FREUD: « la vie psychique d’un névropathe » et « l’analyse de rêve »

« 2- « Car … malade » L3-L6 : « la conception de Freud sur la nature du psychique. Pour Freud, le psychique est caractérisé par l’inconscient.

Car la conscience présente des limites.

« Les processus de pensée les plus compliqués et les parfaits peuvent se dérouler sans exciter la conscience du malade (…) » L5-L6. La conscience n’arrive pas à expliquer certains faits vécus par l’homme.

Par exemple « la vie psychique d’un névropathe » L4 et « l’analyse de rêve » L4. II- L’INCONSCIENT, ESSENCE DU PSYCHISME HUMAIN 1- « Pour … plus petit » L7-L9 : La supériorité de l’inconscient sur la conscience dans le psychique. La surestimation de la conscience constitue une entrave à la compréhension de la vie psychique.

Ce qui laisse entrevoir que seul l’inconscient permet de « bien comprendre la vie psychique » L7.

L’inconscient peut exister sans la conscience, voire même la dominer.

Car « l’inconscient est pareil à un grand cercle qui enfermerait le conscient comme un cercle plus petit » L7-L9.

D’où la supériorité de l’inconscient. 2- « Il ne peut … extérieur » L9-L13 : L’inconscient caractéristique principale du psychisme humain. L’inconscient occupe une grande partie du psychisme humain.

« L’inconscient est le psychique lui-même et son essentielle réalité » L11.

C’est – à – dire que tous les actes posés par l’homme sont d’abord de façon inconsciente. « L’inconscient peut se passer de stade conscient et avoir cependant une valeur psychique » L10-L11.

Par là, l’auteur montre que, qu’il y ait de conscience ou pas, le psychique sera toujours caractérisé par l’inconscient.. »