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l'inconscience selon Freud

Publié le 09/02/2015

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Antoine Catesson TL Philosophie Explication de texte Freud Ce texte de Freud nous présente une analyse sous forme de polémique sur la relation entre les actes et la conscience et le psychique chez l'être humain à travers une hypothèse. Freud fais deux chose en une seule. D'une part il nous explique son Hypothèse sur l'existence d'un psychique inconscient qui peut influencer les hommes dans certains de leurs comportements puis il démontre aux lecteurs pourquoi cette même hypothèse est importante et a le mérite d'être défendue. Celui-ci se lance donc dans une explication tout en faisant attention à ce que les lecteurs ne fassent pas d'amalgame entre l'inconscient et la conscience chez les êtres sain et les malades. Au début du texte Freud révoque que certains conteste l'hypothèse qu'un psychique inconscient existe en nous. L'auteur se lance donc à prouver la légitimité de l'hypothèse aux yeux des lecteurs. Cela étant fait Freud démontre que tout le monde est concerné être sain d'esprit comme malade. Puis il soulève un problème se présentant comme un mystère sur l'origine de certaines de nos pensées et d'idée pouvant alors être mis en commun avec l'hypothèse de l'auteur. S'en suis alors d'un raisonnement propose par Freud consistant à mettre en commun la relation l'influence du psychisme sur les actes conscients et inconscient pouvant donner ainsi ensemble cohérent. Ce raisonnement étant fait l'auteur fait la remarque que son hypothèse fonctionne grâce aux processus mené par l'auteur et écouté ainsi que compris des lecteurs. Le texte ce termine par un coup de grâce de Freud porté à ceux qui ...

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« La deuxième partie du texte enchaine directement sur ce que l’auteur a dit auparavant.

Ainsi Freud explique aux lecteurs pourquoi l’hypothèse de l’inconscient est nécessaire.

En effet celui-ci traite les données déjà en notre possession sur la conscience comme « lacunaire ».

Qu’entend-il par la ? Insulte ou remarque a ceux qui ont autrefois étudié le sujet de la conscience, Freud les caractérises comme trop fragile pour les utiliser comme une unique base d’étude sur le psychisme chez les hommes sain et Malade.

Le fait qu’il existe deux catégories montre aussi aux lecteurs que personne n’y échappe et donc qu’ils sont tous concernée renforçant ainsi leur désir de comprendre ce que dit l’auteur.

Freud ne s’arrête pas là pour autant.

Il continu à vouloir mettre à thèse en valeur en limitant celles des autres.

Car oui l’auteur prône qu’il existe des actes psychiques qui lorsque l’on les explique « présupposent » c’est-à-dire qui peuvent amorcer « d’autres actes » qui eux ne disposent pas d’un lien direct avec la conscience du sujet.

Cependant Freud ne donne pas d’exemple, mais il empêche tout de même les lecteurs de ne pas faire d’amalgame avec leurs raison et la sienne.

J’entends la que l’auteur fais une liste de ce que ces actes non liée a la conscience pourraient être pour les deux catégories qui sont rappelons-le « les sain et les malade ».les exemple sont donc : les actes manqués ou rêves pour les hommes sain d’esprit, c’est-à-dire les actions ou les choix que l’on n’a pas pris et que on ne sait pas pourquoi, et les rêve que l’on explique pas faute de lien entre les éléments de nos rêve qui pourtant notre esprit coordonne pour qu’il y ait du sens.

Puis il y a les symptômes psychiques et les Phénomènes compulsionnels pour les malades qui désigne les comportements étranges telle que le dédoublement de personnalité, la schizophrénie ou peut-être tout simplement la folie et les tics et les tocs ainsi que d’autre syndromes que le corps ne contrôle pas mais qui pourtant doivent tout de même provenir d’un commandement intérieur que le corps et la conscience dû a la maladie n’a pas su contrôler.

Tout cela bien sur Freud le résume en mettant c’est caractéristiques dans le même panier : dont l’origine est inconnue. Freud ne s’arrête pas là avec ceux qui ne sont pas d’accord avec son hypothèse.

Désignant les actes conscients comme incohérent et incompréhensible si l’on se force à voir la conscience comme un ensemble d’actes psychiques.

Le « si » dans cette remarque a son importance car il offre une place à la thèse de Freud dans ce raisonnement et celui le fait immédiatement par une objection débutant par le mot « mais ».

En effet Freud pense que si l’on additionne les actes inconscients a ceux qui sont conscient c’est-à-dire ceux dont le corps et l’esprit on le contrôle, alors survient un ensemble ordonne ayant du sens telle un calcul.

Mais comment se l’imaginer ? L’exemple le plus prompt serait de prendre une situation où l’esprit agit d’instinct et donc de manière un peu inconsciente car ce n’est pas notre raison qui a choisi de nous faire agir ainsi mais l’évènement et la réaction inconsciente de notre esprit qui prend alors une influence sur notre agissement.

Le choix étant alors fait de manière rapide et inconscient c’est ensuite au corps que nous contrôlons avec plus d’agilité qui pourtant suis la confiance et la détermination de notre inconscience nous faisant alors commettre des actes par moment surprenant voir insoupçonné.

Il s’agit ici d’un enchevêtrement rapide d’acte conscient et inconscient ne faisant qu’un de manière cohérente. La quatrième partie se voit être comme une conclusion de ce que Freud a démontré ici aux lecteurs.

L’auteur débute donc sur le résultat de son raisonnement en fin de la troisième partie.

La cohérence qui jaillit si l’on additionne actes de conscience et inconscience se voit. »

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