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autrui peut il etre au chose qu'un moyen et un obstacle

Publié le 05/01/2013

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Autrui peut il être pour moi autre chose qu'un moyen ou un obstacle ? Je vis dans la société avec les autres, et je partage ma vie avec autrui. Autrui est autre chose, une autre personne que moi, tout simplement parce que chacun de nous est different et car chacun a son propre statut mais il est aussi un de mes semblables La relation à autrui est donc difficile et ambiguë du fait de ce paradoxe. Si on observe rnos relations avec les autres, il est évident qu'autrui représentent un obstacle à mes désirs et à mes volontés car il s'oppose à ma pensée, a mes actes, et il est une entrave a mes but. Mais autrui peut aussi m'être utiles, en médiateur, enfin d arriver a mes fin. Dans les deux cas, autrui est un élément qui sera toujours présent dans ma vie car l'homme ne peut être lui-même qu'au sein d'une société, même si autrui représente toujours ce qui m'est étrange. Mais est-il vrai qu autrui ne peut apparaître uniquement que sous ces deux formes, et la raison de l'existence d'autrui se résume t'elle qu'à cela ?Nous allons voir si autrui peut-être autre chose pour moi qu'un moyen ou un obstacle.Pour cela, nous verrons dans une première partie qu'autrui constitue un obstacle, puis qu'on peut le considérer aussi comme un moyen. Enfin nous verrons si on peut dépasser ces deux positions pour définir exactement ce qu'est autrui. I-L'ATERITE COMME DIFFÉRENCE RADICALE: un obstacle 1-Nous avons tout d'abord un problème de fusion, en effet.. Se mettre a la place d'un autre est impossible, l'espoir de fusionner avec autrui est difficile et parfois pas souhaitable. On voit bien que le désir de fusion pose souvent problème. Fusionner c'est nier ses différence et c'est aussi annuler ses particularités. L'autre existe pour moi d'abord comme un autre et c'est par ce qu'il existe sous ce...

« 3-et on peut compter, sappuyer sur l’autre Compter sur l’autre c’est attendre de l’autre des choses qui me sont favorables pour moi.

Ainsi la présent ou les actions d’autrui vont me profite.

On attend qu’autrui soit à notre disposition, et que celui-ci se démène afin de nous aider.

Dans ce cas alors je laisse les autrui agis, sans que je prenne la peine de le faire moi-même.

J’engage alors ma promesse de rendre a mon tour mon aide, ce qui est pas toujours fait.

Autrui m’aide aussi a me développer a me créer, a faire devenir ce que je suis, il met alors essentiel a ma formation.

J’utilise autrui a alors a mon usage personnelle sans me soucier de ce que lui peut penser, je l’utilise alors comme un objet, un outil.On peut illustrer notre propos avec ce que dit kant dans … lorsqu’il évoque l’utilité d’autrui pour pouvoir se sortir de l’état de minorité, afin de reflechir soit meme Or compter sur les autres est ce bien considérer autrui? III-AUTRUI COMME RECONNAISSANCE DE SOI 1 – Atrui c’est moi, et son existance et incontestable   Autrui est comme moi et ne vaut pas plus qu’un autre Il est reconnue comme identique à moi comme être humain.

Autrui n’est pas moi il est different, c’est pourquoi on l associe a un étranger.

Cependant si autrui était comme moi, il n’existerai pas d’autrui.

Autrui est donc à la fois l’autre et mon semblable. Pour réussir a connaitre autrui, il faut établir une relation avec lui.

il faut donc accepter l’autre tel qu’il est et non pas comment on aimerai qu’il soit.

Autrui permet de se comprendre sois meme car c’est lui qui nous montre qu’elle personne on degage . . Malgré que autrui pose probleme, comme évoque Sartre , il montre aussi qu autrui est indispensable a mon existance.

Auitre est en effet le médiateur entre moi et moi-même et c’est par le fait auttrui est un autre qui me fait sentir humains 2- le sujet et different de l objet En fait, autrui peut être une sorte de moyen, mais pas dans le sens d’une exploitation totale ; Kant considère cette idée comme la principale règle à respecter.

Il présente celle-ci de cette manière : ’agis de telle sorte que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne qu’en la personne de tout autre toujours un même temps comme une fin et jamais simplement comme un moyen’ Kant estime en fait que l’homme appartient au règne des fins : il est autonome, car il peut se fixer à lui-même des objectifs, et les respecter constitue sa liberté.

Cette autonomie donne droit au sujet à une forme de respect.

Lorsqu’un individu a une idée, d’après Kant, celle- ci n’est qu’une maxime hypothétique, un impératif relatif.

Car avant d’agir, le sujet doit vérifier que sa Maxime peut fonctionner de manière universelle : il doit vérifier que le monde serait encore cohérent si tout le monde faisait comme lui et se doit de regarder s’il pourrait par son acte causer du tort à un autre sujet et si les conditions ne sont pas réunies l’individu à la capacité de s’interdire d’effectuer son acte.

Si au contraire les conditions sont satisfaites cette idée devient un impératif catégorique.

Cette volonté qui permet au sujet de ne pas forcément suivre ses penchants confère donc au sujet un droit de respect.

L’individu est une fin en soi et, en ce sens, il mérite la dignité.

Il ne peut être utilisé simplement comme moyen, car il conserve son statut de sujet conscient. Conclusion. »

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