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La ligne Verte

Publié le 30/11/2014

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La ligne Verte, Stephen King Stella Presse, 1L Résumé l'histoire du roman : Ce romans est écrit par Stephen King et est paru à New York en mars 1996. Il est raconté à la maison de retraite par Paul Edgecombe qui fut en 1932 gardien-chef du bloc réservé au condamnés à mort l'histoire du bloc E au pénitencier de Cold Mountain e Louisiane, bloc surnommé la Ligne Vert à cause de son sol d'une couleur verdâtre menant directement à la chaise électrique. Lui et son équipe aide a amélioré les conditions de vie du bloc et de ses détenus malheureusement compromise par un des gardes Percy, neveu d'une femme de supérieur, qui maltraite sans arrêt les prisonnier allant même jusqu'à causer une mort affreuse a un des détenu, Edouard Delacroix. Le roman nous dévoile l'histoire de l'arrivé d'un nouveau détenu, John Caffey. Il est accusé du viol et du meurtre de deux fillettes blondes malgré son caractère plutôt calme et inoffensif. Nous découvrons que ce nouveau détenu est doté d'un don, ce don est révélé par Paul Edgecombe souffrant d'une infection urinaire et qui sera guéri par John, puis celui-ci ressuscitera une souris, Mister Jingles, et enfin guérir Melinda Morres d'une tumeur au cerveau. Lorsque William Wharton, un nouveau détenu, prend le bras de John Caffey celui-ci est pris d'une vision du meurtre des deux fillettes que Wharton a commis. Cette vision il la transmettra à Paul qui alors découvrira que John est tout à fait innocent et ne supportera pas l'exécution d'un innocent et décidera de donner sa démission après celle de John. Apres cette histoire John emmène son amie Elaine dans la cabane ou il garde Mister Jingles resté en vie grâce aux pouvoir transmis par John lors de sa ressuscitation. Choisir un personnage de l'histoire et l'analyser : Le personnage que j'ai choisis est celui d'Edouard Delacroix, il est introduit dans l'histoire grâce à Mister Jingles a la page 28 « Delacroix allait et venait en frétillant de ses fines moustaches sur les épaules du petit français ». A la page qui suit nous avons une description du personnage, on apprend que Delacroix est emprisonné pour avoir « violé une jeune fille avant de la tuer puis il avait trainé le cadavre derrière la maison ou elle habitait, l'avait arrosé de pétrole et avait craqué une allumette espérant ainsi effacer les preuves de son crime. Le feu s'était communiqué aux bâtiments et six personnes dont deux enfants, avaient péri dans l'incendie. » Cette citation présente à la page 29 m'a donné un premier lieu un aspect très violent de ce personnage, le fait qu'il ait violé et tuer une jeune fille mais qu'après il fasse preuve d'une lâcheté et l'ai brulé m'a d'abord choquée. Puis le passage suivant nous apprend qu'il regrette, et que cet emprisonnement l'a adoucie et j'ai ressenti une forme d'humanité en voyant la relation qu'il entretien avec Mister Jingles « Mais si atroce qu'ait été son crime, c'était du passé, et il était là, maintenant, allongé sur sa couchette, s'amusant de voir son petit compagnon courir sur le dos de ses mains. Je me suis attaché à ce personnage, à sa sincérité et sa certaine naïveté. Il a cette barrière de la langue car celui-ci est français, le fait que la prison l'a fait changer physiquement « A présent, c'était un homme aux manières douces, au visage inquiet, au crâne chauve cerclé d'une demi-couronne de long cheveux qui lui tombait sur la nuque. » (Page 29) « Petit homme chauve » page 270, Mais aussi psychologiquement il cherche le pardon et à travers ce personnage et ce romans j'ai cru a la rédemption. A travers le roman ce personnage est attachant et prenant malgré tout lors de l'épisode 4 la fatalité frappe, l'exécution arrive et le nom de cet épisode annonce le pire « la mort affreuse d'Edouard Delacroix ». Ce chapitre est sans doute celui qui m'a le plus marquer, d'abord pour la cruauté de l'agent Percy Wetmore envers Edouard mais aussi car ce personnage est la représentation de l'avarice il ne supporte pas quelconque forme de bonheur ou de bien généré par quelqu'un d'autre. Il annonce la