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Commentaire Litteraire

Publié le 30/03/2015

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Commentaire du texte R.M. Albérès: L'aventure intellectuelle du XXe siècle. Paris, A. Michel, 1959, pp. 223-224. Malgré le fait que le texte a été écrit en 1959, on pourrait dire que ce texte est actuel, en regardant la forme où l'auteur a fait la structure et les expressions qu'il a utilisées. Comme introduction on trouve une critique à l'éducation de l'époque et à cause de cette mauvaise éducation on trouve un déséquilibre de l'individu. Cette idée introductrice est au premier paragraphe, il fait un commentaire en disant « qu'il n'existe pas d'éducation, mais d'une part une routine et d'un autre côté des efforts simplistes de bonne volonté pour former et normaliser l'affectivité l'émotivité et l'imagination » dont je trouve une attaque directe à cette forme d'éducation. Dans le deuxième paragraphe, à la 5e ligne, il commence le développement en disant qu'on a oublié les textes plus anciens de la littérature, que pendant plusieurs années avaient été une aide pour acquérir sensibilité, et il exprime l'idée que les textes du XXème siècle sont vides de valeur affective, et il montre cette idée dans cette phrase « L'adolescent a trouvé dans une collection classique d'auteurs dont la valeur affective est imperceptible aujourd'hui ». Dans le deuxième paragraphe on trouve un autre argument à propos de ce thème, il explique dans les lignes 15-18 « ce sens ésotérique, psychologique, psychanalytique et thérapeutique, qui n'apparaissait consciemment qu'à des rares initiés...s'est perdu au cours du XIXe siècle ». Dans ce même paragraphe on trouve un autre thème, donc la deuxième partie du développement, et montre que les personnes arrivent à l'âge adulte en manifestant des idées qui montrent une « déficience de l'éducation », aussi il fait une critique a la nouvelle psychologie, et il dit qu'elle ne peut pas remédier les problèmes d'éducation. Plus tard on trouve une phrase dans le texte de Massimo Bontempelli qui ferme le débat de l'éducation « L'école « était devenue une fabrique de titres en vue de situations : le premier maillon d'une chaine bureaucratique ». Pendant le 5e paragraphe on regarde une critique de l'art du moment, cet art était fondé par une recherche « de la nouveauté et de l'originalité ». Avec la phrase «  le fait que le concept de civilisation éveille des doutes dans tant d'esprits indique que nous dirigeons notre marche vers une nouvelle attitude de vie » nous évoque un nouveaux thème pour y penser, on peut y trouver dans cette phrase et les suivantes que dans cette époque, on commence à vivre et à penser d'une autre manière, ce n'est plus la pensée antique de l'universel, mais comme il dit on doit prendre « une nouvelle attitude de vie ». Selon l'auteur l'idée de doctrine n'est plus la vérité, maintenant les doctrines sont l'agrément, et comme argument il commente que l'homme a perdu l'idée de vérité absolue, maintenant toutes les idées ont une idée contraire, cette idée est montre à travers d'une phrase de Robert Musil. Comme conclusion finale l'auteur donne une hypothèse sur les doctrines, et il dit que quand les doctrines se multiplient, elles deviennent moins sûres. Les millénaires d'humanisme disent « qu'une raison absolue juge et guide les hommes » on trouve aussi des « demi-certitudes et sur les doutes » qui annoncent que «  la loi de l'esprit était abolie, que chacun était seul, que personne ne pouvait mesurer et appuyer sa raison sur celle d'autrui, que toute vérité admettait une infinité de contradictions ». La vision conjointe du texte donne une image émaciée de la société et l'éducation a l'époque et il fait une forte critique des hommes et leur personnalité a cause de la manque d'éducation. Il parle d'un abandon de la culture littéraire, et a cause de ça une perte de la sensibilité humaine. Aussi l'école est critiquée comme l'art et la recherche du nouveau et l'originel, et d'une nouvelle attitude de vie et aussi une perte de la vérité absolue en apparaissant une grande quantité de contradictions.

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