la barbarie

« → Idée de hiérarchie qualitative : L'homme est qualitativement meilleur que le porc.

L'imbécile ignore le plaisir qu'il manque. → On ne peut pas savoir ce qu'il nous manque si l'on ne l'a pas fait. Également une hiérarchie entre les hommes : Critères de la dignité humaine.

(Exemple : Manger à la cantine.

On privilégiera le fait de manger bien et pas à sa faim.

→ Différence qualitative). Ce texte fournit une définition de la vie humaine en insistant sur des facteurs qualitatifs.

Devenir un homme est un travail de toute une vie dans la recherche de la culture.

Conclusion du chapitre. → Nous nous sommes interrogés sur l'homme et l'animal pour envisager une spécificité humaine : L'homme se distingue grâce à la culture.

L'éducation permet de modifier l'homme (Langages, connaissances …) La barbarie serait l'état animal de l'homme dans lequel il ne maîtrise pas ses instincts.

(Texte de Malson, Les Enfants Sauvages ) Les potentialités néfastes sont soulignées → La culture peut entraîner la barbarie.

La culture est ambiguë et façonne l'homme à son image : Perspective d'idéal.

Pour sortir de cette barbarie deux critères : – L'éducation. – La politique (L'idéal avec l'autonomie). L'éducation permet à l'homme de maîtriser ses instincts et de développer sa raison. La politique lui permet d'éviter qu'il soit asservit.. »