilatérale. Grands donateurs (EU,Fr,RU,ALL,Japon).

 

 

III.             Les politiques de développement

 

1)     Le développement par exportation de produits primaires

 

A.     Une politique économique apparemment cohérente

èle développement des produits primaires, adopté par les pays du tiers-monde était évident, car ils n’ont pas assez d’industries, la pop active n’est pas assez qualifiée, ce sont des zones tropicales,dont les produits sont demandés par les occidentaux. Enfin, l’héritage colonial veut qu’ils aient déjà les infrastructures pour ça depuis le XIXème.Les occidentaux encouragent cette voie de développement. A cause de l’absence d’investissements, cela leur procure bcp de recettes pour financer leurs équipements(scolaire, urbains),soit par la fiscalité ou par l’exploitation directe dans le cadre de la nationalisation.Dans ces secteursèinvestissement soutenus (modernisation, extension), mais il reste des dépendances par rapport aux firmes étrangères dans le cadre de la distribution, ou des capitaux.

 

B.     Des résultats mitigés

èpremiers résultats encourageants : balance commerciale excédentaire pour les matières premières. Mais apparitions d’effets négatifsèextension des cultures commerciales s’est faite au dépends de la culture vivrièreèils doivent importer. René Dumont qualifie les paysanneries de « ruinées,trahies,désarticulées «.==>exode ruraleèdév des bidonvilles.

èDépendent du cours des matières 1ères et des fluctuations saisonnières liées aux variations de stock(« effet de king «)èprovoque une cartellisation de l’offre(pétrole surtout, et denrées alimentaires)èsouvent des stocks de produits invendus èdeviennent déficitaires, et s’endettent auprès des banques occ. De plus le dév de l’agriculture qui ne devait être qu’une étape n’a pas permis  le dév d’autres secteursèdominations des exploitations privées ou publiques.

è1960 echéc de ces politiquesèpas de rattrapage èrentrent dans le sous développement (problème soulevé dvt l’assemblée des nations unies) è1964(CNUCED)è « groupe des 77 «(demandent des règles éco plus justes) .1967 : charte d’Alger ,puis 1974 «  nouvel ordre économique international «èéchec .

 

2)     Le développement par l’industrialisation

 

A.     Une industrialisation autocentrée en économie fermée : l’exemple indien

1947èsituation médiocre, malgré aménagements, firmes(tata) et élite occidentalisée. Pays arriéré et agricole(archaïque). Face à ça Congrès mène des politiques volontaristes de dév autocentréèfavorise l’industrie de substitution aux importations.Très forte protection douanière+ non convertibilité de la roupie. L’inde choisit un repli vers un fort dirigisme économique mais en restant fidèle à l’éco de marchéè « socialisme libéral et sans dogmatismes « èsoutien des EU.1951 : éco planifée+loi qui organise le dév industriel (industrial developpement and regulation act). Système de « licences industrielles «èforte gestion par l’Etat. 1967,Indira Gandhi èrenforcement de la socialisation de l’économie. En 1980è40% de la production industrielle est publique.Résultat probants èmise en valeur du territoire(électrifications, densité des réseaux).Première priorité industrie lourde puis peu à peu biens de consommationsèéventail large de produitsèaccès aux hautes technologies(bombe atomique 1974)

è « révolution verte «èamélioration de l’agriculture. Réussite pour l’inde qui se détache de sa dépendance économique  mais inconvénientsèprotectionnisme amène des difficultés pour l’adaptation à la mondialisation dans les années 80 +aggravation des inégalitésèsystème des castes.

 

B.     // // // : exemple brésilien

Dans l’entre deux guerresèphase de développement==èpolitique d’industrialisation èdiminution forte des importations. Politique autocentrée mais pas d’isolationnisme èbcp d’investissement étrangers et éco exportatrice.

Entre 1945-1961èmodernisation des industries de base et secteur sidérurgique. Croissance de 7,8% dans ce secteur.

èSeconde croissance entre 1968-1973èmiracle brésilien èproduction de biens de consommation (expansion de l’automobile) .Cependant pas de véritable développement :exportation de matières premières surtout, déficit structurel, importations èendettement extérieur, qui mène à une instabilité sociale(coup d’Etat militaire en 1954), et aggravation des inégalités(favelas)èstructure latifundiaire qui ne prend pas fin. 

C.      Une industrialisation par insertion dans la division internationale du travail (DIT) : l’exemple de la Corée du sud.

èsituation difficile entre 1950-1960. Colonie japonaise entre 1910-1945 puis partagée en 1948.Guerre entre 1950-53 qui dévaste le pays mais reconversion remarquable grâce à un fort dirigisme économique(succession de régimes militaires entre 48 et 87 puis enfin démocratie). Mais anticommunisme virulent + hostilité envers le Japonèouverture capitaliste qui provoque une augmentation nette du PIB (X4 entre 48 et 75) . Ajouté à cela une réforme agraire  et des plans de développement pour satisfaire la population(biens de consommation+ nourriture) .Dans les années 1960 : pari sur l’industrie lourdeètechnologies occidentales dans le cadre de conglomérats( Samsung, Hyundai )(d’après modèle japonais).  La corée attire les capitaux étrangers(endettement élevé mais au prix d’une modernisation) et sait aussi utiliser ses ressources bancaires. Développement de l’exportation de produits manufacturés. Un exemple de rattrapage économique malgré balance négative.Mais elle accumule une croissance extensive avec des gains de productivité élevés. (comme taïwan). Cela s’explique par l’abondance de main d’œuvre docile et instruite ècorée s’installe dans la DIT.

 

3)     Les résultats

 

A.     L’absence de rattrapage

èLes politiques menées jusqu’en 70 n’ont pas amené de modifications fondamentales sur la structure du monde. Même s’il y a des exceptions et des améliorations de croissance, leur trop fort accroissement de démographie a limité les résultats.Partage de richesses inégal. Inégalités accrues è20% des hommes possèdent 76 % des richesses. L’augmentation du PIB par habitant est bcp moins forte en afrique qu’en occident. Différences énormes de consommation également . Encore plus grave, dans certains pays la production alimentaire a reculé pour des raisons de guerre souvent.

 

B.     Les différences de développement

è1975 les écarts de richesses entre les pays du tiers monde sont considérables : PIB du vénézuela est plus de 10 fois supérieur à celui du Zaïre èdifférences entre pays pétroliers et pays sans ressource notamment.

èles pays de l’OPEP connaissent une expansion alors que dans l’inde il n’y a pas d’expansion véritable(accroissement trop fort de pop) .

ènaissance des petites économies de l’est asiatiques qui augmentent.

èassociation de l’amélioration de l’efficacité du travail+ croissance extensive = effort vigoureux dans l’éducation (analphabétisme recule) qui varie néanmoins selon la réussite du rattrapage économique.

èune trop grosse oligarchie amène un recul en Inde et un blocage de développement. En général les pas qui choisissent l’ouverture vont gagner plus rapidement de la croissance( forte augmentation des exportations dont ils sont cependant dépendant ).

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