Comparez les textes du corpus.

« l....es guestions 6) Il n'y a pas de raison de revenir à la ligne.

Consacrez un para­ graphe par idée (ressemblances/ différences), mais pas un para­ graphe par exemple.

7) La ressemblance est notable, on peut même parler de réécri­ ture.

Shakespeare met d'ailleurs en scène les aventures de Pyrame et Thisbé dans Le Songe d'une nuit d'été.

8) Évitez les jugements de valeur.

9) Là encore, vous confondez la mort avec la dimension tragique.

Une scène peut être tragique sans que les personnages meurent et inversement.

10) Non.

Hernani est un drame.

11) Vers! Même si l'alexandrin* est disloqué, la scène est bien ver­ sifiée.

12) Non.

Si la présence d'une fatalité caractérise la tragédie, ce n'est pas l'élément essentiel pour un drame.

mourir».

v.

16).

accompagné du champ lexical de la mort présent dans ces relevés.

Dans le texte de Théophile de Viau 6 .

Pyrame et Thisbé.

il s'agit aussi de la tin de la pièce (acte V scène 2) qui se trouve être une tragédie car l'histoire ressemble à celle de Roméo et Juliette 7 En eHet.

son amant mort.

Thisbé veut se tuer pour le reJOindre.

On remarque un champ lexical de la mort reflétant cette idée («et regardant Pyrame/Trépassé devant moi je n'ai point perdu l'âme».

v.

1-2 : « ô mort! s ïlse peut que plus que lui je meure».

v.

~6).

Le dénoue- ment' est tragique car la pièce s'achève sur cette mort conJOinte lors du monologue* de Thisbé.

Pour ce qui est de Phèdre de Racine.

la scène 7 de l'acte V est la dernière de cette grande tragédié On assiste.

encore une fois.

à la mort de l'hérol'ne.

traduite par un champ lexi­ cal de la souffrance et du trépas ( « Par un chemin plus lent descendre chez les morts».

v.

15 : « Déjà jusqu 'à mon cœur.

le venin par­ venu/Dans ce cœur expirant jette un froid inconnu».

v.

18-19 ).

La dernière réplique de Panope ( « Elle expire Seigneur».

v.

2 ~) illustre l'idée d'un dénouement* tragique 9.

Enfin.

dans l'extrait de Hernani de Victor Hugo.

la scène qui se trouve être une tragédie 10 est aussi en tin d'œuvre (acte V.

scène 6).

L'idée de mort est présente par le biais d'un champ lexical : «mourir».

v.

1: «c'est une mort affreuse».

v.

20: «Mort!».

v.

5~.

L'idée de tragédie est exprimée par la mention du terme « fatalité» à la ligne 3 711.

qui est l'une des caractéristiques du genre1 2 Les similitudes concernant la tragédie et l'idée de mort étant traitées.

voici une deuxième idée commune aux quatre textes du corpus : l'amour et la personnalité de femme courageuse par la force de son amour.

Pour ce qui est de Juliette dans l'œuvre de Shakespeare.

ou de Thisbé dans la pièce de Théophile de Viau.

on peut parler de femmes amoureuses et courageuses ________________________ j _________________________________________________________ _. »