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Candide, voltaire, la visite de l'Eldorado

Publié le 21/09/2018

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voltaire

La richesse n’a pas rendu mauvais les habitants. Cependant, nous avons une idée très vague de l’eldorado. Il y a une monarchie libérale mais pas d’organisation. . L’auteurnous propose plutôt des valeurs comme le bonheur, la générosité, l’égalité, l’envie d’apprendre, le respect de la justice. 
Ligne 104 « ce fut le palais des sciences, ans lequel il vit une galerie de deux mille pas, toute pleine d’instruments de mathématique et de physique. » Le développement des sciences est présent à l’eldorado. L’auteur était pour le progrès des sciences ce qu’il a prouvé en rédigeant l’Encyclopédie. 

Ligne 114 « tout ce qui étonna Candide, ce n’était pas ce qui l’étonna le moins. » Candide contemple la ville sans pouvoir la critiquer comme s’il n’était encore assez mature pour pourvoir la comparer à différents systèmes politiques ou l’évolution des sciences de l’Eldorado. Il reste distant, il ne fait aucune critique il est candide. 

Conclusion :
L’auteur nous présente le combat des philosophes des Lumières. L’utopie permet au lecteur de pouvoir s’interroger sur le contenu philosophique du texte. Ce voyage à l’Eldorado va permettre à Candide d’évoluer mais il va quitter l’Eldorado car il ne se rend pas encore compte que l’eldorado est un endroit parfait. Il est encore trop attaché à Cunégonde qui est en Westphalie. 
On pourrait penser que l’auteur aurait pu achever le conte au 18ème chapitre mais on supposerait alors que le bien existe même dans un pays imaginaire. Il manquerait la dénonciation de l’esclavage. Et nous ne saurions pas le sort de plusieurs des personnages notamment Cunégonde.

voltaire

« Ligne 84 « menèrent à l’appartement de Sa Majesté » ligne 93 « qui les reçut avec toutes la grâce imaginable et qui les pria poliment à souper.

» Ligne 100 « Candide demanda à voir la cours de justice, le parlement ; on lui dit qu’il n’y en avait point et qu’on ne plaidait jamais.

Il s’informa s’il y avait des prisons, et on lui dit que non.

» Ligne 108 « Candide se mis à table entre Sa Majesté » ligne 110 « jamais on n’eut plus d’esprit à souper qu’en eut Sa Majesté.

» Ligne 111 « les bons mots du roi » ligne 113 « toujours des bons mots » Le roi est quelqu’un de bon, ce n’est pas un tyran, il est ouvert.

Il n’y a pas d’inégalité sociale.

Toutes les personnes respectent cette monarchie libérale, personne ne viole les lois car il n’y a pas de prisons ni de justice. L’auteur critique la monarchie absolue de l’époque et la tyrannie qu’il ne supportait pas.

Il est pour une monarchie libérale.

La richesse n’a pas rendu mauvais les habitants.

Cependant, nous avons une idée très vague de l’eldorado.

Il y a une monarchie libérale mais pas d’organisation.

.

L’auteur nous propose plutôt des valeurs comme le bonheur, la générosité, l’égalité, l’envie d’apprendre, le respect de la justice.

Ligne 104 « ce fut le palais des sciences, ans lequel il vit une galerie de deux mille pas, toute pleine d’instruments de mathématique et de physique.

» Le développement des sciences est présent à l’eldorado.

L’auteur était pour le progrès des sciences ce qu’il a prouvé en rédigeant l’Encyclopédie.

Ligne 114 « tout ce qui étonna Candide, ce n’était pas ce qui l’étonna le moins.

» Candide contemple la ville sans pouvoir la critiquer comme s’il n’était encore assez mature pour pourvoir la comparer à différents systèmes politiques ou l’évolution des sciences de l’Eldorado.

Il reste distant, il ne fait aucune critique il est candide.

Conclusion : L’auteur nous présente le combat des philosophes des Lumières.

L’utopie permet au lecteur de pouvoir s’interroger sur le contenu philosophique du texte.

Ce voyage à l’Eldorado va permettre à Candide d’évoluer mais il va quitter l’Eldorado car il ne se rend pas encore compte que l’eldorado est un endroit parfait.

Il est encore trop attaché à Cunégonde qui est en Westphalie.

On pourrait penser que l’auteur aurait pu achever le conte au 18ème chapitre mais on supposerait alors que le bien existe même dans un pays imaginaire.

Il manquerait la dénonciation de l’esclavage.

Et nous ne saurions pas le sort de plusieurs des personnages notamment Cunégonde.. »

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