Caligula Acte IV Scène 14

Dans un second temps, nous voyons la mort de Caligula qui est attendue. Cette mort est pressentie par le fait que le personnage est agité. Malgré sa mort qui approche, Caligula garde espoir car il dit « La peur non plus ne dure pas » et il montre quand même de l'assurance avec « Je vais retrouver... », il semble sûr de lui cela est renforcé par la didascalie « il semble plus calme ». Grâce au parallélisme et l'antithèse : « Tout a l'air si compliqué. Tout est si simple pourtant », Caligula prouve qu'il veut s'expliquer. De plus on a également « Si j'avais... » qui montre qu'il cherche une explication car il y a le conditionnel et « si ». Le personnage est agité mais aussi calme ce qui s'oppose totalement, on voit qu'il a un besoin vital avec « Mais où étancher cette soif ? » pourtant cela est ensuite inversé avec « S 'agenouillant et pleurant » qui s'oppose au calme qu'il ressentait. Ce personnage est faible. On a un personnage qui s'agite de plus en plus « criant ». Nous avons donc une descente vers la folie du personnage, Caligula souffre et le fait comprendre grâce au répétition de « cette nuit est lourde » et à la comparaison « lourde comme la douleur humaine ». Grâce à ses cris, qu'il interpelle son propre reflet et qu'il ne comprend pas son reflet « Caligula se relève(...) en hurlant », on voit qu'il sombre dans la folie. Le personnage est totalement fou maintenat avec ses hoquets et son rire qui le prouve : la folie envahit le personnage. Le dénouement est très violent car nous avons le miroir qui casse, les cris de Caligula, la mort sur scène et également la phrase symbolique « Je suis encore vivant » alors que Caligula meurt.

En conclusion, on voit que nous avons un dénouement violent car Caligula sombre dans la folie et meurt poignardé. Ce qui reste symbolique est les derniers mots prononcés de Caligula.