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Fiche méthode - Chapitre 1 : Dans un monde aux ressources limitées, comment faire des choix ?

Publié le 17/11/2013

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FICHE METHODE 1ère ES SES Chapitre 1 : Dans un monde aux ressources limitées, comment faire des choix ? Dossier 1 : Les grandes questions que se posent les économistes Les Besoins : o Besoins: Sentiment de manque, de privation dut à la condition humaine et à la société. o Besoin primaire: C'est un besoin nécessaire à la survie de l'individu. = Besoin vitale. Ex: Alimentation, vestimentaire, logement.. o Besoins secondaires: Ils correspondent à des besoins de civilisation. Ils sont ressentis nécessaire mais ne sont pas indispensable à la survie. Ex: Consoles, sorties, ect.. Pyramide de Maslow : 5 Besoin de s'accomplir (épanouissement, créativité) 4 Besoin d'estime (reconnaissance, statu, réussite, respect) 3 Besoin d'appartenance (recherche confiance en soi, besoin d'être aidé, amour des proches) 2 Besoin de sécurité (protection, stabilité politique) 1 Besoins physiologiques (Nourriture, abri, chaleur, dormir, logement) Les biens : o Bien libre: Il est disponible gratuitement, ca production ne nécessite aucun travail humain. Pour se le procurer aucun effort n'est nécessaire. Ils existent en quantité illimitée à l'état naturel. Ex : fruit, soleil ect.. o Bien économique: Il résulte de l'activité économique, il est produit par l'homme. Biens rares qui nécessitent un effort de l'homme pour le produire. Ex : Biens matériels : -> bien de prod*(machine dans les entreprises (marteaux, four ect..)) -> bien de cons*(durable : immeuble, voiture / non durable : ciga...

« ~ La consommation d'un bien dépend en premier lieu de l'utilité qu'apportent ce bien et les suivants.

Mais il apparaît que l'utilité totale pour un bien décroit avec ses quantités.

En effet, si un litre d'eau est essentiel à la vie, le millionième litre est d'une moindre importance individuelle.

L'analyse microéconomique (qui analyse le comportement du consommateur ou du producteur) montre ainsi que l'utilité marginale (celle de la dernière unité consommée) est de plus en plus faible et qu'elle peut devenir nulle.

Attention l'utilité est difficilement quantifiable, chacun possède ses préférences qu'elles soient personnelles ou dues à des gouts familiaux et culturel : les goût sont subjectif.

Ex: certains accordant plus d'importance aux voiture, tandis que d'autre à leur maison. II- Les choix dépendent des contraintes de budget ~ Mais il ne suffit pas de choisir pour consommer.

En effet, si l'utilité est un des critères essentiels de la consommation, le prix des biens et la contrainte de revenu interviennent aussi dans la décision.

La contrainte budgétaire est le montant maximal que peut dépenser un ménage, elle met donc en relation le revenu disponible, les prix des marchandises et leur quantité.

Ce qui compte n'est pas tant le prix d'un bien que son prix comparé aux autres biens, appelé le prix relatif. Ex: – le prix d'une tomate, dans l'absolu, n'est ni élevé, ni faible mais si le prix au kilo des tomates est vingt fois plus élevé que celui des carottes, alors les tomates sont chères. – la modélisation qu'effectuent les micro-économistes permet de mettre en relation une droite de budget correspondant à un revenu totalement consommé dans l'achat de deux biens à des prix différents avec la références des consommateurs représentés par une autre courbe. ~ Faire un choix nécessite aussi de considérer le coût de ce à quoi on renonce : si on décide d'aller au cinéma, on renonce à l'utilité et a la satisfaction de lire un livre.

Les économistes appellent ça le coût d'opportunité. III- Les échanges marchands permettent de se procurer tout ce dont on a besoin ~ Il est impossible de tout produire soi-même, tant au niveau matériel (il faudrait beaucoup de machines différentes) qu'humain (il faudrait avoir d'innombrables connaissances et un temps infini).

Ainsi les individus, comme les pays sont obligés de se spécialiser dans une activité et de vendre ce qu'ils ont produit pour pouvoir acheter ce dont ils ont besoin.

Le travail est ainsi divisé, autant localement (le boulanger, le boucher, le professeur...) qu'internationalement (le pétrole, les produits agricoles, la confection..), ce qui engendrent des échanges marchands. De fait, pour se procurer ce dont ils ont besoin, les individus doivent échanger.

Il leur est nécessaire de se spécialiser dans une activité, ce qui crée la division du travail. IV- La spécialisation favorise l'efficacité et les gains à l'échange ~ La spécialisation est facilitée, d'une part par les avantages absolus dont on dispose chacun (exemple : si je suis le meilleur en musique, j'ai intérêt à devenir musicien) et, d'autre part, par les avantages comparatifs ( par exemple, même si la Suisse n'est pas la meilleure dans la production de montre par rapport aux autres pays, c'est dans ce domaine qu'elle est relativement plus performantes par rapport au autres biens qu'elle pourrait produire).

En ce spécialisant et en échangeant ce que l'on a produit, on récupère plus de biens et de services que si l'on avais tout produit soi-même.

On réalise donc un gain d'échange. ~ Cependant, même si le gain global à la spécialisation et aux échanges marchands est indéniable, certains participants à ces échange gagnent nettement plus que les autres : les échanges marchands créent donc des inégalités. Contrainte budgétaire : • Revenu • Prix relatif • Coût d'opportunité. »

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