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Germinie Lacerteux

Publié le 23/03/2015

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Introduction Germinie Lacerteux : Il a deux auteurs, deux frères. Les frères, plongé dans la société mondaine et artiste de leurs époque, et ils ont recrée les salons littéraire qui pouvais exister au 19ème. Leur journal ont une grande place dans la littérature, qui a une multitudes d'information sur la vie littéraire de ce temps. Edmonds, à par testament demander à ce qu'une académie soit créé pour décerner un prix littéraire, avec une récompense, la première en 1900. Edmonds l'ainé, né en 1822 - 1896, Jules 1830 - 1870. Cas de collaboration surprenant, gémellité des jumeaux. Ensuite Edmonds écrit seul, avec le souvenir du frère. Ils étaient anciens journaliste, historiens et très attaché à décrire la réalité de leur société, peindre la société du temps. Comme Balzac ils cherchent à être les historiens des moeurs, de la société. Notamment dans GL qui est leur 4ème roman. Notons, qu'il avait écrit avant «  Les hommes de lettre » où il évoquait qu'ils connaissaient très bien (journaliste écrivains). «  Soeur Philomène ». GL récit fondateur, s'en est aperçue tard, en 80, alors qu'il date de 65. Essayer d'examiner la nouveauté provocatrice de ce roman, dans son intérêt pour un personnage centrale, qui donne son titre au texte, et qui est une femme du peuple. En plus d'une femme malade, atteinte d'hystérie. Femme du peuple, et malade. Genèse du Roman Un traumatisme originel : Le roman est mentionné dans le journal en 64. Là qu'on découvre leur projet, qui en réalité vient d'un évènement arrivé en 62. En aout 62, leur fidèle domestique Rose Malingre meurt à l'hôpital des suites d'une maladie. Et 3 ou 4 jours après sa mort, les Goncourt découvrent que cette femme menait une double vie, elle était débauchée, menteuse, elle se ruinait pour des hommes et elle les a même volés. Il découvre quelle à des dettes, c'est un traumatisme pour eux. Ils sont consternés. Ce sont des écrivains qui veulent parler de réalité mais ne vois pas ce qui se passe sous leurs nez, choses qu'ils n'ont pas vue. Elément à l'origine du livre Le roman vrai des «  basse-classe » : Parler du petit peuple. Ils ne sont bien évidement pas les premier a y pense, il y avait Lamartine, qui a écrit «  Geneviève, histoire d'une servante » jugé trop sentimentale, par les G, et puis «  les misérable » qui est une «  grandes déception pour eux » car H s'éloignerais trop de la réalité pour eux. Eux voulaient écrire sur un prostitué criminel. En 62, il visite une prison pour femme dans l'Oise, et ils ne reconnaissent pas le bagne ou la prison de H, il serait loin de la réalité et l'enjoliverai. Eux vois en Fantine une prostitué mais aussi elle tient de la Sainte, JVJ, lui se rapprocherait du Christ. Pour eux, cela est trop exagéré « H a battit tous sont livre avec du vraisemblable et non avec du vrai » il accuse à H son didactisme moralisateur. Reproche même de prêcher. Il y a une volonté d'agir contre les misérables. Mais comme H ils mesurent l'importance de 1789, de la Révolution. Cela veut dire que désormais le peuple ne peut plus être exclu du Roman. Pour les G il faut pouvoir parler de tous les mondes sociaux, mais avec un réalisme presque Scientifique Le souci du vrai, de la vérité Inspiration Scientifique : Pour eux un livre, c'est comme une enquête à mener pour chercher «  le vrai, le vif, le saignant ». Cette enquête repose sur une rigueur Scientifique, qui ouvre la voit au Naturalisme, qui sera théorisé par Zola. Poser quelques principes du naturalisme, même si nous sommes avec eux dans un prés- naturalisme. Le 19ème est un siècle de l'industrialisation ou l'on voit le triomphe de la science avec des progrès en physique, thermodynamique, dans la biologie. Aussi