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Grand oral du bac : Sciences et Techniques LES INSTRUMENTS D' OPTIQUE

Publié le 31/01/2019

Extrait du document

recoins, s’aventurant pour cueillir les fruits sur de minces branches qui se casseraient sous le poids d’un animal plus lourd, comme le siamang.

 

La vie sociale

 

Les gibbons s’accouplent tous les deux ou trois ans et, après une période de gestation de sept ou huit mois, les femelles donnent naissance à un seul petit. Pendant un certain temps, celui-ci reste accroché à la poitrine de sa mère tandis qu’elle se balance dans les arbres. Elle le surveille de très près au cours de la première année, l’allaite fréquemment, et le sèvre au cours de sa deuxième année. Chez le siamang, le mâle s’occupe également de son petit.

 

À l’âge de 3 ans, le jeune gibbon a acquis une certaine indépendance. Il continue pourtant à faire partie du groupe familial même après être devenu adulte (à 6 ans). Ce n’est que deux ans plus tard qu’il s’en va seul à la recherche d’une compagne.

 

Le chant des gibbons

 

Parmi les caractéristiques des gibbons, il s’en trouve une qui les distingue tout particulièrement: le véritable chant qu’ils font retentir dans les forêts. Ils le poussent généralement à l’aube, à des intervalles qui varient de un à cinq jours, et il dure de dix minutes à deux heures !

 

Chez la plupart des espèces, il prend la forme d’un duo entre le mâle et la femelle, mais les jeunes y mêlent parfois leur voix à mesure qu’ils grandissent. La gorge de certains gibbons, notamment celle du siamang, présente un sac laryngé qui se gonfle comme un ballon pendant que l’animal chante et sert de caisse de résonance à sa voix. Très variés, les sons produits par le gibbon prennent la forme de cris perçants, d’aboiements, de trilles, de sifflements, de roucoulements et de gazouillements.

A La couleur du pelage diffère selon les espèces et parfois, dans une même espèce, selon le sexe et l’âge. En Thaïlande, celle du gibbon lar est soit noire, soit beige.

Chaque espèce possède son chant propre. Le mâle et la femelle s’assoient en général ensemble sur une branche et commencent par se chauffer la voix, comme le font les artistes. Ils chantent ensuite alternativement, se répondant dans un duo soigneusement orchestré.

« Les instruments d'optique LUNETTE D'OBSERVATION TERRESTRE tube support des lentilles lnverseuses REDRESSEMENT DE L'IMAGE DANS UNE LUNETTE D'OBSERVATION TERRESTRE pupille pour bloquer les réflexions l ' intérieur du tube -��..........- iiiïii � ----....

image redressée crémaillère de mise au point rayon lumineux issu de l'objectif LUNETTES ET TÉLESCOPES ASTRONOMIQUES oculaire rayon lumineux 1 riroir primaire 1 @ R '!-- Il plus et les motifs apparaissent dégradés avec des raies de couleurs.

Pour résoudre ce problème, l'astronome Isaac Newton (1642-1727) construisit un appareil fondé sur la réflexion au lieu de la réfraction: le télescope.

L'objectif est remplacé par un miroir concave qui collecte la lumière et forme une image dépourvue d'aberrations chro­ matiques.

Un miroir plan renvoie la lumière dans un oculaire, sur le côté du tube, pour qu'elle puisse être observée.

Cet appareil, le télescope de Newton, est très apprécié des astronomes amateurs.

Les microscopes Les verres grossissants ont pu être considérés comme une première forme de microscope très simple, dans la mesure où ils permettent l'obser­ vation de petits objets.

Cependant, pour obser ver des objets plus petits sans distorsion de l'image, il faut associer plusieurs lentilles.

C'est le micro­ scope au sens classique.

Une première forme simple associe deux len­ tilles convexes.

L'image grossie est encore agran­ die par l'oculaire.

Ainsi qu'avec les lunettes astro­ nomiques, l'image est inversée mais, pour les petits objets comme pour les objets célestes, cette inversion n'est pas gênante.

Sur les microscopes modernes, les objectifs sont souvent interchan­ geables, permettant un grossissement à la carte.

1"'"'' �'""''" 1 [ :_- ::: - : bbjectif la yer du télescope LUNETIE de Cassegrain TÉLESCOPE DE CASSEGRAIN miroir primaire miroir secondaire foyer du télescope 1 � Je Newton foyer primaire TÉLESCOPE DE NEWTON La lunette de Galilée Une lunette construite en 1608 par un opticien hollandais, Hans Lippershey, attira l'attention de l'astronome italien Galilée (1564-1642), qui comprit tout l'intérêt d'un tel appareil pour l'as­ tronomie.

Galilée ne cessa d'apporter des améliorations à la lunette originelle pour accroître la qualité de ses observations célestes.

C'est ainsi qu'il fit plu­ sieurs découvertes, notamment la mise en évi­ dence de montagnes et de vallées, sur la Lune, et de quatre satellites de Jupiter.

Les découvertes de Galilée montrèrent l'impor­ tance de la lunette, connue dès lors sous le nom de "lunette de Galilée>> .

La lentille convexe ras­ semble la lumière émise par l'objet observé.

La lentille concave courbe les rayons pour former une image agrandie et non inversée.

Les lentilles étaient montées dans deux tubes, l'un coulissant dans l'autre.

Ce dispositif permettait d'ajuster la distance des lentilles pour assurer la mise au point sur l'objet observé.

Ce même principe est TÉLESCOPE COUDÉ utilisé dans les jumelles.

Le fonctionnement de la lunette de Galilée s'appuie sur la réfraction des rayons lumineux, c'est-à.. »

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