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liège.

Publié le 05/11/2013

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liège. n.m., tissu protecteur des tiges et racines des végétaux supérieurs ligneux, encore appelé suber. Il est formé de cellules mortes aux parois imprégnées de subérine, substance imperméable aux liquides et aux gaz. Les cellules contiennent soit de l'air, qui donne au liège une couleur blanche (écorce de bouleau), soit des résines colorées. Le liège est la partie externe de l'écorce. Il protège les tissus sous-jacents de la dessiccation, de la chaleur et du froid, ainsi que des chocs. Après une blessure du tronc, un liège de cicatrisation se forme. Le liège utilisé pour les bouchons ou divers revêtements provient essentiellement du chêne-liège ( Quercus suber ), espèce méditerranéenne des sols siliceux qui atteint 12 m de haut et peut vivre cent cinquante ans. La première écorce est sans intérêt. Après un premier démasclage, une nouvelle couche de suber se forme et elle est prélevée ensuite tous les dix ans environ. On taille les bouchons perpendiculairement aux fentes laissées par les lenticelles. Les pays méditerranéens fournissent les meilleures qualités de liège.

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