Jeux publics - mythologie

jeux publics. 1. En Grèce. 1. Au VIIIe siècle av. J.-C., pendant la période de la colonisation, lorsque les grandes fêtes religieuses naquirent de la conscience qu’avaient les Grecs de leur unité, des concours athlétiques et équestres furent également intégrés à ces fêtes. Cela en partie parce que les Grecs pensaient que, s’ils aimaient ces jeux, les dieux devaient les aimer aussi, en partie parce que la foule réunie lors des fêtes fournissait un large public. Ainsi le lien entre le sport et les fêtes religieuses était, jusqu’à un certain point, dû au hasard.

Il y avait deux catégories de jeux publics, ceux où l’on gagnait un prix en argent et ceux qui étaient avant tout religieux et où les vainqueurs gagnaient uniquement des couronnes. Les premiers pouvaient être instaurés par n’importe quelle cité qui en avait les moyens, et à l’époque hellénistique et romaine de nombreuses cités en

fondèrent en l’honneur de rois ou

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d’empereurs. A la seconde catégorie appartiennent les quatre grandes fêtes panhelléniques, qui existent toutes au