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Pourquoi la connaissance ?

Publié le 04/03/2017

Extrait du document

Si nous cherchons à connaître, c’est en ce sens pour connaître, pour échapper à la condition de celui qui ne connaît pas. Ainsi cette forme de connaissance qu’est la philosophie s’est-elle constituée avec Platon contre les faux savoirs qui se ramènent à l’opinion. L’opinion, c’est la pensée que j’ai et que je ne puis fonder ou vérifier. Celui qui cherche à connaître fuit l’opinion dont il se satisfaisait auparavant alors qu’il demeurait dans l’ignorance. Nous cherchons ainsi à connaître pour nous cultiver, «car c’est bien le fait d’un homme cultivé, écrit Aristote au début des Parties des animaux, que de porter un jugement qui tombe juste, sur la manière, correcte ou non, suivant laquelle on fait un exposé». La culture nous libère de l’opinion, de l’erreur et de l’ignorance, nous permet d’exercer notre jugement et, de ce fait, de ne plus dépendre de l’avis d’autrui. La connaissance nous libère en nous permettant de penser par nous-mêmes.

« ses conséquences, doit conduire à son propre dépassement.

La valeur de la comaissance n'est pas réductible à son utilité: celle-ci doit se comprendre à parti' d'autre chose.

Recherche du problème: répondre à la question de savoir pourquoi on cherche à comaître par l'utilité de la connaissance réduit cele-ci à être au service d'autre chose qu'elle : on peut se demander alors d'où vient que la connaissance est utile.

Si la comaissance est utile, c'est parce qu'elle lutte contre l'erreur ou l'opinion.

n conviendra cependant de donner à la connais­ sance toute sa positivité en montrant en quoi elle constitue par elle-même un bien.

NonoNS CONCERNtES - L'idée.

- La formation des concepts scientifiques.

- La vérité.

Anthropologie.

- Métaphysique.

- Phi losophie.

PLAN Introduction 1.

L'utilité de la connaiss ance.

1.

La connaissance pratique.

2.

La connaissance technique.

3.

Le cas de la science pure.

II.

La connaissance comme remède.

1.

La connaissance comme culture.

2 L'inconnu et le connu.

3.

La connaissance nuit à la bêtise.

III.

La conmmsance comme propre de l'âme.

1.

L'étonnement.

2.

Le plaisir.

3.

La connaissance comme un bien.

Conclusion. »

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