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Composition d’histoire sur la guerre d’Algérie et le travail des Historiens sur les mémoires.

Publié le 22/03/2014

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histoire

Composition d’histoire sur la guerre d’Algérie et le travail des 

Historiens sur les mémoires. 

 

La guerre d’Algérie, cette guerre de rébellion (1954-1962) qui opposa l’Algérie a la France, aboutissa a une Algérie libre et indépendante. Malgré l’accord d’Evian proclamé le 18 mars 1962, qui devait rétablir la paix, un conflit est encore présent entre les deux rives. Deux visions différentes des mémoires de ces guerres sont abordées. Cette guerre « sans nom « qui a été victime de politique d’oublis demande désormais à être ré analysé, pour le bonheur d’une future histoire officielle, commune entre les deux états. Un demi-siècle plus tard, le travail des historiens est donc plus que nécessaire pour rétablir l’ordre, à l’aide d’une vision neutre et égale entre les deux pays. L’historien est ici pour analyser correctement les faits du passé, et ainsi assurer une version plus que réel des faits. La fiabilité des sources est donc quelque chose de prioritaire dans le travail que devra fournir l’historien. 

Les mémoires, des recueils d’anecdotes et d’évènements historique écrites de manière autobiographiques présentent depuis l’Antiquité un l’illustre l’exemple emblématique. Grace aux mémoires qui sont des sources historiques majeures des traces de l’histoire ont été gardé précieusement, tel que la Guerre des Gaules de Jules César, qui a été gardé à travers le passé seulement grâce à des « commentaires « qualifiés de « mémoires «. Celles-ci sont représentées de manières personnelles et subjectives, en fonction de leurs initiateurs, ce qui peut tromper certaine réalité. Car la réalité n’est pas la même chez tout le monde, comme les mémoires de sont pas les même chez chacun de nous. Le travail de l’historien fait donc l’œuvre d’une question primordiale dans ce devoir : 

Selon la guerre d’Algérie, les historiens doivent-ils être indépendant ou pas des mémoires ? 

Dans un premier temps, nous aborderons la complexité du travail de l’historien face aux mémoires divergentes entre les deux pays, ainsi que les politiques de mémoires présentes. Dans un second temps, nous mettrons en valeurs l’importance des mémoires pour la compréhension de l’histoire. Puis en finalité, le sujet principal sera le rôle complexe de l’historien, face à l’histoire, aux mémoires, mais surtout aux lourdes responsabilités qu’il détient. 

 

I. Les mémoires polémiques de la guerre d’Algérie, 

 

a) Le travail de l’historien face à deux visions différentes : une mémoire occultée contre une mémoire assumée 

 

La guerre d’Algérie fait aujourd’hui face à une nouvelle bataille, une bataille mémorielle. Chaque nation ayant sa propre vision des faits. Le travail de l’historien est donc deux fois plus complexe. 

L’historien doit faire face à deux prises de position, celle de vainqueur, et celle de vaincu.Les algériens s’emparent de cette victoire pour se créer une nouvelle identité nationale. Ils se reconstruire a travers la victoire de l’indépendance, ainsi le drapeau du FLN deviendra celui de la république démocratique. L’Algérie créait des commémorations, et des fêtes nationales pour célébré cette guerre, et ainsi garder en mémoire un souvenir triomphale : 1er novembre (fête de la révolution) et le 5 juillet (fête de l’indépendance), ils renvois toute présence française ainsi tous les monuments commémoratifs français ceux des deux guerres mondiales, les statues de jeannes d’arc sont détruits, transformés ou renvoyés en France. La mémoire de la guerre est comme un événement fondateur de la nation algérienne. Au contraire de la France qui, au lendemain de la guerre (proclamé arrêté le 18mars 1962) souhaitent pour la plupart oublié le conflit. La perte de l’empire coloniale est assez lourd, et l’acceptation de la défaite est très dure psychologiquement pour la France. L’historien est septique aux milieux de toutes ces mémoires si différentes. Du coté algérien la guerre s’intitulera « guerre patriotique « ou « guerre de libération «. Du côté Français elle se nommera (si on la nome) de « guerre sans nom « ou elle sera parfois simplement qualifié « d’évènement «. 

