Sujet-Texte: Sénèque, « lettre 72 à Lucilus »

« 2/2 « Le bonheur est à ceu x qui se suffisent à eux-mêmes.

» Aristote.

Le bonheur est un besoin recherché de tous, il est dans notre âme porté par notre sagesse.

Ne compter que sur soi même, et oublier les incommodités d’autrui, c’est trouver sa félicité.

Comment le bonheur peut -il dépendre que de nous étant don ner de notre vie en société ? Autrui peut -il influencer notre perception du bonheur ? En quoi influençons -nous notre propre bonheur ? Dans quelle mesure ? Examinons, dans un premier temps, le fait d’être soi même pour être heureux.

L’homme sage ne le doit qu’à lui -même, sa sagesse nait en même temps que lui , « le sage ne dépend que de lui ».

Chacun choisit son bonheur, celui -ci peut être effleuré mais jamais atteint en profondeur.

On peut aussi comparer la sagesse a la santé , celle si, une foi trouvé ne se perd plus, contrairement au malade qui peut faire une rechute après une brève guérison.

Sénèque montre que la sagesse est toujours présente mais pas forcément déclarer, comme certaine maladie.

Le bonheur a c’est degré de satisfaction pour c hacun, l’homme qui ne voit pas le malheur ne trouvera pas forcément le bonheur et que l’homme plein de malheur verra celui -ci un jour s’arrêter.

« Car ce qui peut recevoir une addition est inachevée ; ce qui admet la soustraction n’est pas perpétuel ».

Dans un second temps, nous pourrons voir que le bonheur n’est pas forcement si personnel.

L’homme sage peut ne plus vouloir de cette sagesse, il parviendra à s’en séparer si la est son désire, ou tout au moins la masquer, tel le fait un criminel.

La sag esse peut aussi naitre dans un individu au bout d’un certain temps, suite à un changement brutal de mode de vie, de mentalité, celle -ci peut évoluer avec le temps en se bonifiant ou en se dégradant.

Un individu peut voir son bonheur dans ce qu’il veut, l’homme qui en veut toujours plus pour être heureux, et celui dont le seul faite de pouvoir vivre comme il le souhaite ne veulent pas changer de situation, ils vivent dans la société qui leur corresponde avec les gens qu’ils apprécient.

La société dans laquelle nous vivons influe sur notre mentalité ainsi notre manière de voir le bonheur, elle définie des règles que chacun se doit de respecter pour parvenir au bonheur de chacun et pas ce contenter de celui de sa propre personne.

On peut donc dire que c hacun peut trouver une part du bonheur en soit mais aussi dans son entourage.

Le bonheur d’un ne fait pas celui de tous le monde, les règles sont la pour le faire savoir.

L’homme qui veut la sagesse à la sagesse celui qui n’en veut plus peut l’oublier.. »