philosophiquement le temps du «  positivisme » notamment défendu par August Compte, il s'agit de croire en ce qui est positif. Ce qui existe et ce qui opposé au néant. Ce que l'on peut appréhender par l'expérience, ce sont les faits. Et toute ces science nourrissent l'imaginaire et la littérature, qui elle aussi veut se pencher sur le monde avec exactitude. Pour ce faire on pense que l'on peut étudier les hommes, car ils obéissent à des lois, à des déterminismes. Ils sont conditionnés, comme programmé par certains facteurs. Tout d'abord l'hérédité qui programme l'individu, mais aussi le tempérament terme qui correspond à l'influence dans le corps d'un élément, comme les nerfs, la biles, la lymphe. Détermine le comportement de l'individu, cela dérive des humeurs. Bile noir = dépressif. Pour nous Germinies est définit par sa lymphe, quelqu'un de môle. Pour les G, être lymphatique va favoriser des maladies, programmé pour être malade Peut aussi être influencé par le « milieu » environnant, sociale. Peut-être le métier, selon sont milieux on parle telle ou telle façon. Germinie est déterminé par son milieu social Une méthode : Les G recherchent ce qu'ils appellent «  des documents » ce qui permet de faire une enquête sur la réalité. Puise dans souvenir personnel (Rose), passage ou Germinie parle dans son sommeil est un rappel à une de leur maitresse : Maria. Roman à clés quad personnage du roman sont des personnages réel. Mademoiselle de Varondeuil, est le souvenir de leur cousine qui s'appelait Cornelie de Courmont, elle parle comme le peuple. Jupillons rappel un véritable amant de leur bonne, Adel était la bonne du dessus. Il y a aussi une grande documentation, en lisant des ouvrage scientifique, ils font des enquête de terrain, ils sont allez voir les «  bals de barrière » à la périphérie de Paris. Conséquence Narrative : Pour eux le roman n'est pas la ni pour divertir ni pour plaire, mais d'abord là pour instruire et dire la vérité. Donc pas de personnage héroïque. Pas d'exotisme, mais une réalité parfois terne. Mais aussi pas de rebondissement romanesque, peut de péripétie. Il y a une certaines formes du refus du romanesque. D'où les chapitre très bref, qui fait que l'on à quelques choses de fragmentés comme s'il nous donnait des tranches de vie par chapitre Le dépassement de la Science On a des objets d'étude choquant pour la bonne société, étude du peuple, « une clinique de l'amour » car l'hystérie décrite est lié au désir à la sexualité et à l'amour. Parler du peuple est du corps, peut être doublement scandaleux. Mais pas seulement une entreprise scientifique. Dans ce roman nous allons vers... ... Un nouveau tragique Programmation, la fatalité tragique devient la déchéance irréversible de cette femme. Mais en son genre elle est une héroïne tragique. Les G ont une certaine sympathie pour les personnages qui est parfois nobles et à quelque chose de distingué. ... La voix des auteurs La narration n'est pas neutre, car il y a des enjeux idéologiques. Les G sont fascinés par la femme en général. Fan et éthérifiera. Peut parler de la femme en général. Car la femme est par nature est une menteuse. Aussi un engagement social, malgré aristocrate froid, ils ont le souci du peuple. « Coeur » dernier mot du livre. La voix n'as rien de neutre. ... Une «  écriture artiste » Il y a un soin apporté à la langue au-delà du réalisme qui véhicule une vision philosophique de la sensation humaine, et aussi scène qui nous intrigue. Fait que ce n'est pas un roman destiné au peuple. Quand il utilise des mots qui viennent de la langue populaire il sont en italique. Conclusion : Roman qui a fait scandale. Il prend le prétexte de la science pour parler du corps. Roman incompris, mais ce sont les débuts du naturalisme écrit en réaction au misérable et sera reprit par Zola dans