freud sujet

« On attribue a une personne un parle.

En justice cela s'appelle l'imputation, on impute quelque chose a une personne.

Quand je dis moi, c'est en rapport avec mon histoire, histoire garantie par la mémoire.

Le problème d'imputer des actions ou des paroles doit s'appuyer sur l'imputation propre a chacun, si on a pas souvenir, on ne peut intégrer cette erreur ou cette action a soi.

Ainsi se pose la question de la responsabilité.

La conscience est coextensive à la mémoire, c'est-à-dire quelles ont la même étendue, c'est donc les souvenirs de la mémoire qui forment le moi le Je qui est la conscience de soi.

C'est notre mémoire qui nous défini.

«  je suis mon passé » le Je n'existe que par appropriation de notre propre passé, parfois certaines parties de notre ne nous est pas accessible malgré quelle soit présente dans notre mémoire.

Les souvenirs sont tous codés non seulement pas des images mais aussi des affects qui sont liés à ces images.

C'est cela qui fait notre propre Je, en fonction de ces différents affects.

Le «moi»  de Locke est la mémoire que je peux rapporter quand je dis, Je. La responsabilité juridique se défini donc par notre propre capacité a s'approprier nos actes et nos paroles. Pour saint augustin, la mémoire est infinie alors que Locke lui parle de s'approprier sa mémoire. Cette mémoire peut être affectée par notamment l'amnésie infantile selon Freud, et il ne s'agit pas d'une faille de la mémoire.

= intermittence de la conscience Le sujet brisé et l'identité narrative Texte de Freud Freud= père de la psychanalyse, neurologue de vienne, Autriche.

Il s'intéresse au processus psychique, il s'agit de pathologies qui ne sont pas d'ordre organique ou somatique.

Il découvre les propriétés analgésiques de la cocaïne, il en use et en abuse.

En étymologie : la psychanalyse= étude des processus psychiques.

Il cherche a. »