 

En parlant seulement de cette majorité de personnes les mémoires sont déjà différentes entre les deux pays, mais elles le sont aussi dans les mémoires d’un même peuple, soit algérien soit français. Si la guerre d’Algérie est vite oublié par la majorité des français, elle ne l’est pas pour ceux qui ont été impliqué : Chez les pieds noir, une mémoire nostalgique l’emporte, chez les anciens appelés, une frustration est présente pour le fait de ne pas obtenir le statut d’ancien combattant, aucune reconnaissance n’est effectué. Aucune reconnaissance, comme celle des Harkis, qui considère la France comme un pays traitre, ils se sentent manipulé et trompé. En France une mémoire de répression est donc aussi présente. 

Les mémoires qui sont subjectives au passé varient selon la personnalité, les principes et les goûts de chacun. Les mémoires diffèrent en fonction de l’endroit où elles se construisent et de quel côté elles sont vecus, celui algerien, ou celui francais ? Celui de la posture d’Harkis, de pieds noir, d’appellé, de militant du front nationnal ou tout simplement celui d’une famille francaise seulement mélé par le billet des media a la guerre d’Algérie ? tout est relatif, ce qui complique encore plus le travail de l’historiens, qui le melange a des opinions différentes, et extrêmement délicates. Cet historien est confronté aux mémoires discordantes qui font objet de tension. Le recul face a ces mémoire si tranchées et opposées est essentiel. L’indépendance de l’historien a travers ce travail reste donc primordial pour arriver à bien analyser la situation. Il doit en plus s’assuré des sources et surtout de la fiabilité de ces versions si différentes. 

 

b) L’historien face à l’histoire escamotée et déformée. 

 

Face aux mémoires L’historien a un travail qualifiable d’enquêteurs, et de vérificateur. Les mémoires sont la plus part du temps des récits autobiographique concernant une période historique. Malgré tout l’Etat émane une grande pression sur les mémoires et surtouts sur l’histoire officielle révélé au grand public. En France le silence est fait autour des exactions de l'armée, tout comme sur les drames personnels vécus par les acteurs du conflit. En Algérie, l’histoire officiel est créer et caractérisé suite à l’influence religieuse, et donc de l’absence du rôle des femmes dans cette guerre. Aucune reconnaissance n’est faite en leurs faveurs. Par ailleurs le président algérien porte serment sur le sang des martyrs et sur le coran, preuve que cette histoire officielle, et les mémoires de cette guerre sont aseptisés. De plus l’histoire officielle en Algérie place l’ALN (armée de libération nationale) comme facteur prioritaire de la victoire de l’indépendance, aucunes actions sollicitées par le GPRA (gouvernement provisoire de la république algérienne) et par les groupes Nationalistes tels que la MNA (mouvement national algérien) sont récompensés. Les mémoires sont trompés, et sont revisité pour valoriser l’action du groupe indépendantiste, le FLN. Ceux qui ne sont pas en accord avec l’histoire officiel du FLN, sont entrainé a l’exile. Le travail des historiens est donc difficile dans ce contexte. 

 

L’historien se retrouve face à des sources qu’il ne peut pas vérifier, tel que le nombre de mort officiel de cette guerre. D’après le régime, les victimes sont annoncées à environ un million de morts, (appelé martyr) mais aucun historien algérien n’a pu vérifier ces chiffres, car les archives ne sont pas publics, et sont par ailleurs contrôlé par l’armée. 

