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Rouge et le noir: texte jardin

Publié le 24/02/2014

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I-Un personnage inadapté à son millieu 1) Un être en opposition avec sa famille -J # membre de sa famille -> père et frère brute : désignation péjoratif « espèce de « + hyperboles « géants «, « énorme « voc expriment hostilité « armés de lourdes haches «. Les frère de J = créature menaçante et effrayantes + être silencieux qui effectue travail mécanique et répétitif. -Endroit bruyant -> bruit de sci. Le père Sorel tente veinement d'appeler sont fils -> Négation « personne ne repondit « + « Ils n'entendirent « -> tentative echoue malgré « vois sentor du père «. -Opposition physique ( brute # taille mince) + intellectuelle ( julien lit # pas sa famille) « Julien lisait « « il ne savait pas lire lui même «. -> Violence père quand julien lit car pour lui c'est de la paresse. Voc péjoratif « manie odieuse « ; « maudits livre «. Pour sorel, s'instruire = perdre son temps. 2) Un être méprisé et maltraité -Être méprisé dès sa naissance -> finesse de sa constitution est assimilé à de la faiblesse : « dès sa naissance « le père voit comme une charge. Julien est « l'objet de mépris de tous « -Un être battu : victime de la violence de son père -> phrase longue, répétition de « coups «, « violent «, « frapper « construite par énumération « un coup violent..lui fit perdre l'équilibre «. -Verbe exprimant violence « chasser «, « faire voler «, « frapper « montre que J maltraité. Julien= soufre douleur de tous, être rejeté. -Violence verbale : discourt direct du père où St donne parole à la violence -> insulte « animal «, « paresseux «, + ordre « dessends «. 3) Un être animé par la haine. -La terreur de J rendue sensible par exlamation « Dieu sait ce qu'il va me faire ! « -Un être humilié : Intrusion violente du père dans l'intimité de J + mépris du père provoquent sentiment d'humilitiation. J triste car son livre jeté dans le ruisseau. -Humiliation suscite chez J un sentiment de haine envers son père. « Il haïssait « + « expression de la haine la plus féroce « => St fait entré J dans une situation humiliante et en l'animant de sentiment peu sympathiques. II-L'entrée en scène d'un héros 1) Une entrée retardée. Lecteur pas encore vus le héros. Il en a slm entendu parler. -Situation de départ : Père qui cherche son fils. Point de vus omnicient : par moment, lecteur voit à travers yeux du père grace au verbe de perception « il ne vit « « il l'aperçut «. Lecteur cherche J comme le père. Puis le lecteur a ensuite accès à l'intériorité de J : phrase de monologue intérieur + l'adverbe « tristement «. -Le portrait repris au dernier §. -Personnage silencieux -> concentration sur son aspect physique et l'expression du regard. 2) Posture signifiante. -Une position en hauteur -> position dominate « à cinq ou six pieds plus haut «= théatralisation de la situation du personnage. -Titre du livre signifiant : Memorial de St-Hélène qui raconte captivité de Napoléon. Double mise en relief ( emphase+superlatif) « c'était celui de tous qu'il affectionnait le plus « Julien= enfant grandit dans l'exaltation des campagnes napéolienne => livre donné pas un de ses mentors, vieux chirurgiens major, qui a participé a la compagne d'italie. 3) Un personnage hors du commun.Être à part : constitution phisique fragile, inadapté activité phisique « taille mince peu propre aux travaux forcés «. Comparatif de superiorité « plus saisissante « ses caractéristiques physiques hors du commun. -Son caractère exeptionnel dans une famille de brutes mis en evidence pas qualité « l'air pensif « « délicatesse des traits «, « un nez aquilin «... -Une vie intérieure intense : image du feu utilisée :« grands yeux noirs..annonçaient refléxion et du feu«. -Un portrait en constrate : Fragilité exterieure et feu intérieure d'un être « faible apparence «. Perso qui attire compassion du lecteur puis sympathie.

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