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Définitions de artistique, adjectif

Publié le 12/01/2015

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Synonymes de artistique, adjectif artiste, de bon goût.De artiste + -ique ; de l’italien artista, ‘artiste’. Relatif à l’art, aux beaux-arts. Théorie artistique. Sa passion artistique, c’est la musique. Qui est fait avec art. Une mise en page artistique. Locutions (6)Masquer les définitions agent artistique Personne qui s’occupe des engagements d’un artiste en prélevant un pourcentage de sa rémunération. anatomie artistique Étude des formes extérieure, généralement du corps humain, destinée à leur représentation artistique subséquente. directeur artistique En publicité, personne responsable des éléments graphiques d’une communication. CINÉMA – Personne qui supervise les éléments visuels lors d’un tournage (décors, costumes, accessoires, maquillage, coiffure, etc.). flou artistique Effet intentionnel de flou, servant à des fins esthétiques. patinage artistique Sport se pratiquant sur la glace, consistant en l’exécution de figures imposées ou libres, de sauts acrobatiques et de mouvements de danse. laisser les choses dans un flou artistique Laisser les choses dans une imprécision et dans une ambiguïté voulues.Citations avec artistique, adjectif Au lieu de chercher des perfectionnements artistiques, mieux aurait valu introduire des chauffages à la houille et au gaz. Gustave Flaubert, l’Éducation sentimentale, ABU, la Bibliothèque universelle Cet essai malencontreux, avec ses affreuses toitures vitrées, ne saurait nous occuper au point de vue artistique, le seul dont il soit ici question. Joris-Karl Huysmans, l’Art moderne, Gallica Il est donc probable que la poésie doit cette diminution de fortune à la prédominance croissante de la curiosité artistique sur l’inspiration. Jules Lemaitre, les Contemporains, Tome 1, Gallica On la regardait on l’examinait, on avait l’air d’en admirer et les proportions et les qualités artistiques. Henri Béland, Mille et Un Jours en prison à Berlin, Projet Gutenberg Sinon un chef-d’oeuvre artistique, c’est une merveille de ressemblance que le portrait de Gaspard Fontaine, là même, impérieux, drapé d’orgueil. Hector Bernier, Ce que disait la flamme, Projet Gutenberg C’est à regret que Freud affirmait, dans le même texte, se heurter à un insondable, à « ce qui est inanalysable, le don artistique ». Ginette Pelland, Freud en question, Québec Amérique Le cheminement artistique et personnel de Dupéré l’a amené à poursuivre seul sa carrière avec succès. Jean Beaunoyer, Dans les coulisses du Cirque du Soleil, Québec Amérique Je m’appelle Madame Zazou et je suis à la fois la directrice artistique et la maîtresse de cérémonies de mon spectacle. Louise Champagne, la Toile de Zaza, Québec Amérique Il défend l’importance de la culture populaire, mais affirme que l’humour occupe trop d’espace dans le champ artistique. Le Devoir.com

« prît, les voleurs étaient tou­ jours plus ingénieux.

Même la surveillance policière des nécropoles n'enraya pas la pratique du pillage qui, à la fin de l'époque ramesside, dev int une véritable institu­ tion.

Les efforts en matière de protect ion architecturale se poursuivirent malgré tout, pour atteindre leur ultime achèvement à l'époque saïte (XXVI • dynastie) dans les sé­ pultures privées.

Le caveau funéraire fut dés orma is amé ­ nagé au fond d'un puits d'en­ viron 30 m de profondeur, et le sarcophage, fabriqué sur place, était surmonté d'un toit en pierre percé de quel­ ques trous préalablement bouchés par des poteries.

Une fois le puits comblé avec du sable, il n'était plus pos­ sible d'y entrer, si ce n'est par un étroit boyau parallèle com­ muniquant avec le caveau par un petit passage transversal.

C'était par ce passage que, le moment venu, on faisait pé­ nétrer le corps et le mobilier funéraire.

Une fois les funé­ railles terminées, on brisait simplement les poteries fi­ chées dans le toit du caveau afin que le sable se répande à l'intérieur .

Le puits parallèle était lui aussi comblé et au­ cun accès vers le caveau ne subsistait .

Malédictions pour les sacrilège s M algré toutes ces précau­ tions, les pillard s sévi­ rent à toutes les époques .

Le recours à la magie était donc indispensable pour s'en pré­ munir.

Ces pratiques avaient d'ailleurs l'avantage de pro­ téger la tombe non seule­ ment des voleurs, mais aussi des sacrilèges invisibles, par exemple de ceux qui vien­ draient accomplir les rites en état d'impureté.

Le s façades des sépultures privées por ­ tent ainsi des formu les de malédiction prévenant les sa­ crilèges des châtiments lé­ gaux mais aussi divins qu 'ils encouraient : « Quant à qui­ conque prendra quelque cho­ se par violence, je serai jugé avec lui dans le tribunal du. »

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