mort d'Edouard d'abord en l'anéantissant psychologiquement, il commence par tuer Mister Jingles « (...) je revoyais Percy Wetmore l'écraser sous sa chaussure et il me semblait réentendre le cri qu'avait poussé Delacroix en réalisant ce que son ennemi avait fait. » Ici à la page 246 le mot ennemi dénonce fortement les sentiments envers ses deux hommes, Percy a choisis un souffre-douleur et celui-ci portait le nom d'Edouard Delacroix « (.) Je n'ai jamais compris non plus la raison de l'antipathie de Percy Wetmore pour Delacroix. » (Page 247). C'était en « Automne 32 » que l'exécution eu lieu à la page 253 Paul dénonce l'aspect déshonorant de voir des hommes mourir électrifié de la sorte. A la page 254 Paul commence à écrire, et à décrire les sentiments de Delacroix lors de la mort de Mister Jingles, ces sentiments sont ceux de l'horreur et de la souffrance « Dans le hurlement qu'à pousser Delacroix, il y avait toute l'horreur et toute la souffrance du monde » cette souris représentais un ami et un soutien pour Delacroix. C'était en quelque sorte son seul point faible, son « point d'orgue », il criait et sanglotait en regardant le cadavre de cette souris gisant sur le sol. Lorsque John montre un espoir de sauvé son ami Edouard montre son coté désespéré à revoir vivante cette suris, il lui loue un amour inconditionnel presque paternel comme à la page 258-259 « Delacroix l'a recueilli dans ses mains. Il riait et pleurait en même temps et couvrait sa souris de bisous sonores. (...) Il était comme un père dont le fils vient d'être sauvé de la noyade. » A la page 260 les paroles et les actes de John Caffey annonce déjà les représailles comme une sorte de moral, malgré ces moments de joie et de bonheur extrême dans la vie d'un homme la mort peut l'attendre d'u moment à l'autre « Et puis, avant qu'on ait pu ajouter un mot -si toutefois on avait quoi que ce soit d'autre à dire-, John Caffey est allé s'allonger sur sa paillasse et s'est tourné vers le mur. » Le retour de Percy montre son coté sadique « il avait jouit de la douleur de Delacroix » cette phrase a la page 261 nous donne une indication sur la mort que Delacroix va subir. Le jour de l'exécution m'a directement paru très effrayant à cause du temps décrit a la page 268 un temps d'orage, noir et nuageux. Nous avons ensuite le ressentit du condamné, ce passage ma particulièrement ému car nous ressentons les sentiments de Delacroix, il demande sa repentance pour ses péché, il est doux et inquiet pour sa sourit « Dites boss ? Le méchant homme, vous ne le laisserez pas approcher de Miser Jingles, hein ? Vous le laisserez ne pas lui faire de mal ? » Ces paroles de la page 271 sonne comme ses dernières demandes du condamné. Cet exécution prend une dimension sacré avec les prières de Delacroix il demande de récité la prière du je vous salue Marie, un père demandant la rédemption, ceci donne une dimension sacré de cette exécution. Les paroles « C'est bien boss, c'est bien, parce que je n'ai plus peur » m'a donné une nouvelle indication sur le caractère de ce personnage, il est plutôt courageux, du moins en façade, face à la mort. Le fait qu'il ait refusé l'aide de Percy pour monter sur la chaise montre encore une fois la rancoeur envers son ennemi et une sorte de bravoure a la page 277. Malgré cette façade courageux et stoïque il montre des signes de nervosité a la page 278 « De la tressailli sur sa chaise et ses mains ont serré les accoudoirs à s'en blanchir les phalanges. » Ce personnage qui a commis des crimes affreux, il choisit d'accordés ses dernières paroles a ses victimes directes et indirectes « j'regrette c'que j'ai fait. J'donnerais tout pour r'venir en arrière, mais ce n'est pas possible. Alors... (..) Alors je paie le prix. Dieu me pardonne. » Ces dernières paroles montres l'évolution d'un homme, de cet homme ayant pour unique objectif d'être repentit de ses crimes. Percy l'achève psychologiquement en anéantissant ses dernières demande de condamné en révélant que l'endroit ou Paul lui avait promis d'emmener sa souris « Tu parles, a dit Percy du coin de la bouche comme le font les voyous, pendant qu'il bouclait la large sangle du dossier en travers de la poitrine