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Alain , les passions et la sagesse

Publié le 01/01/2021

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PHILOSOPHIE : Alain , Les passions et la sagesse cette rédaction est un extrait du livre “? les passions et la sagesse ?“ qui est écrit en 1960 par Alain ( 1868-1951) . A travers ce texte l’auteur met en valeur 3 thème : La raison , la conscience et la vérité . Dans cet extrait l’auteur met en présence un problème philosophique qui est : “ En quoi peut-on confier à nos perceptions “ Alain affirme que la perception consiste en une opération ou une fonction de l’entendement c’est à dire que la perception n’est pas seulement toucher l’objet ou voir les objets , c’est également une interprétation des informations physique et mental donc en effet la perception est une interprétation de l’esprit et une structure de la pensée . Par conséquent , on commencera alors avec la première partie qui se consacre sur le sens du toucher que l’auteur donne l'opinion commune de la ligne 1 à 2 , dans la deuxième partie de la 2 à 5 ligne , Alain critique l’ opinion en utilisant l’exemple avec le dé , pour illustrer son propos qui est totalement contradictoire avec l’opinion commune. Ensuite de la ligne 5 à 10 il ya un confus de nos perceptions et le réel , de la ligne 11 à 15 l’auteur dénonce ainsi cette fois-ci le sens de la vue , et exprime également sa thèse avec la reprise de son exemple . Puis dernièrement de la ligne 15 à la fin du texte , il fera un raisonnement global du texte en réaffirmant sa pensée c’est à dire une sorte de conclusion de sa thèse. ? Dans cette première partie , Alain commence par analyser une opinion qui est un préjugé commune concernant la perception , erreur de jugement , illusion optique sur le toucher . L’auteur nous fait comprendre que la vue serait plus fiable que le toucher selon l’opinion commune , or la vue n’est pas fiable également à 100 % . En effet , le toucher nous apprend la présence d’un objet et nous donne ainsi des informations sur sa texture c’est à dire solide , liquide , lisse etc.. , sa forme , ses limites , sa stabilité … Cependant le toucher est un sens du contacte , pour toucher il faut être en contacte avec quelqu’un , sans intermédiaire alors que la vue elle au contraire est distancielle c’est à dire une sorte d’illusion ,? ?pour voir on a besoin de distance car si on se rapproche excessivement de l’objet on ne verrais plus et ainsi que nous n’apperceveront plus la forme de l’objet , sa texture … Le toucher est une expérience immédiate sans intermédiaire , mais au contraire , un sens comme la vue est un sens à distance de l’objet qui peut ainsi introduire...
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« Ensuite , Alain rectifie et affirme l'opinion commune en montrant ainsi ce que la perception tactile nous apprend en réalité : “ Je ne touche ce dé cubique , Non , je touche successivement des arêtes , des pointes , des plans durs et lisses “ .

​Il em plo ie a in si ​un paradoxe c’est à dire qu’il énonce une idée contraire à l’opinion commune , il dit qu’il touche le dé pourtant il dit qu’il ne le touche pas aussi .

De plus , on constate qu’il insiste sur “Non” , il essaie d’avoir conscience sur ce qu’il touche et corrige son affirmation “ je touche ce dé cubique “.

Puis , il intègre éventuellement la raison du caractère cubique : “ je juge que cet objet est cubique “ .

En effet , la perception tactile ne nous donne pas l'accès de l’objet c’est à dire la totalité de l’objet .

Alain insiste sur la différence des perceptions , il prend des exemples très différents de la perception comme le caractère disparate c’est à dire sur le caractère très inégale des informations que nous récupérons .

On a conscience qu’il y a un seul dé alors que la perception accomplit plutôt l’expérience de la multiplicité des informations .

Cependant , toutes ces informations disparates que nous donne la perception ne fait pas de synthèse , au contraire il analyse .

Puis , la perception totale nous délivre des informations différentes qui ont aucun rapport entre elles (comme des arrêts , des pointes …) et contiennent également tous des sensations différents .L’idée du cube est une construction mentale où on le synthétise comme un objet globale donc la forme cubique une conséquence de la perception .

Par conséquent , “ je juge que cet objet est cubique “ cette affirmation est un jugement , un jugement est une forme d’affirmation qu’on veut exprimer sur une caractéristique de l’objet , identifier , la forme donc la perception n'est pas seulement une affaire physique entre le corps et l'objet ……….

L’auteur interpelle le lecteur : “ exercez vous “ , il décrit également le c ​onte n u ​effectif de nos sensations et le compare ainsi avec une image mentale .

Il généralise le cas du dé , il nous dit que faut pas également s'arrêter seulement au cas du dé , on peut trouver les même sensation autour de notre environnement Ensuite , L’auteur met en évidence cette fois ci la description du sens de la vue .

Alain reprend l’exemple du dé et valorise la perception du dé en lui ajoutant des caractéristiques : “ ce dé cubique et dur en même temps blanc de partout [...]les faces visibles ne sont colorés..” L’auteur exprime à ce propos que nos perceptions peuvent nous tromper ou donner des informations fausses c’est à dire l’objet globale qu’on voit peut être différente ce qu’on voulait élaborer comme information c’est à dire que même avec la vue on ne peut pas garantir la forme du dé ou la couleur .

Ce qu’on voit avec les yeux , c’est que les faces ne sont pas colorées de la même manière en fonction de l'inclinaison du dé à la lumière .

Cependant , avec le sens de la vue , pour identifier un objet , on se concentre en particulier sur un seul détail alors qu’ il faut décomposer les différents détails du dé au lieu de se focaliser juste sur un seul détail … On peut en conclure que l’auteur exprime donc que même la. »

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