Le pouvoir adopte donc une position ambigüe, et une politique de mémoire pesante sur le pays que l’historien doit gérer et s’en différer. Pour apaiser les mémoires du peuple le pouvoir fait des stratagèmes trompeuses, tel que des interventions, (visite du président Français Jacques Chirac en Algérie durant le mois de mars 2003) pour montrer que les deux pays sont réconciliés, et donc apaiser la population. Malgré ça, les deux rives sont toujours en conflits, l’Algérie réclame des excuses que la France n’à toujours pas réalisées. Elle ne s’est pas encore excusée car elle cache encore trop de chose, si elle s’excuse, elle prouvera qu’elle est en tort, et la politique française est aujourd’hui contre le fait que la France soit en tort. Les vérités sont pénibles à entendre, et surtout à reconnaitre. Encore plus si elles sont gênantes pour le pays. En France juste après l’accord d’Evian, une honte s’empara d’elle, amenant une puissante amnésie dans tout le pays. La volonté d’oubli est due à la perte de la guerre mais aussi à l’échec du model colonial si vanté dans les années 1930 (exposition colonial 1931 à paris). Par ailleurs beaucoup de censures au niveau des media est présente, comme le film de Jacques Panijel, terminé en 1962 mais qui ne recevra pas de visa d’exploitation, ce film était une reconstitution de la manifestation du 21 octobre à Paris et présente des témoignages terribles sur la torture en France. Ce film n’a pas reçu de visa d’exploitation avant la fin des années 90, car la France niait toute torture exercée pendant la guerre. Tous ces facteurs sont conducteurs, la France ne dit rien, donc la population ne dit rien non plus. Les rapatriés privés d’une place claire dans l’histoire officielle et ayant des difficultés à comprendre le sens de leur engagement, sont murés dans le silence, réfugiés dans le non-dit, éprouvant même une certaine gêne et une honte qui a paralysé toute tentative de communication. 

C’est d’ailleurs le président Algérien Bouteflika qui en 2006 reconnut les mémoires comme étant incomplètes. Il décrète qu’il reste des zones d’ombres dans l’histoire de la guerre d’Algérie. Des zones d’ombre comme la torture exercée par l’armée française sur la population Algérienne, sur les viols commis, sur les villages brûlés, sur les hommes déplacés... 

 

II Les mémoires, essentielles pour comprendre l’histoire 

 

a)L’historien face aux mémoires personnelles et depuis peu assumés. 

 

Les mémoires des personnes ayant vécu la guerre sont essentielles pour la comprendre correctement. Les mémoires effectuées par l’Etat sont trompées et contrôlées, alors que le vécu des gens ne peut être corrompu. Les pieds noirs assimilés a tort au extrémistes de l’OAS sont les seul à pouvoir dire dans quel circonstances honteuses ils ont été recueillis après la guerre. Ils sont les seul à pouvoir exprimer leur humiliante position face à la France qui les ont parqué dans des camps, pour ne pas les mélanger a la population française. Plus de 800.000 français d’Algérie se sont battus au côté de la France, et sont maintenant ignorés et mis à l’écart de leurs pays. 

Oui, Aujourd’hui, et depuis peu, les personnes se battent contre l’Etat et leurs mémoires lacunaires. Des associations se sont créées, regroupant les rapatriés, comme le FNACA (fédération national d’ancien combattant) ou l’APNPA (L’Association Nationale des Pieds Noirs Progressistes et leurs amis) ses membres pour la plupart présent lors du colonialisme et de la guerre d’indépendance, s’estiment porteurs d’une mémoire qu’ils tiennent à faire partager et dont ils demandent la prise en compte par l’histoire. 