de Delacroix. C'est une invention, une fable que t'ont raconté ces types pour que tu te tiennes peinard. J'pensais que tu le savais, pédé. » Ce passage souligne le coté inoffensif, enfantin et naïf. Il veut que sa sourit sois heureuse et sauvée. Enfin la mort décrite sur plusieurs pages est totalement insoutenable, inhumaine « Del se vidait. Et ses cris se sont faits si horriblement perçants qu'ils ont couvert le vacarme de la tempête. » Le vison que j'ai de ce personnage est celui d'un homme ayant évolué et changer, cherchant à se faire pardonner ses péchés et qui pour cela essaye de retrouver une humanité grâce à cette souris, malheureusement il aura le droit à une mort injuste et non justifié. Choisir un passage entre 1 et 5 pages et le justifier avec 3 arguments. Le passage choisis ce situe dans l'épisode 4, commence à la page 256 et prend fin à la page 260. Ce passage relate la résurrection de Mister Jingles. Ce passage m'a particulièrement marqué car d'abord il y a une sorte de dimension sacré, John Caffey dont les gardes, a l'exception de Paul, ignorent le pouvoir de guérir, est capable de ramener à la vie et de rallonger la vie. Puis l'aspect du bien triomphant sur le mal et enfin les conséquences de cette scène sur la fin du roman et sur la vie de la souris ainsi que celle de Paul. Ce passage a une dimension sacré d'abord grâce à l'action principale : la résurrection. Action initialement réservé à une divinité, cet homme n'est pas humain, il a des pouvoirs de guérisons et de résurrection. Il donne un nouvel espoir à Edouard Delacroix, un espoir sur la vie. Cet acte montre l'aspect divin de cet homme, il à un don, il repend le bien. Ce moment a lieu dans une certaine urgence « Donnez-moi la souris, boss Edgecombe ! Vite, tant qu'il est encore temps ! » Page 256, il montre ici que John Caffey détient des pouvoir surhumains de guérison « Delacroix s'était arrêté de crier. » Page 257, même dans les cas semblant perdu, presque impossible « Je me suis dit que ça ne changerait pas grand-chose, en bien comme en mal. » Page 256. L'acte en lui-même parait totalement irréel  « Son regard était acéré et étincelant comme une lame. » « Seigneur tout puissant ! » Page 257. J'ai choisis ce passage car il amène une touche d'optimisme à ce roman. En effet la mort de la souris est décrite comme injuste et cruelle. Percy voulant faire du mal à Delacroix décide d'ôté la vie de cet animal sans aucune raison apparente. Il voulait rendre les derniers jours qu'il devait passer au pénitencier encore plus pénible. Il aurait réussi si seulement John Caffey ne partageait pas le pénitencier avec eux « Oh non, pauvre Mister Jingles, pauvre Mister Jingles, oh non ! »Page 256, « Je me suis souvenu de ce qu'il avait fait pour moi et j'ai compris » page 256. Malgré tout le mal que Percy c'est donné pour faire du mal, rependre la haine et un mauvais climat au sein du pénitencier, le bien vaincra par le biais de John Caffey et de son action héroïque. John juge donne comme une moral les dernières lignes de ce passage comme Dieu donnant son jugement « Boss Percy, mauvais homme, il a dit. Il a marché sur la souris à Del. Il a marché sur Mister Jingles. » Enfin j'ai choisis ce passage car il montre à la face des gardiens et des lecteurs les pouvoirs pour l'instant secret, passé sous silence de John. Ces pouvoirs auront un impact fort sur deux vies, celle de Mister Jingles ainsi que celle de Paul. Grace a lui il a réussi à faire vivre des personnes ayant une âme pure. En effet John aide et est ami avec les personnes biens. Il offre à ses deux personnages un présent digne d'une divinité. Il leurs donne par le biais de ses guérisons et de sa ressuscitation le présent de la vie. La dernière phrase de ce roman montre que ce présent est d'une forte puissance, « Mais parfois, ô Dieu, que la ligne verte est longue ! » page 503. Pourquoi peut-on dire qu'il s'agit d'un roman contre la peine de mort ? Tous d'abord ce romans nous plonge dans un décor des plus mortuaire, en effet l'intrigue prend place dans la ligne verte, ligne menant à la chaise électriques donc à la mort. A travers la description des personnages Stephen King nous dresse un portrait