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Le doute

Publié le 31/10/2013

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  Le doute est un manque de certitude, un soupçon, une méfiance quant à la sincérité de quelqu’un. Le doute remet en cause les propos d’une personne, vient là l’idée le sentiment d’incertitude. Très peu d’individus sont capables de tout remettre en question, de pratiquer donc le doute méthodique car la plupart sont soit impatient sans méthode, qui jugent trop rapidement, soit des faibles ou des modestes qui suivent simplement les opinions des autres. Descartes, dans un passage de Discours de la méthode, mais en avant le thème du doute, à travers ce texte, Descartes dévoile le cheminement de sa pensée dans la recherche d’une vérité métaphysique. Il expose un problème, celui du doute ; faut-il « privilégier « les personnes qui se croient plus habiles qu’ils ne le sont et expose leurs propres « vérité « ? Ou faut- il privilégier les personnes inconscientes qui se basent uniquement sur les opinions des autres ?                Il expose son point de vue tout en restant neutre, il ne privilégie ni l’un, ni l’autre. Selon Descartes, ce texte est une remise en cause de la valeur et du doute « mis en scène « par des méditations métaphysiques. Le doute nous rend incertain, il faut donc une méthode que Descartes va développer.    Dans un premier temps, Descartes fait référence à une première catégorie de personne, celle des individus se croyant plus habiles qu’ils ne le sont. Ce sont des personnes qui ne prennent pas le temps de réfléchir mais vont directement exposer leur jugements, ce sont des personnes particulièrement pressée. Ces personnes n’ont pas la retenue de prendre en compte la complexité d’une telle méthode et se retrouve vite dépassé. Elles n’ont donc pas de mal à s’écarté du chemin commun. Très souvent, elles vont vers l’inconnu et ne réfèrent jamais aux principes qu’elles ont pu apprendre. Le talon d’Achille de ces individus et de vouloir juger trop précipitamment, et de se retrouver par la suite dans une situation complexe qu’il faudrait éviter. Pour pouvoir développer un jugement, il nous faut d’abord prendre soin d’étudier la situation. La spéculation est ici, une étape incontournable qui nous permet de n’oublier...

« celle qui est plutôt sous l'influence des autres.

Indépendamment, de reconnaître pour vrai seulement ce que nous savons être vrai, le premier point de cette méthode conseil fortement d'éviter la précipitation.

Il faut avant cela avoir une opinion personnelle, sans l'exposer à tout le monde.

Il ne faut absolument pas porter un jugement définitif sur un sujet avant que l'entendement a atteint la connaissance évidente de la chose.

                                             Dès notre enfance, nous avons des habitudes fondées sur des croyances erronées qui influencent notre jugement.

(Principalement lorsque nous sommes petits, nous acquiesçons très souvent aux propos que peuvent tenir nos parents).

De multiples personnes suivent cette démarche, ou « stratégie ».

Dans cette situation, de multiples règles en découlent, notamment celle de ne pas avoir de difficultés, ce que nous ne pouvons pas faire si l'on se précipite, ne rien omettre.Puis, selon Descartes, l'attitude précédente est impossible à l'homme pressé.

Il a bien pris conscience de la possibilité qu'offre le doute, mais sans méthode, le doute n'a absolument aucune valeur ; bien au contraire, il donnerait l'illusion de connaissance alors que ça n'est pas le cas, se serait vouloir se montrer supérieur, être quelqu'un que nous ne sommes pas.

      Cette dernière catégorie de personnes n'ont surement aucun problème à percevoir ce qui est vrai, mais essentiellement pour l'inventer.

Descartes différencie les esprits qui veulent absolument détenir la vérité en l'inventant parfois, et ceux qui suivent les opinions des autres.      En conclusion, sans méthode sûre, le doute ne signifie rien, il ne faut donc pas se précipiter ni manquer d'inventivité dans la découverte de la vérité.

Il est préférable de détenir des opinions incertaines plutôt qu'une illusion de connaissances.      On peut alors s'attarder sur l'étude de deux expressions centrales qui résume la thèse de l'auteur : « prendre la liberté de douter des principes qu'ils ont reçus » et « tenir le sentier qu'il faut prendre pour aller plus droit ». La première citation souligne qu'il faut peut-être prendre le temps de douter, de réfléchir avant d'établir un jugement qui pourrait causer des torts par la suite.

        La deuxième citation souligne le fait que personne n'est capable d'avancer dans la vie uniquement en se basant sur une illusion de connaissances.     On comprend alors, grâce à ces deux citations qu'il est préférable de connaître la méthode avant d'affirmer un jugement.. »

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