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LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE

Publié le 30/09/2011

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SOMMAIRE    INTRODUCTION    I- Les précurseurs    II- Les classiques    A- La théorie de la valeur travail  B- Approche macroéconomique  C- Le libéralisme économique    III- Marx    A- Le matérialisme historique  B- La théorie d’exploitation  C- Baisse tendancielle des taux de profit    IV- Les néo-classiques    A- De la valeur travail a la valeur utilité  B- De le macro à la micro économie  C- Théorie de l’équilibre    V- Les Keynésiens    CONCLUSION

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« A- Théorie de la valeur travailLes classiques pensent que la valeur d'un loisir dépend de la quantité de travail nécessaire à sa fabrication.

Il fauprendre en compte le travail direct et le travail indirect.

(Travail pour l'objet= direct ; et pour l'outil qui créer l'objet=indirect). -3- B- Approche macroéconomiqueIls font une analyse de la société au niveau global.

La société se divise en classe social : les travailleurs, lescapitalistes, les propriétaires terriens.

Ils examinent les revenus des différentes classes, leurs évolutions etinteractions.

Par exemple chez Ricardo, le salaire rémunère les travailleurs.

Selon lui, il existe un salaire naturel.C'est le salaire qui permet au travailleur de « subsister et de perpétuer leur leurs sans accroissement ni diminution ».De plus, si le salaire s'écarte de cette valeur, les familles seraient plus nombreuses, et l'augmentation du nombre detravailleur ramènerait automatiquement le salaire versé au niveau du salaire naturel. C- Le libéralisme économiqueL'intervention de l'Etat n'est pas nécessaire et repose sur trois principes :La main invisible (Smith) : principe selon lequel tout individu poursuit un but strictement individuel, contraire àl'intérêt collectif ou à la propriété général ( par exemple, si un produit n'est pas très fabriqué il y a augmentation duprix et donc augmentation des profits qui attire la concurrence et augmente l'offre).La loi des débouchés (Say) : loi selon laquelle l'offre créer sa propre demande se qui rend impossible les crises desurproduction.

Selon se raisonnement, la valeur des biens produit est nécessairement égal à la valeur de lademande.Libre échange : théorie selon laquelle un état a intérêt à ouvrir ses frontières et à se spécialisé dans les produitspour lesquels il est avantagé (Smith et Ricardo)Le libéralisme est donc la loi du « laisser faire, laisser passer » où tous s'équilibre sans aucune intervention. III.

MarxKarl Marx prône le matérialisme historique, la théorie de l'exploitation, et la baisse tendancielle du taux de profit. -4- A.

Le matérialisme historique :Selon Marx, l'histoire de la société c'est la lutte des classes :à chaque époque oppresseur et opprimé sont enopposition.

(Esclave et homme libre, patron et employés,…) Chacune de ses luttes c'est terminé soit par unetransformation révolutionnaire, soit par la disparition de l'une des classes.

Ce processus doit conduire aucommunisme (société sans classe). B.

Théorie d'exploitation :Comme chez les classiques, la valeur des biens correspond au temps de travail de leurs réalisations (travail direct =travail vivant ; travail indirect = travail mort).

Il existe une population au chômage : « armée industrielle deréserve ».

L'augmentation de l'offre conduit à une baisse du prix du travail et donc du salaire, alors la rémunérationde la force de travail devient inférieur à la valeur du produit, d'où l'apparition de plus value au profit despropriétaires des moyens de production. C.

Baisse tendancielle des taux de profit :Étant donnée la concurrence entre capitaliste, il y a une utilisation de plus en plus importante des machines.

Cela setraduit simultanément par une surproduction de capitaux et une sous consommation de biens.

Il y a donc unesurproduction de plus en plus importante qui conduira à la perte du capitalisme. IV.

Les néo-classiquesLes principaux auteurs sont Jevons (1835-1882), Menger (1840-1921), Marshal (1842-1928), et Pigou (1920- ). A.

De la valeur travail à la valeur utilité.Ils abandonnent la théorie de la valeur travail au profit dune théorie de la valeur utilité.

Selon cette théorie, lavaleur des biens ne dépend pas de la quantité de travail, mais de l'utilité ou de la satisfaction qu'ils procurent à celuiqui le consomme.-5-B.

De la macro à la micro économieOn part d'un individu type supposé rationnel (homo œconomicus), consommateur ou producteurs, et on suppose quela somme des comportements types donnera une solution type de la consommation.

Il n'est donc plus nécessaire dese reporter aux classes sociales. C.

Théorie de l'équilibreLes agents économiques expriment leurs besoins sur des marchés ou se déterminent les prix, en général on distinguetrois types de marchés :Le marché des biens et servicesLe marché du travailLe marché du capital. »

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