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La momie de Ramsès Ier retrouvée ?

Publié le 09/10/2013

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Selon le même journal, la dé-pouille ne remonterait pas à l'époque ptolémaïque, mais à la Troisième Période intermé-diaire (1085-790 avant J.-C.). Les résultats sont donc encou¬rageants, même si le règne de Ramsès le' est beaucoup plus ancien. Il remonte en effet aux alentours de 1300 avant J.-C. et celui de Ramsès X à 1100 avant

La méthode de datation au carbone 14 n'étant pas entiè-rement fiable, des analyses plus pointues ont rapidement été considérées comme indis-pensables, mais le petit mu-sée canadien n'avait pas les moyens de se les offrir. La col¬lection a donc finalement été mise en vente, et Peter Laco-vara, directeur du départe¬ment des Antiquités égyp¬tiennes du ...

« de qualité de la fin du Nouvel Empire.

Mais les rayons X ont révélé que les viscères avaient ensuite été enveloppés et re­ placés dans la cavité thoraci­ que, pratique en vogue dans l'Égypte tardive mais inhabi­ tuelle à cette époque .

On a donc d'abord daté la dé­ pouille de l'époque ptolémaï­ que, jusqu'à ce qu'on remar­ que une ressemblance physi­ que étonnante entre cette momie et celles de Séthi 1• • et de Ramsès Il.

Un espoir fou a alqrs germé dans les esprits : la NFM-MS ne pourrait-elle pas être une des dé- pouilles perdues des Ramsès VII, VIII ou X, ou, pourquoi pas , celle de Ramsès 1•• ? Cet­ te affirmation, d'abord émise sur le ton de la plaisante­ rie, s'est peu à peu i mposée, et la mo­ mie rebaptisée, d'après le maga- zine américain KMT, Ramse s for Luck a fait l'objet d'un test au carbone 14.

Selon le même journal , la dé ­ pouille ne remonterait pas à l'époque ptolémaïque, mais à la Trois ième P ériode intermé­ diaire (1085-790 avant J.-C.) .

Les résultats sont do nc encou­ rageants, même si le règne de Ramsès 1• • est beaucoup plus ancien .

Il remonte en effet aux alentours de 1300 avant J.-C.

et celui de Ramsès X à 1100 avant J.-C.

La méthode de datation au carbone 14 n'étant pas entiè­ rement fiable , des analyses p l us pointues ont rap i dement été cons idérées comme indis­ pensables, mais le petit mu­ sée canadien n'avait pas les moyens de se les offr ir.

La col ­ lection a donc finalement été mise en vente, et Peter Laco­ vara , directeur du départe­ ment des Antiquités égyp­ tiennes du musée d'Atlanta , s'en est porté acquéreur .

On attend aujourd 'hu i les ré­ sultats de la série de tests et d'analyses ADN que la momie devrait subi r.

Peut-être con­ firmeront-ils le fol espoir de certains, mais rien n'est évi ­ demment encore gagné.. »

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