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Kant et la révolution copernicienne

Publié le 08/09/2013

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Kant et la révolution copernicienne Il est amené à poser trois questions. Différentes de celles de la critique de la raison pure. Que puis-je connaître ? Que dois je faire ? Que m'est il permis d'espérer ? Comment la mathématique pure est-elle possible ? Comment la connaissance pure de la nature est-elle possible ? Comment la métaphysique est-elle possible ? Métaphysique : désir d'une connaissance non sensible ? Or, toute connaissance est sensible, part de l'espérience. Toute notre connaissance dérive de l'expérience. Ce qui est pur c'est ce qui est complètement indépendant de l'expérience. « Il n'y a rien dans l'esprit qui n'est d'abord été dans les sens , sauf l'esprit lui-même « Leibniz A/ Le je : l'un...

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« La raison nous incite à maintenir le cadre d'une explication rationnelle : tout dans la nature relève d'un rapport réglé d'une loi entre phénomène.

Il n'y a pas dans la nature de loi surnaturelle.

Idées régulatrice.

L'Idée définit un horizon de la recherche .

3) Réponse 3 Kant rq les idées de la raison, puisqu'elles sont métaphysiques, négativement, elles ne sont jamais garanties par elles.

Mais elles ne sont jamais non plus démenties.

Jusqu'à maintenant en métaphysique, on a voulu connaître le suprasensible.

Kant propose une inversion : on ne peut pas connaître le suprasensible, puisque que connaître c'est toujours convoquer le sensible.

Mais le suprasensible est non sensible.

Donc, toute investigation du suprasensible est impossible.

D'où l'inversion qu'il propose.

Il ne faut pas enqueter sur le suprasensible, il faut regarder ce qui est : le monde, la nature, les phénomènes à partir des points de vue offerts par les idées.

Il faut penser le sensible à partir du suprasensible.

Il faut se servir des idées de la raison pr se procurer une lecture de l'expérience.

Pour procurer aux idées une certaine objectivité.

La métaphyisique n'est plus intrusion dans le métasensible.

Elle est regard sur ce qui est, à partir d'un point de vue métaphysique.

C'est comme si la métaphysique devenait une grille de lecture.

On change le rapport que l'on a avec la préoccupation métaphysique.

On cherche à regarder d'un autre point de vue ce qui est.

« On n'évite ainsi d'employer cet attribut (la raison) pour penser Dieu au lieu d'en user pour penser le monde (…) Nous pensons le monde comme si son existence et sa détermination interne tirait leur origine d'une raison suprême.

».

On doit penser à partir du supra-sensible ? Comment l'expérience relève de deux lois ? Quelles sont-elles ? Les Idées, les concepts de la raison, n'ont pas d'usage transcendant.

Elles ne nous renseigne en rien sur le supra-sensible.

Il faut trouver un usage immanent des Idées.

Il faut qu'elles puissent trouver une application au sein du sensible.

Tout phénomène renvoie à une cause qui le précède dans le temps.. »

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