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Commentaire composé

Publié le 11/01/2015

Extrait du document

Introduction Ce texte est un extrait de la pièce de Faust qui est écrit par  écrivain romantique l’allemand « Gœte ». Gerard de Nerval, fervent de la littérature allemande, a traduit cette pièce en français.Dans cet extrait du premier acte, nous observons Faust, un savant honnête, qui a parié avec démon « Méphistophéles » pour satisfaire à ses désirs. Mais plus tard il avait tombé amoureux d’une jaune fille nommé Margueritte. En absent de celle-ci, il est entré dans sa chambre avec l’aide de Méphistophéles. Par un monologue, nous voyons l’élan de sentiment du héros envers son bien aimé et  le saisissement intérieur de lui. Nous étudions d’abord le combat intérieur de héros et puis nous étudions l’idée religieuse de traits double et opposé de l’homme. Enfin nous voyons le rôle de monologue et son importance dans ce texte.   I ) Combat intérieur Ce monologue nous indique le saisissement intérieur de Faust. Il cherche la perfection dans les plaisirs mondaine. Mais il ne trouve le contentement dans une cabane si bana...

« une tendre mère, qui t'instruit à étendre proprement le tapis sur la table, et te fait remarquer même les grains de poussière qui crient sous tes pieds ».

Faust se rendre compte que satisfaction ses désir n'a aucun rapporte avec les délices fugitive, et il voit que par pureté cette banale change : « Dans cette misère que de plénitude! Dans ce cachot que de félicité ».     II) Idée religieuse Nous pouvons trouver dans ce texte, une idée de la doctrine chrétien.

Selon cette idée homme est constitué de deux aspirations opposées : l'un divine, l'autre mondaine.

Selon  Victor Hugo, cette idée dit a l'homme : « tu es double, tu es composé de deux êtres, l'un périssable, l'autre immortel, l'un charnel l'autre éthéré, l'un enchainé par les appétits,  les besoins et les passions, l'autre sur les ailes de enthousiasme et la rêverie, celle-ci enfin toujours courbé  ver la terre, sa mère, celui-là sans cesse élancer vers le ciel, sa patrie ».

Faust est tourmenté et il n'a pas le pouvoir de désirer.

Les plaisirs mondains lui séduit : « quelles délices cruelles s'emparent de moi ! ».

Et Faust veut satisfaire ses passions : « je me sens avide de plaisirs, et je me laisse aller aux songes de l'amour ».

Mais en observant la simplicité et l'ordre chez la jeune fille, il trouve que la rédemption n'est pas dans les délices terrestres, un fauteuil lui ressemble « un trône paternelle ».

Puisqu'il entouré d'une « vapeur enchanté ».

Mais quand il revient vers la lucidité, il se demande de la correcte direction : « que veux-tu ici? » ou « qui t'a conduit ici? De quels sentiments, te trouve -te agité? ».

Nous voyons une véritable paralyse face à deux impératifs opposés et inconciliables. III) Le rôle de monologue Le monologue a divers fonctions sur la scène comme d'autres formes de la scène, il est parfois le moyen de faire connaître au spectateur un action qui n'est pas déroulé devant ses yeux.

Mais il s'agit parfois d'un fait révélateur d'intérieur d'un personnage.

Cette révélation de la vie intérieure est spécifique du monologue.

Dans  le monologue le personnage est seul, donc il n'est pas contraint par la présence des autres à dissimuler.

Dans la solitude, l'expression recouvre la liberté et le personnage peut exprimer ses pensées et ses sentiments.

Dans cette scène l'apparition d'un monologue montre le saisissement intérieur du héros.

Le monologue serve ici à. »

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