l'ASSOMMOIRE. Cours 3 Germinie Lacerteux : Nous avons une présentation parallèle de la maitresse, présenté, mais le personnage de Germinie est aussi présenté de façon importante et c'est G qui commence à exposer sa vie. Intéressant car dans la hiérarchie social, moins élevé mais elle a autant de place que sa maitresse pour parler d'elle, cela veut dire qu'une femme du peuple à la même légitimité qu'une aristocrate, elle on le même poids romanesque, notons aussi que c'est elle qui commence. Et il y a dans ce parallèle des points communs, deux femmes marqué par la douleur. Il y a donc des convergences surprenantes entre les deux femmes. Cours 4 L'hystérie dans Germinie Lacerteux : Les G cherchent, ici à faire les cliniques de l'amour. C'est-a-dire envisager l'amour d'un point de vue médicale, et l'hystérie était étroitement lié au désir féminin, une hystérie au centre de ce roman, car elle contribue à l'organiser, tel un fil conducteur. Elle joue le rôle d'un déterminisme de G. Une maladie très étudié et très fascinante. Est-ce que cette maladie peut-être considéré comme une fatalité pour Germinie. L'hystérie est-elle un mal de classe ? Qu'es- ce que l'hystérie. Souvent assimilé à la folie mais surtout c'est une maladie qui n'est plus seulement une maladie de l'âme, mais maladie qui tient au corps. Elle est marquée par des crises et comportement déviants. Mal ancien et qui aux origines était rattaché au sexe féminin (utérus). On estimait qu'il y avait une frustration sexuelle. Le 19ème siècle commence à s'intéresser aux fous (asile). L'hystérie au fil du siècle, devient un mal organique, elle est donc soignée par des neurologues (maladie cérébrale). Les G connaissaient le Dr Brachet. Et le grand neurologue de ce moment Dr Charcot. Ce siècle s'intéresse aux Symptôme, Paralysie partiel, abolition de la perception, une sensation de boule dans la gorge, les crises. Crises décrite chez Charcot dans les années 1870 1880 décrit après Germinie Lacerteux : il y a tout d'abord une attaque (perte de connaissance) arrive ensuite, les grands mouvements, des convulsions ou connotions. Le malade adopté des attitudes théâtrale, mimer quelques chose, la joie ou a crainte. Enfin arrive le délire. Plus largement : répugnance pour certains aliments, et goût d'aliment acide, saute d'humeur, paranoïa. Tellement étudier l'hystérie qu'on la voyait partout. On pense que l'hérédité peut favoriser l'hystérie. On cherche aussi l'organe qui est atteint d'une lésion est qui pourrait provoquer cette hystérie. On pense aussi qu'un choc physique ou émotionnel peut causer l'hystérie. Avec les G on est un moment ou Freud étudie l'hystérie, qui ensuite sera une maladie de l'inconscient. Le lien de l'hystérie à la féminité et à la sexualité, est interrogé. Les hommes aussi peuvent être hystériques. Charcot le pense, souvent ces troubles étaient rattaché à la sexualité (frustration des jeunes) mais aussi lié à une trop grande activité sexuelle. Dimension érotique qui persiste La volonté de guérir, pour Charcot on peut. On utilisait beaucoup l'hydrothérapie, mais aussi tous ce qui a rapport au magnétisme ou l'hypnose. Et Charcot à partir de 1866, commence «  les leçons du mardi » séance de cure et d'hypnose, elle devienne publique en 79, avec des journalistes, écrivains... dans un amphi = théâtralisation de l'hystérie. On a d'ailleurs accusé des femmes de mimer des crises, ou inconsciemment elle donnait ce qu'on voulait d'elle. Médiatisation de l'hystérie Germinie une Constitution hystérique Les G se basent sur les écrits de Brachet. G en effet à un tempérament favorable, elle est lymphatique et nerveuse. «  Ardente » «  molle » Mais aussi l'hérédité. G à un père qui est phtisie, facteur favorable à l'hystérie. G dit d'ailleurs que son père la battait car il était come fou. Page 88 G aime les aliments