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Caprices de Marianne

Publié le 25/05/2014

Extrait du document

Alors que Coelio décide d'abandonner, Octave veut continuer d'oeuvrer pour son ami, il rencontre donc Marianne. Ce dialogue aborde les thèmes de la place des femmes dons la société (femme objet, emprisonnée dans une image) et on remarque que Marianne est de plus en plus agressive, on assiste a une joute verbale qui tourne en faveurs des femmes. I - une véritable joute verbale A - un rythme soutenu dans l'échange - L;1 et l.2 double parallélisme de construction qui renforce le coté négatif de Marianne - l. 3-5-10 et 15 à 18 : question qui testent la réactivité de Marianne on constate une grande réactivité de Marianne face a Octave - l.11 à 13 : répète « lequel » plusieurs fois + prop. Juxtaposées. Rythme saccadé qui accentue la résolution d'Octave et ainsi donner plus de force au discours de Marianne -l.1-2 et 20-21 : répétitions, Marianne rebondit sur les paroles d'Ocatave ce qui amplifie le rythme

« LA n°3 : Les caprices de Marianne «échange, le discours de Marianne n'a pas eu d'effet - l.

29 : rythme binaire : Octave est en stratégie de défense tandis que Marianne attaque II – Une argumentation en faveur de la femme A – Persuasion - l.

27 : métaphore, vocabulaire de l'évaporation, questions rhétorique : renforce l'attaque contre les hommes, ton tranchant avec le lyrisme du vocabulaire - l.

18 à 20 : reprise des métaphores d’Octave : souligne l'emprisonnement - l.15 et l.

18 : parallélisme de construction, passage du « jeu » au « elle ».

Marianne parle pour toutes les femmes, Marianne est prisonnière des attentes des hommes. - l.

32 à 28 : métaphore filée sur l'éducation féminine, image christique : Marianne parle de sa virginité, attente de délicatesse qui se heurte a la violence des hommes - l.33 à 35 : question rhétorique, métaphore, vocabulaires de la timidité : référence aux hommes romantiques mais qui sont mas vu par les auters hommes B – Les femmes sont prisonnières des hommes - l.

25 – 26 : rythme ternaire : le bonheur de la femme est détruit par la brutalité des hommes - l.

15-16 et l.18 : parallélisme de construction et question rethorique : les femmes sont toujours moquée et soumises aux hommes - l.

16 à 18 : proposition juxtaposée, vocabulaire de la violence, homme est sujet et la femme COD : les femmes sont es objets du désir, sans pouvoir et mise au banc par la société. - l11 à 13 : répétition, opposition femme seule / Coélio et ses amis, tournure passive : femme seule soumise aux hommes ne peut pas se défendre C – Marianne prends plus de prestance - l.32 exclamation + présentatif : Marianne parle a la place des hommes en révélant la violence de leur comportement - l.

30 et 31 : CCT, pronom « on » et métaphore.

Montre la fragilité de la femme, métaphore de la occupe pour rebondir sur l'ignorance d'Octave et généralisation de la pensée masculine l.11 à 14 : langage judiciaire : ton sarcastique de Marianne Bilan : passage qui permet a Musset de donner plus de profondeur a Marianne On s'eloigne de l'intrigue principale On met en valeur les sentiments de Marinne Premier passage des nombreux dialogues Marianne Coélio. »

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