Plusieurs mémoires, et la plupart, sont aussi écrites, tel que les mémoires de Benoist Rey, un appelé durant l'été 1958. Ses chroniques « Les égorgeurs « terminés en 1961 mais seulement autorisés à l’édition en 1999 relatent les traumatismes qu’il a vécus, et que la guerre a laissé en lui. Il note aussi les atrocités commises par l'adversaire, ainsi que les exactions dues à certains militaires français. Raphaelle Branche, elle, dénoncera la torture effectuée sur la population par l’armée, son récit intitulé « La torture et l’armée pendant la guerre d’Algérie (1954-1962) « sera publié en 2001. Grâce aux mémoires, la torture est alors dévoilée au grand public, à l’encontre de la volonté de l’Etat, et de sa politique mémorielle qui jusque-là avait réussi a nié l’utilisation de ce procédé durant la guerre. De plus, depuis le début des années 1990, plusieurs reconnaissances ont été effectuées de la part de la France. Des nouvelles lois sont alors mis en place, elles sontnomé par les historiens de « lois mémorielles « tel que la loi Taubira sorti le 21 mai 2001 tendant à la reconnaissance des traites et des esclavages comme crime contre l'humanité, puis le 23 février 2005 création de la loi Mekachera portant sur la reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés. Ces lois, créées pour amener une autonomie de l’histoire et des mémoires. 

Bien que les mémoires et les histoires vécu des personnes mirent longtemps à être dévoilées, aujourd’hui ceux qui ont vécu la guerre cherche a être écouter, et leurs mémoires sont le plus grand des trésors. La mémoire est un patrimoine mental, l’historien doit être à l’écoute de la vie des gens, car ce n’est pas quelque chose d’anodin, une vie. Au contraire, l’historien peut trouver dans les mémoires toutes les vérités du monde, puissent qu’elles sont vécus.. Comparé aux archives qui peuvent être caché ou même détruites, les mémoires, elles, sont présentes a l’intérieures de chaque personnes. Elles font partis du passés, du présent, et contribue à construire chaque minutes qui passent. 

 

b)La mémoire et l’histoire, un duo inséparable 

 

La mémoire et l’histoire sont deux notions totalement différenciés, mais complémentaires. Bien que les mémoires soit un rapport affectif à l’histoire, l’histoire elle ne peut pas se passer de ce côté émotionnel. Les mémoires, renforcent une identité de groupe grâce à des témoignages, des anecdotes, des récits de vies. L’histoire elle cherche par des moyens rationnels d’expliquer le passé, d’où la complexité de l’historien dans ce domaine. L’histoire est pas seulement basée sur une question de raison, mais est aussi sur un socle mouvementé d’émotions. L’histoire bouleverse et dévoile correctement et justement les faits passés. C’est pour ça que les mémoires et l’histoire s’entrecroise. Pour convaincre, l’association « 17 octobre contre l’oublis « manifeste, contre le massacre du 17 octobre 1961 qui n’a pas été reconnu comme étant un crime contre l’humanité. Lors de cette manifestation le 17 octobre 1961, manifestation non-violente contre le couvre-feu, des dizaines d’Algériens ont été assassinés à Paris par des fonctionnaires de police aux ordres de leurs supérieurs, l’Etat. Les témoignages, et les mémoires prouvent cet évènement comme étant un crime contre l’humanité, mais a contrario, les recherches historiques ne permettent pas de valider cette thèse. 

Certes, il faut pour connaître le passé, que nous l'ayons gardé en mémoire sous formes de vestiges et de témoignages mais il faut qu'un travail soit effectué sur celle-ci. L’historien a donc plusieurs terrains a manipulés, celui historique, et celui mémoriel. Pour prouver et apporté raison à l’histoire il doit être doté de mémoire fiable, et de recherches historique par la suite qui pourrons appuyer son analyse. L’un sans l’autre et l’autre sans l’un n’est pas possible. L’historien doit rester objectif et décrypter les discours différents des groupes mémoriels, pour les remettre en suite dans un contexte historique. Si l'histoire est une mémoire collective, alors il s'agit d'une mémoire ré élaborée et produite par un travail effectué par la raison. 

 

III. L’historien, un travail minutieux et complexes au milieux des memoires. 

 

a) un détective dans l’âme. 