vinaigrés, montre la volonté scientifique des G La crise d'hystérie page 146 147, chapitre 23 Aggravation de son mal. Facteur extérieur du mal, son viol par Joseph. Et les souffrances imposées par les autres. Elle est manipulée par Jupillon (scène de complot page 162) Endetté et opprimé par les poids de cette dette, elle a régulièrement des têtes de folle (ombre d'une femme de la sale perrière page 164) Alcoolisme, et violente de plus en plus avec des désirs de meurtres contre Gotruches Déterminisme implacable sur G, qui ne semble jamais guérirai Elle a une pleurésie, et va à l'hôpital, rappel la maladie du père presque tragique. Elle n'échappe pas à ce tempérament Germinie, un être marqué par le manque. ( Le manque caractérise les hystérique) C'est un être de désir, surtout charnel, un être qui souhaite toujours être comblé et derrière souhaite être comblé (vide) Hystérie et désir féminin Cette hystérie ce définit d'abord par un besoin d'affection et besoin de se dévouer à sa maitresse. Dévotion religieuse aussi page 93 «  fièvre de religion ». Est-ce que c'est Dieu qu'elle aime fréquenter, mais non c'est le curé. Ce besoin de dévotion finit par se transférer sur un homme. G se détourne de la religion, page 94 MDV s'étonne qu'elle ait arrêté de fréquenter église «  tu ne vas plus voir tes curés ?... Rien » Peut avoir une dimension sensuel, il ne lui on «  rien » fait justement. Besoin d'affection sous formes varié. Sa maitresse et figure de mère, affection pour une figure de fils qui est Jupillon (qu'elle a pratiquement élevé). Ce besoin prend un aspect compulsif «  frénésie de bonheur et une furie de caresse » elle «  abat un travail monstrueux » dans la maison de par son amour pour Jupillon page 111 l'amour de Jupillon la rendait heureuse «  ses pieds dansaient... » Énumération qui montre cette fièvre dans le corps de part cet amour, mais elle peut aussi être très molle, ici une activité démultiplié. Mais aussi une violence dans les gestes, elle manque de voler une enfant dans la rue page 196. Idée de dévotion exclusive, elle est jalouse, évoque même sa jalousie comme une «  rage ». Page 230, on a le chapitre qui se termine sur l'expression «  faire saigner toutes ses jalousies » (utilisé au pluriel) nous sommes ici dans une hyperbole. Aspect compulsif qui peut être inquiétant. G, se sacrifie par amour et se perd elle-même, elle sacrifie plusieurs chose, elle cède son corps qu'elle a longtemps refusé, elle perd 3 enfants. Elle perd sa réputation, dignité et honnêteté, elle ment et vole. Déperdition de G, fait par se besoin d'aimer qui fait qu'elle se dépouille de ce qu'elle a et de ce qu'elle est. Les frères assistent beaucoup sur les sensualités des frères en plus d'une animalité, comparé à un chien page 86, et un exemple à la fin du roman, elle devient nymphomane et elle «  flaire » autour d'elle. Elle est aussi proche de la nature, une animalité et sensualité naturelle. En se promenant elle mordit une fleur de Lila, sensible à la nature. Elle entretient un rapport trouble à la sexualité, cela commence par un refus du corps, elle refuse longtemps Jupillon, elle satisfait des « frôlements » pas dans la consommation. Retardement de l'acte, puis un déchainement de passion physique avec le cas de Gotruche avec évocation du Sadomasochisme, elle est décrite comme «  insatiable » le plaisir le lui suffit pas elle cherche la douleur page 220, scène où elle provoque Jupillon «  il faut que tu me battre » (en avançant sa poitrine vers lui). Nymphomanie de G, qui cherche à se satisfaire avec le premier venu, et elle entretient des fantasmes jusque dans la maladie (elle espionne les amours des domestiques) page 247 elle écoute les histoires d'amours qui se passe autour d'elle Dépersonnalisation du personnage G, est essentiellement un corps dans ce texte, elle est souvent réduite