moira.parrde

« avec les alexandrins et les rimes.

Elle est le modèle à suivre pour toutes les autre jeunes filles.

Elle est en tous points parfaite.

Celle que tout père rêve d’avoir.

Une jeune fille pure, délicate et qui ne s’attache cas son père pas aux autres hommes.

En nous nous rendons compte de cela, nous distinguons que cette jeune fille est le souvenir de sa fille perdue a l’âge de 17 ans avent qu’elle décide de se marier.

Il ne lui fait que des compliments, mais garde son rôle de père.

Il lui ordonne toujours, à l’aide de ce poème d’être comme il le désire (sois belle, sois bénie) et continue à lui refusée les hommes même dans la mort (…l’homme, spectre obscur du mal et de l’exil).

Cela montre au lecteur que ce n’est pas qu’un poète qui parle, mais aussi le père qui reste toujours inquiet pour sa fille. On comprend que Victor Hugo envoie un message à sa fille adorée dans ce poème.

Il fait en quelque sorte l’éloge de sa si jolie fille.

En connaissant la vie d’Hugo, nous savons qu’ils étaient en conflit avec Léopoldine quand cette dernière est morte avec son mari.

Victor Hugo a écrit ce texte dans le but de la faire revivre en la décrivent et pour lui demander pardon.

Il la fige dans le temps pour la rendre immortelle comme ses poèmes.

Il donne les codes de la jeune fille parfaite pour peut-être la retrouver dans une autre fille et pour la revoir revenir. Pour conclure et apprêt avoir vue ‘’l’éloge de la jeune fille’’ et par la suite ‘’l’hommage a sa fille’’ on peut dire dans un premier temps que le poème peut être considéré comme une définition d’une jeune fille de 17 ans divine et parfaite.

Mais après avoir analysé, nous constatons qu’en réalité c’est l’éloge de sa propre fille.

Il veut se faire pardonner à Léopoldine.

Hugo tente de capturer son âme et de figer ses souvenirs dans ses vers.

Le pardon de sa fille est l’une des plus grandes espérances de Victor Hugo, ce qui le conduira à essayer de communiquer avec elle de plusieurs moyens.

Dons ce poème et dans d’autre. Nous retrouvons la même représentation d’une jeune fille dans de nombreux autre poèmes. Jamais il ne la dénigre quand il emploi le terme de « jeune fille ».

Hugo espéra tout le reste de sa vie que cela pourrait lui procurer son pardon et la faire d’une certaine manière revenir.. »