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COMMENTAIRE

Publié le 07/12/2016

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Corpus               Ce corpus de texte est composé de cinq textes poétiques, du XVIe au XXe siècle. Les quatre premiers textes sont des sonnets tandis que le dernier est un texte qui définit les règles du sonnet. Le premier est intitulé « Les Regrets » de Joachim du Bellay en 1558. Le deuxième se nomme « Les Amours jaunes » de Tristan Corbière et publié en 1873. Le poème suivant est intitulé « Le Sanglot de la terre », rédigé par Jules Laforgue paru en 1880. La dernière œuvre est le poème « Sonnets dénaturés », de Blaise Cendrars et réalisé en 1923. Il s’agira de développer les différents traitements réservés à la forme du sonnet dans ce corpus et l’effet produits lorsque ces règles ne sont pas respectées. Nous allons dans un premier temps analyser les strophes des différents textes et leur sens puis le et dans un deuxième temps le vers et la rime dans les textes et enfin l’effet produit par les poèmes.               Dans le textes de Boileau où il évoque les règles du sonnet, cependant ce texte n’est pas un sonnet, il rappelle la contrainte de forme du sonnet. Pour les strophes il faut deux quatrains v4 et un sizain v6 lui-même divisé en deux tercets, pour le sens le poète évoque la manière dont la forme et notamment la division en strophes doit accompagner le sens (v7). Dans le texte « Les regrets » de Joachim du Bellay et dans « Sanglot de la terre » de Jules Laforgue les poètes garde des strophes d’un sonnet traditionnel. Tristan Corbière lui décide un peu de sortir du schéma traditionnel, dans son texte il y a une ponctuation moyenne, seulement deux points qui séparent le sizain en deux tercets et surtout la syntaxe du poème rends la compréhension de ce texte plus compliqué. Le texte de Blaise Cendars, appelle son poème « dénaturé », car effectivement la construction de son poème est brouillée et difficile à comprendre comme la composition de ses strophes. Comme Cendars dit que c’est un sonnet alors seulement grace à cette indice nus pouvons savoir qu’effectivement c’est un sonnet.               Nicolas Boileau définit les vers selon deux règles, tout d’abord la mesure de celui-ci dans tous les sonnets doit être « pareille » v4 ensuite il évoque également les rimes au v5, les quatrains doivent être construit comme il évoque « deux sons qui frappent huit fois l’oreille ». Les trois poèmes de du Bellay, Corbière et Laforgue respect cette notion. Dans les quatrains de du Bellay et Laforgue les rimes sont embrassées (abba) tandis que dans le texte de Laforgue les rimes du quatrain sont croisées (abab). On observe que dans ces trois poème l’utilisations de l’alexandrin est bien respectés avec les 12 syllabes même si dans le texte de Corbière il faut compter les chiffres au v12. Le sonnet de Blaise Cendras est fait de vers libres, donc il n’y a pas de rimes car le poème ne contient pas vraiment de vers propre à lui, ces vers sont divisés il faut alors faire une recherche pour composer ces vers.               On peut voir que au fil du temps le sonnet à évolué, tout d’abord il était très rigoureux puis avec une liberté de plus en plus en grande. On peut voir que dans le sonnet de Corbière il s’amuse de ces règles tout en respectant à la lettre ces règles dans son poème. En quelque sorte il se moque de ses règles presque militaires avec des règles très précise définit dans le texte de Boileau. Le lecteur est alors poussé à se demander si le poète est obligé de suivre ces instructions sur le sonnet pour faire un bon poème ou faut-il complétement le changer comme Blaise Cendars.  

« à comprendre comme la composition de ses strophes.

Comme Cendars dit que c'est un sonnet alors seulement grace à cette indice nus pouvons savoir qu'effectivement c'est un sonnet.               Nicolas Boileau définit les vers selon deux règles, tout d'abord la mesure de celui-ci dans tous les sonnets doit être « pareille » v4 ensuite il évoque également les rimes au v5, les quatrains doivent être construit comme il évoque « deux sons qui frappent huit fois l'oreille ».

Les trois poèmes de du Bellay, Corbière et Laforgue respect cette notion.

Dans les quatrains de du Bellay et Laforgue les rimes sont embrassées (abba) tandis que dans le texte de Laforgue les rimes du quatrain sont croisées (abab).

On observe que dans ces trois poème l'utilisations de l'alexandrin est bien respectés avec les 12 syllabes même si dans le texte de Corbière il faut compter les chiffres au v12.

Le sonnet de Blaise Cendras est fait de vers libres, donc il n'y a pas de rimes car le poème ne contient pas vraiment de vers propre à lui, ces vers sont divisés il faut alors faire une recherche pour composer ces vers.               On peut voir que au fil du temps le sonnet à évolué, tout d'abord il était très rigoureux puis avec une liberté de plus en plus en grande.

On peut voir que dans le sonnet de Corbière il s'amuse de ces règles tout en respectant à la lettre ces règles dans son poème.

En quelque sorte il se moque de ses règles presque militaires avec des règles très précise définit dans le texte de Boileau.

Le lecteur est alors poussé à se demander si le poète est obligé de suivre ces instructions sur le sonnet pour faire un bon poème ou faut-il complétement le changer comme Blaise Cendars.  . »

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