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L'eau va-t-elle manquer pour les populations sur la planète bleue ?

Publié le 02/02/2015

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L'eau va-t-elle manquer pour les populations sur la planète bleue ? INTRO° : Planète bleue et pourtant manque d'eau alors que planète dominait par l'eau à 98%. L'Hémisphère Sud quasiment recouvert d'eau. Problème : rapport entre ressources et sociétés. Comment les sociétés vont produire l'accessibilté à l'eau ? VOIR TD EAU. Régions du monde qui ont des taux de mortalités forts : 118 pour 1000 en Mer d'Aral. Pourquoi le manque d'eau n'est pas une question de ressources mais traduit une difficulté d'accès à l'eau, accès conditionné par des facteurs non pas naturels mais politiques et socio- économiques. La planète bleue ne manque pas d'eau même si la pop° mondiale et ses besoins sont croissants. A. Techniquement assez d'eau douce  à la surface pour alimenter les hommes et les activités. Sur la totalité de l'hydrosphère l'eau demeure salée à 97,5% et le reste 2,5% eau douce dans les inlandsis. Il ne reste que moins de 0,7% d'eau douce accessible en surface = cours d'eau, lacs, nappes souterraines, acquières. Pourtant stock d'eau disponible important et variable détenu par le Groenland où grande quantité sous forme de glace et l'Océanie faible quantité mais eau souterraine. Donc problème comment va la récupérer pour la récupérer et l'exploiter ? Pénurie d'eau : ce qui ont moins de 1000 mcube par habitant et par an dispo : Maroc, Algérie = Afrique Du Nord et Péninsule Arabique + Kenya. ...

« Evaporation d’eau = précipitations sur les murs + terres = eau ruissellement de surface + souterraine.

Cycle qui va faire en sorte que l’eau se maintient.

Cycle de l’eau potable de la production au traitement + capacité des sociétés à fonder des espaces pour récupérer de l’eau : captages, distributions, entretien des réseaux, collecte des eaux usées.

Gérer cycle de l’eau potable : gérer l’eau qui suppose des approches techniques accessibles selon les sociétés. B.

Toutes les sociétés n’ont pas les mêmes moyens éco et techniques pour fabriquer les espaces à l’eau potables.

Avoir un point d’eau à moins de 200 m de chez soi selon l’ONU.

90% des 3 milliards de la planète se trouveront dans des pays en dév donc pas même moyens éco et techniques.

340 millions d’africains d’ici 2015 n’ont pas accès à l’eau potable. Eau pour hygiène participe de la question de l’eau = mélange réseau potable et évacuation des eaux usées (assainissement) => risque de contamination si mal fait. La situation s’aggrave notamment dans les pays d’Afrique Nord, sud continent indien, zone de stress hydrique => pénurie où accès à l’eau encore plus faible. C.

L’eau a un prix et est un révélateur des inégalités socio-spatiales.

Pour le moment, l’eau est bien économique, une marchandise.

L’eau douce des lacs qui n’est pas potable est en accès libre mais sa transformation vers l’eau potable + entretien des réseaux.

Eau moins chère = celle donnée par service publique mais aussi des réseaux publics mais aussi des vendeurs indirects.

Ils déplacement donc ils vendent un service donc prix de l’eau chère dans les quartiers défavorisées qui n’ont pas un accès à l’eau.

FMI, Banque mondiale = PPP qui est fait l’union entre entreprises privées et municipalités (traitement, approvisionnement en eau).

Ce sont de très grandes multinationales.

Les opérateurs ne desservent pas le pays en entier mais dans une ville Rio de Janeiro etc.

Milieux ruraux font donc appel à des eaux de rivières etc.

Ces compagnies, depuis la crise en Argentine => replier sur des marchés sûrs et se désengagent dans les pays émergents.  Eau, bien commun ? Antoine Frérot défend l’idée qu’il fau un juste milieu = le prix de l’eau socialement abordable alors que l’ONG et PNUD = bien commun.

Forum alternatif de l’eau = elle devrait sortir de l’économie marchande.

Mais le forum mondial de l’eau à Istanbul = peu d’argent contrairement à celui de l’effet de serre etc.

Les gestionnaires de l’eau sont convaincus mais pas rôle celui du gouvernement et chef de l’ETAT.

A l’échelle même d’une ville prix variable de l’eau = article sur Djibouti.

Les quartiers centraux = accès à l’eau courante avec prix bas à la différence des quartiers périphériques. III.

L’accès à l’eu est source de tensions, cependant les guerres de l’eau n’ont pas lieu. A.

Les espaces de l’eau sont structurés par des questions politiques. Tensions existent autour des partages des ressources.

Concurrence ville/agriculture + pollution nappes phréatiques + question des réfugié climatique.. »

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