 

L’historien a comme devoir de rapporter des faits passés, de les analyser pour en donner une analyse globale, juste et équilibré. Son travail face au mémoire est d’en retirer des informations utiles et caractéristiques de l’histoire. Il doit vérifier toutes sources et toute fiabilité, il a y rôle d’enquêteur. Il enquête sur le passé, ou encore de journaliste puisqu’il doit être crédible dans sa contribution ainsi que dans son bilan des faits. On attend des historiens qu’ils nous racontent « ce qui s’est vraiment passé «. Ils ont un enjeu diplomatique, dans l’espoir d’atténuer certain conflit, comme pour le cas de la guerre d’Algérie. L’espoir leurs est attribué, l’espoir qu’ils puissent enfin révéler une histoire officielle et juste. Sans influence politique, ni patriotique. L’historien doit avoir une vision neutre sur l’ensemble des travaux. Ils n’ont pas le droit au choix personnel, mais doivent au contraire servir le devoir critique, car les mémoires sont toujours subjectif, voire idéologique. L’historien doit amener aux mémoires une raison, pour persuader, mais surtout pour convaincre. C’est exactement ce qu’a mis en place Emanuel Vidal Naquet  qui dans son livre « torture dans la république « dénonce l’usage des procédés de tortures en s’appuyant sur des témoignages et des documents officiels. 

David assouline, lui, qualifie l’historien de « chercheur «. Il a le travail minutieux de chercher a travers les archives, les mémoires, l’histoire. Il apporte des preuves par témoignages mais aussi par chiffres. Il doit chercher la vérité pour satisfaire la société, chercher pour transmettre. Son objectif, étant d'interroger ses sources afin de trouver une réponse aux questions posés. Il doit donner du sens à sa démarche. Les historiens, qui ont une parole publique ont aussi un statut de combattant. Ils doivent se battre pour assouvir pleinement la société de vérité. Il rend liberté au secret caché par certaine politique mémorielles, comme les régimes mémoriels de la Shoah, de l'esclavage et tant d’autre aujourd’hui reconnus grâce au travail des historiens comme crimes contre l’humanité. 

L’historien a le devoir de remettre de l’ordre dans l’histoire. 

 

a)L’historien, un travail délicat ou les émotions son misent de cotés. 

 

En plus de leurs statuts d’enquêteur, ils doivent réaliser un tout autre travail. Un travail plus délicat, celui du contrôle de soi. Dans le travail des mémoires, une situation affective est présente. Le rôle, de l’historien étant primordialement la neutralité, il doit se positionner de manière diplomate et impartiale. Son passé ne doit pas déteindre sur son travail. Le savoir de l’historien est convoqué pour apporter du recul. Du recul sur les tensions, mais aussi sur sa vie privée, qui pourrais au malheur de tous influencer son analyse. Il a besoin d’acquérir une autorité moral. 

 

Conclusion 

 

Pour conclure, dans cette situation délicate, où la politique de mémoire est à son effigie, remplit de mensonge et de déformation, l’historien doit travailler avec une certaine distance. Les distances concernant les mémoires dites « officielles « de la part de l’Etat, que ce soit du côté de la France ou de l’Algérie. A contrario, un travail sans mémoire est un travail qui ne correspondra forcément pas à l’histoire réel. Car une histoire sans mémoire est une histoire sans le vécu du peuple, et l’historien à le devoir de révélateur. Il doit instruire par une histoire juste, mais aussi apaiser la société par la libération des « non-dits « qui désormais, après un long silence, agasse et révolte la population. Une histoire indépendante des mémoires, formerait une histoire exclusivement basé de raison, ce qui n’est pas l’histoire en elle-même, puisque la guerre d’Algérie est formé de pleures, de rire, de courage, de volonté, de rejouissement, de victoire, de défaite, de torture, de honte et tant d’autre suscitant l’émotion la plus profonde. 

Donc l’historien doit savoir prendre du recul lorsqu’il en est nécessaire, tout en sachant s’impliquer et prendre des sources à travers les mémoires, car une histoire dans mémoire, est impossible si elle veut être bien faite.

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