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Après lecture de ces quatre texte deux lycéens discutent de leurs préférences : quel texte ont-ils préféré, quel type de héros, pourquoi ? … etc.

Publié le 11/10/2015

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 Devoir Maison n°1 : Sujet d’invention Sujet : Après lecture de ces quatre texte deux lycéens discutent de leurs préférences : quel texte ont-ils préféré, quel type de héros, pourquoi ? … etc. Elles étaient assises dans l’herbe profitant du bon temps et échangeant leurs avis sur les quatre textes, qu’elles avaient lus en cours de français. -Marika : « Pour moi mon texte préféré reste tout de même l’Assommoir d’Emile Zola, je trouve que le message qu’il fait passer à travers est très touchant et a réussi à m’émouvoir, Zola veut améliorer les conditions de vie des personnes du XIX ème siècle au travers de sa dénonciation sociale dans ce texte et parfois juste des mots arrivent à faire avancer le monde «, confia-t-elle. -Elsa : « Oui c’est vrai que c’est un texte qui relève du registre pathétique, on peut se mettre à la place de Gervaise et c’est cela qui arrive à nous toucher, mais dans le deuxième texte La Chartreuse de Parme de Stendhal, grâce au registre comique voire satirique, l’auteur arrive à nous transmettre un message tout en nous distrayant, on sourît de la naïveté de Francis, mais aussi dans ce texte on peut se mettre à la place du héros et encore plus facilement grâce à la focalisation interne on voit le monde au travers des yeux de Francis, c’est un héros humanisé et c’est cela que j’aime dans ce texte «, argumenta Elsa. -Marika : « Je comprends ton point de vue on voit que le héros s’humanise par rapport au premier texte où c’est un registre épique donc on idéalise le héros, on voit une évolution au niveau du héros qu’il se rapproche du commun des mortels au fur et à mesure des textes, mais je reste tout de même sur mon premier avis, je trouve que le texte de Zola est très touchant non seulement il arrive à dénoncer la misère du XIXème siècle, mais aussi l’alcoolisme qui aujourd’hui touche encore des familles «, rétorqua Marika 

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« Cristas Clarisse 1S4 -Elsa : « Le premier texte Le Chevalier à la Charrette , est parmi ceux que j’apprécie aussi, même si comme tu la dis le héros est idéalisé et on n’arrive pas à s’identifier du héros, ce que j’arrive à faire dans les trois autres, le dernier est aussi un de mes préférés du fait qu’on soit face à un antihéros, comme nous il a des regrets, il a peur … » -Marika : « Je suis tout à fait d’accord et par-dessus tout Céline dénonce la guerre et montre au peuple comme c’est quelque chose d’inutile et oui avec la focalisation interne on peut se mettre à la place du héros, ce texte ressemble au texte de Stendhal je trouve tous deux dénoncent la guerre » affirma-t-elle -Elsa : « Oui c’est vrai les textes se ressemblent mais dans le texte de Stendhal, le héros reste un héros au contraire du texte de Céline où c’est un antihéros, Fabrice garde une certaine panache même s’il a un peu peur, qu’il est horrifié et scandalisé.

Au contraire de Bardamu, il n’a pas de regret il s’habitue aux horreurs qu’il voit ! » Contredit Elsa. -Marika : « En effet mais on éprouve quand même de la pitié pour les deux personnages » -Elsa : « Oui c’est vrai dans les deux textes il y a la présence d’un registre pathétique voire tragique » -Marika : « Je pense que tu partages le même avis que moi par rapport au type de héros qu’on préfère c’est les héros réalistes comme Fabrice, Gervaise » -Elsa : « Oui, ces personnages sont apparus au XIX siècle, on voit qu’ils possèdent une identité complète et une généalogie par exemple Eugène de Rastignac dans le Père Goriot » 2 | P a g e. »

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