à son corps, tous le temps soumis à des sautes d'humeur, en fonction de ses passions. Elle peut être obsédée par une idée puis plus du tout. Passion peu disparaitre aussi vite qu'elle peut arriver. «  elle s'évacue d'une coup » ce qui faisait le centre de sa vie peu se vider. La crémière «  possède la vie de G » impression qu'elle a des tocades, elle est toquée. Jupillon le lui dit en parlant de ses grossesses «  toujours pleine ou fraiche vide » il n'y a pas de demi-mesure. Aussi un corps car elle est sensible à son environnement et aux sensations, notamment à la chaleur qui est souvent souligné. Page 224 «  je t'ai pris parce qu'il faisait chaud ». Un corps qui parle, il a un langage, il dit ce que G ne dit pas, il dit le chagrin et la mort de sa fille ainsi que l'hystérie. Parfois même le corps semble parlé seul et automatisé. Page 172 «  des mains qui faisaient des choses par habitudes, des gestes de somnambule ». Le corps agit, mais elle, est absente. Aspect charnel néanmoins, elle est double. Qu'elle se dédouble finalement. D'un point de vue médical, les frères ont modifiés de ce qu'ils savaient de l'époque, normalement Organique, mais pour eux il y a une dimension psychologique, notamment avec la scène de rêve. Elle parle comme une grande actrice, dédoublement de personnalité par le rêve. Ces phénomènes se rattaches a l'inconscient, en plus ils ne s'attardent pas sur les phénomènes physique, car elle ne fait qu'une seul crise, sa maladie ici en devient discutable. Eux s'intéressent a l'après crise : avachissement psychologique. Ils détournent la science, Germinie est définit par son hystérie qui contribue à la vider de sa substance. Un excès de passions qui disparaîtront. Assez passive, son caractère est assez vide. Les frères en profite pour remplie ce personnage d'idéologie et de fantasme L'hystérie est un bon moyen pour parler d'autre élément, idéologie et fantasme qui s'y rattache. La représentation de son hystérie n'est pas neutre, elle montre souvent un discours orienté et notamment un discours sur la femme du peuple Un discours sur la femme du peuple : L'hystérie était essentiellement une maladie de bourgeoise et d'aristocrate, peu des femmes du peuple. Ici de faire son héroïne populaire personnage principale, permet de parler de la brutalité des hommes du peuple. Quand Jupillon la quitte «  donner son congé ». Femme du peuple mal intégré dans le peuple lui-même, sujet de rumeur, et femme montré du doigt Vision de la femme donné par les Goncours Ils lient l'hystérie à la sensualité féminine, elle n'as en plus qu'une seule crise, a maladie se voient dans son état général, ils rattachent l'hystérie au sexe, ce que les médecins ne font plus. Il y a l'idée soujassente, que la femme est hystérique. La femme est double, elle désire la pureté mais aussi la souillure, elle ment. G, n'est pas la seul dans ce cas, adèle et elles sont fourbe. Mais ses femmes sont potentiellement fourbes et hystérique. Il y a une crainte et une attirance pour la femme. Les Goncours parlent de la «  féminilité » qui pointe la bestialité et la féminité de la femme. Il y a dans cette perspective le maintien d'un imaginaire fantasmatique, car ils n'ont pas renoncé au sensationnelle et aux effets voyeuriste. Notamment avec la tentation au mélodrame, quand G veut «  vitriolé » la cousine de Jupillon, ici le peuple fait peur. Il y a aussi des visions fantastiques, c'est une femme chargé d'électricité. Jupillon est «  remué malgré lui » comme hypnotisé, et  meurt les cheveux en l'air, dans la scientifique mais aussi dans le diabolique. Les G se réfère aussi à des peur centrale au sujet de l'hystérie et de la femme. Il y a une volonté de précision et un détournement de la science, qui donne une dimension ésotérique des personnages

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