EL DELTA DEL EBRO
Publié le 16/09/2014
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EL DELTA DEL EBRO
No lej os de alti, hacia la parte del mar, vela la « Casa Blanca «. El vasto edificio levantaba su silueta por encima de los carrizales, visible sdlo en su parte alta, con las dos chimeneas simétricas. En un tiempo no lejano, la « Casa Blanca «, con los vastos terrenos que la rodeaban, habia pertenecido a una compailia inglesa, que emprendiô en vano la tarea de sanear los eriales y paner aquellas tierras en cultiva. La « Casa Blanca « habia sida en aquellos dias el centro de una actividad febril. Una gran muchedumbre de trabajadores se movia incesanternente por sus patios y por sus salas espaciosas y hiimedas, mientras las chimeneas humeaban sin cesar con el humo de las cocinas. Se habian efectuado amplias instalaciones de drenaje en los pantanos ; las bombas patentes hundian sus brazos en los embalses para extraer de chas las aguas cenagosas. Al despuntar el alba empezaba ya la tarea ; los motores difundian en el silencio el estruendo de su patente palpitaciôn, y los traba-jadores esparcianse por los campos con las guadafias y las màquinas roturadoras. Al mediodia se reunian todos a corner en el centra del patio espacioso que se abria detrâs de la casa, tan grande que podian celebrarse en él corridas de toros. Por la tarde volvian al trabajo ; de nuevo se oia el fuerte trepidar de los motores, dilatandose en el silencio, y que no cesaba ya hanta la noche, entre el incesante ir y venir de los trabajadores.
Actualmente se hallaba todo abandonado. La empresa fracas() ; las entradas del mar destruyeron los tiernos cultivos ; las màquinas quedaron abandonadas, cubiertas de herrumbre, y semienterradas en los limas ; y el junco y el almarjo y la espadafia cubrieron de nuevo los cultivos. Como Unica recuerdo quedaban la « Casa Blanca «, alzando sus dos chimeneas simétricas y enjalbegadas contra el fonda sombrio de la sierra, y la tumba de uno de los ingenieros, de su esposa y su hijo pequerio, que murieron alli y alli fueron enterrados juntos, en un breve recinto cerrado, plantado de sauces, j'alto al desagiie.
Muy cerca de la « Casa Blanca «, el pensamiento de Juan se detuvo en el lugar que guardaba los recuerdos de su ninez : la masia también abandonada, con el eucalipto frente a ella y con las eras donde habia jugado de Milo.
«
3 c' Qué causas motivaron el fracaso de la empresa ?
4 ( Ciertos pormenores no aumentan la tristeza de aquellos parajes muertos ?
5 (.
Qué impYesiones )' sentimentos despieYtan en el coraz6n de Juan el evocar aquellos recuerdos del pasado con las ruinas de espeYanzas muer/as ?
EJERCICIO GRAMATICAL
Il allait sous une voûte de sapins dont le vent déchaîné tirait des hurlements.
Nous nous trouvons au sommet d'une muraille de six mètres dont il faut couler pour gagner une étroite corniche.
Il comprenait aussi que toutes les masses du sol, dont la moindre l'eût écrasé, étaient arrachées de leur support.
Venons au détail des choses dont une femme doit être instruite.
J'ai passé là des journées dont je me souviens avec délice.
Si j'ai quelques bonnes qualités, celle dont je fais le plus de cas, c'est ma modestie.
Je viens vous demander ce dont pas un ne veut.
Elle n'a point eu de prospérités dont clk n'ait profité, ni de n1alheurs dont elle ne se soit servie.
Les choses dont il est parlé dans ces fragments sont très vraies et très singulières.
TEMA
Formation de la terre.
- Qu'on se représente encore l'aspect qu'offrait la terre immédiatement après cette seconde période, c'est-à-dire à cinquante ou soixante mille ans de sa formation.
})ans toutes les parties basses, des mares profondes, des cou rants rapides et des tournoiements d'eau ; des tremblements de terre presque continuels, produits par l'affaissement des cavernes et par les fréquentes explosions des volcans, tant sous mer que sur terre; des orages généraux et particuliers, des tourbillons de fumée et des tempêtes excitées par les vio lentes secousses de la terre et de la mer ; des inondations, des débordements, des déluges occasionnés par ces mêmes commo tions ; des fleuves de verre fondu, de bitume et de soufre, ravageant les montagnes et venant dans les plaines empoi sonner les eaux ; le soleil même presque toujours offusqué non seulement par des nuages aqueux, n1ais par des masses épaisses de cendres et de pierres poussées par les volcans ; et nous remercierons le Créateur de n'avoir pas rendu l'homme témoin de ces scènes effrayantes et terribles qui ont précédé et pour ainsi dire annoncé la naissance de la nature intelligente et sensible.
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BUFFON Époques de la 1 ature.
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