totalement différent de chaque personnage. Percy par exemple est un personnage cruel et sadique dès ses premières acclamations à travers le pénitencier : « Place aux morts ! ». Ces paroles ont comme objectif de rappeler sans cesse aux détenus leurs destins imminents. Le détenu Edouard Delacroix est décrit de façon à le faire accepter du lecteur malgré ses crimes : « Mais si atroce qu'ai été son crime, c'était du passé, et il était là, maintenant, allongé sur sa couchette, s'amusant de voir son petit compagnon courir sur le dos de ses mains. » A travers ses descriptions les rôles sont inversé le gardes est détesté alors que le détenu lui a l'air doux et inoffensif. Malgré tous les autres gardes essayent de rendre la vie la plus simple possibles aux détenus, ils sympathisent entre eux et rigolent. Lorsque Stephen King fait les descriptions des détenus il insiste sur les aspects humains de leurs personnalité comme lorsqu'il montre l'amour de Delacroix pour Mister Jingles ou la générosité de John Caffey lors de ses nombreux sauvetages. Il essaye de nous toucher et de suscité chez le lecteur une forme d'empathie pour les personnages. Lorsque nous découvrons le personnage de John Caffey pour la première fois les lignes sont totalement affreuses et surréalistes : « L'homme noir ce balançait d'avant en arrière, Cora et Kathe, telles des poupées, dans ses bras dont les énormes biceps se gonflaient et se détendaient, se gonflaient et se détendaient. [...] Il resta assis en gémissant et se balançant, le regard fixé sur l'autre rive. ». Malgré ce portrait terrifiant ce personnage nous donne une impression de mystère comme-ci nous ne savions pas toute son histoire à travers cette phrase répété tout au long du romans « J'ai pas pu faire autrement patron. J'ai essayé mais c'était trop tard ». Nous apprenons par la suite a découvrir ce personnage doté un pouvoir surhumains, irréel et d'une générosité incroyable« Et puis il s'est rapproché davantage et ses lèvres douces et épaisses ont pressé celles de Melly, les forçant à s'ouvrir. [...] Un léger sifflement a empli la pièce, tandis qu'il aspirait l'air des poumons de Melinda. Le bruit n'a duré qu'une seconde ou deux et, soudain, le plancher a bougé sous nos pieds et la maison entière a frémi. [...] John Caffey s'est enfin écarté de Melinda, dont le visage avait changé : il s'était lissé. Le côté droit de sa bouche ne pendait plus. Ses yeux avaient retrouvé leur dessin naturel. Elle semblait avoir rajeuni de dix ans. » L'auteur nous fait d'abord comprendre par nous même que cet homme serait incapable de tuer deux petite fille innocente avant de nous révéler la vérité à travers le personnage de William Wharton et cette vision abominable du meurtre de ses jeunes filles. Enfin l'auteur utilise son roman pour revendiquer la peine de mort à travers les exécutions détaillé et monstrueuse en n'apprenant aucun détails : « La cagoule s'était consumée et on pouvait tous voir le visage de Delacroix. Enfin, ce qu'il en restait Il était plus noir que celui de John Caffey. [...] De la fumée sortait du col ouvert de sa chemise qui, l'instant d'après prenait feu. » Cette exécution est la plus cruelle de toutes celles décrite par Stephen King. Enfin l'exécution de John Caffey reste la plus dur à lire car elle est le symbole de l'injustice et montre au lecteur qu'à travers cette pratique barbare, tout individu se trouvant au mauvais endroit, au mauvais moment peut mourir sur la chaise électrique la preuve porte un nom, celui de John Caffey. Enfin il montre sa protestation à travers le garde Paul qui ne supportera pas cette injustice : « -J'veux dire qu'on se prépare à tuer un don de Dieu. Quelqu'un qui n'a jamais fiat de mal à personne. Qu'est-ce que je dirai quand j'me retrouverai un jour devant le Tout-Puissant et qu'il me demandera de Lui expliquer pourquoi j'ai fait ça ? Que c'était mon boulot ? Mon putain de boulot ? » Il montre à travers ce personnage et ce romans que la peine de mort ne fiat pas que supprimer les mauvaise personne en l'occurrence ici elle supprime un don de Dieu et ça devant des personnes totalement impuissante à ce fléaux.

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