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L'euthanasie argumentation : le contre

Publié le 10/11/2012

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euthanasie
Arguments contre : Interdit par de nombreuses religions : - l'homme ne dispose pas de sa vie : elle est un don (christianisme et islam par exemple) ; risque de dérapage : - pressions financières sur le malade à cause du coût élevé des soins pour les proches ; - pressions financières pour les plus pauvres, qui risquent de « préférer « mourir rapidement ; - pressions morales de la part des proches ; - difficulté de changer d'avis à partir d'un certain point (inconscience) ; - interférence fréquente entre les notions de souffrance du patient et de souffrance de l'entourage ; - idéal pour dissimuler un meurtre ; risque de dérive : - eugénisme, sélection des individus par rapport à une conception de la vie bonne ; - par suite, peut devenir un instrument de domination sociale ; - sans compter les héritiers qui peuvent en profiter pour accélérer un héritage ; - inutilité : Une partie des médecins estime que les progrès en matière d'anti-douleurs et de tranquillisants (soins palliatifs) rendent l'euthanasie inutile. incapacité de décider, la décision peut être prise par quelqu'un d'autre.   Mes 14 bonnes raisons de dire non à l’euthanasie Et voici notre bonne Toussaint, désormais flanquée d’Halloween et de la prétendue « journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité «. Et voilà le marronnier, particulièrement de saison : l’euthanasie, et son sondage mortifère. Oublions la belle promesse de la Toussaint, nous ne débattrons plus désormais ces jours-ci que du nouvel élargissement de l’euthanasie. En ce 2 novembre, jour des morts, on peut désormais se souvenir qu’ils auraient tout de même pu partir plus tôt. Avec une petite aide de notre part… Cette année, l’information se répand : 94% des Français sont favorables à l’euthanasie et l’ADMD – c’est un autre marronnier - « réclame un débat «. Nous ne serions donc que 6% à refuser que l’Homme puisse donner la mort légalement, techniquement, médicalement. L’adhésion serait « massive «, les opposants presqu’inexistants, quasi insignifiants. C’est triste mais c’est évidemment insuffisant pour changer de convictions. Je ne reprendrai pas ici mes positions, amplement développées dans mes précédents billets, mais il faut redire simplement qu’on ne doit pas se résigner à sanctionner l’indignité prétendue d’un Homme par la mort, que la France est parvenue à un compromis législatif (cf. point 12) largement ignoré des Français, y compris des soignants et qu’il n’y a pas lieu d’ouvrir ce nouveau débat, réclamé par les ultras de l’euthanasie. Voilà mes quatorze bonnes raisons de m’opposer à l’euthanas...
euthanasie

« - par suite, peut devenir un instrument de domination sociale ; - sans compter les héritiers qui peuvent en profiter pour accélérer un héritage ; - inutilité : Une partie des médecins estime que les progrès en matière d'anti-douleurs et de tranquillisants (soins palliatifs) rendent l'euthanasie inutile.

incapacité de décider, la décision peut être prise par quelqu'un d'autre.   Mes 14 bonnes raisons de dire non à l'euthanasie Et voici notre bonne Toussaint, désormais flanquée d'Halloween et de la prétendue « journée mondiale pour le droit de mourir dans la dignité ».

Et voilà le marronnier, particulièrement de saison : l'euthanasie, et son sondage mortifère.

Oublions la belle promesse de la Toussaint, nous ne débattrons plus désormais ces jours-ci que du nouvel élargissement de l'euthanasie.

En ce 2 novembre, jour des morts, on peut désormais se souvenir qu'ils auraient tout de même pu partir plus tôt.

Avec une petite aide de notre part... Cette année, l'information se répand : 94% des Français sont favorables à l'euthanasie et l'ADMD - c'est un autre marronnier - « réclame un débat ».

Nous ne serions donc que 6% à refuser que l'Homme puisse donner la mort légalement, techniquement, médicalement. L'adhésion serait « massive », les opposants presqu'inexistants, quasi insignifiants.

C'est triste mais c'est évidemment insuffisant pour changer de convictions. Je ne reprendrai pas ici mes positions, amplement développées dans mes précédents billets, mais il faut redire simplement qu'on ne doit pas se résigner à sanctionner l'indignité prétendue d'un Homme par la mort, que la. »

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