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A Propos Dickens: Charles John Huffam Dickens pen-name "Boz", was the foremost English novelist of the Victorian era, as well as a vigorous social campaigner.

Publié le 15/12/2013

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dickens
A Propos Dickens: Charles John Huffam Dickens pen-name "Boz", was the foremost English novelist of the Victorian era, as well as a vigorous social campaigner. Considered one of the English language's greatest writers, he was acclaimed for his rich storytelling and memorable characters, and achieved massive worldwide popularity in his lifetime. Later critics, beginning with George Gissing and G. K. Chesterton, championed his mastery of prose, his endless invention of memorable characters and his powerful social sensibilities. Yet he has also received criticism from writers such as George Henry Lewes, Henry James, and Virginia Woolf, who list sentimentality, implausible occurrence and grotesque characters as faults in his oeuvre. The popularity of Dickens' novels and short stories has meant that none have ever gone out of print. Dickens wrote serialised novels, which was the usual format for fiction at the time, and each new part of his stories would be eagerly anticipated by the reading public. Source: Wikipedia Disponible sur Feedbooks Dickens: Oliver Twist (1837) Cantique de Noël (1843) David Copperfield - Tome I (1850) Les Grandes espérances (1861) David Copperfield - Tome II (1950) Les Conteurs à la ronde (1886) Le Grillon du foyer (1845) Le Signaleur (1886) Le Magasin d'antiquités - Tome I (1840) Le Magasin d'antiquités - Tome II (1840) Note: This book is brought to you by Feedbooks http://www.feedbooks.com Strictly for personal use, do not use this file for commercial purposes. Chapitre 1 Les Pickwickiens. Le premier jet de lumière qui convertit en une clarté brillante les ténèbres dont paraissait enveloppée l'apparition de l'immortel Pickwick sur l'horizon du monde savant, la première mention officielle de cet homme prodigieux, se trouve dans les statuts insérés parmi les procèsverbaux du Pickwick-Club. L'éditeur du présent ouvrage est heureux de pouvoir les mettre sous les yeux de ses lecteurs, comme une preuve de l'attention scrupuleuse, de l'infatigable assiduité, de la sagacité investigatrice, avec lesquelles il a conduit ses recherches, au sein des nombreux documents confiés à ses soins. « Séance du 12 mai 1831, présidée par Joseph Smiggers, Esq. V.P.P.M.P.C.[1] a été arrêté ce qu'il suit à l'unanimité. « L'ASSOCIATION a entendu lire avec un sentiment de satisfaction sans mélange et avec une approbation absolue, les papiers communiqués par Samuël Pickwick, Esq. P.P.M.P.C.[2], et intitulés Recherches sur les sources des étangs de Hampstead, suivies de quelques observations sur la théorie des têtards. « L'ASSOCIATION en offre ses remercîments les plus sincères audit Samuël Pickwick, Esq. P.P.M.P.C. « L'ASSOCIATION, tout en appréciant au plus haut degré les avantages que la science doit retirer des ouvrages susmentionnés, aussi bien que des infatigables recherches de Samuël Pickwick dans Hornsey, Highgate, Brixton et Camberwell[3], ne peut s'empêcher de reconnaître les inappréciables résultats dont on pourrait se flatter pour la diffusion des connaissances utiles, et pour le perfectionnement de l'instruction, si les travaux de cet homme illustre avaient lieu sur une plus vaste échelle, c'est-à-dire si ses voyages étaient plus étendus, aussi bien que la sphère de ses observations. « Dans ce but, l'ASSOCIATION a pris en sérieuse considération une proposition émanant du susdit Samuël Pickwick, Esq. P. P.M.P.C., et de trois autres pickwickiens ci-après nommés, et tendant à former une nouvelle branche de pickwickiens-unis, sous le titre de Société correspondante du Pickwick-Club. « Ladite proposition ayant été approuvée et sanctionnée par l'ASSOCIATION, « La Société correspondante du Pickwick-Club est par les présentes constituée ; Samuël Pickwick, Esq. P.P.M.P.C., Auguste Snodgrass, Esq. M.P.C., Tracy Tupman, Esq. M.P. C., et Nathaniel Winkle, Esq. M.P.C., sont également, par les présentes, choisis et nommés membres de ladite Société correspondante, et chargés d'adresser de temps en temps à l'ASSOCIATION DU PICKWICK-CLUB, à Londres, des détails authentiques sur leurs voyages et leurs investigations ; leurs observations sur les caractères et sur les moeurs ; toutes leurs aventures enfin, aussi bien que les récits et autres opuscules auxquels pourraient donner lieu les scènes locales, ou les souvenirs qui s'y rattachent. « L'ASSOCIATION reconnaît cordialement ce principe que les membres de la Société correspondante doivent supporter eux-mêmes les dépenses de leurs voyages ; et elle ne voit aucun inconvénient à ce que les membres de ladite société poursuivent leurs recherches pendant tout le temps qu'il leur plaira, pourvu que ce soit aux mêmes conditions. « Enfin les membres de la susdite société sont par les présentes informés que leur proposition de payer le port de leurs lettres et de leurs envois a été discutée par l'ASSOCIATION ; que l'ASSOCIATION considère cette offre comme digne des grands esprits dont elle émane, et qu'elle lui donne sa complète approbation. » Un observateur superficiel, ajoute le secrétaire, dans les notes duquel nous puisons le récit suivant ; un observateur superficiel n'aurait peut-être rien trouvé d'extraordinaire dans la tête chauve et dans les besicles circulaires qui étaient invariablement tournées vers le visage du secrétaire de l'Association, tandis qu'il lisait les statuts ci-dessus rapportés ; mais c'était un
dickens

« Chapitre 1 Les Pickwickiens.

Le premier jetdelumière quiconvertit enune clarté brillante lesténèbres dontparaissait enveloppée l’apparitiondel’immortel Pickwicksurl’horizon dumonde savant, lapremière mention officielle decet homme prodigieux, setrouve danslesstatuts insérés parmilesprocès- verbaux duPickwick-Club.

L’éditeurduprésent ouvrage estheureux depouvoir lesmettre sous les yeux deses lecteurs, commeunepreuve del’attention scrupuleuse, del’infatigable assiduité, delasagacité investigatrice, aveclesquelles ila conduit sesrecherches, ausein des nombreux documents confiésàses soins. «  Séance du12mai 1831, présidée parJoseph Smiggers, Esq.V.P.P.M.P.C.

[1] a été arrêté cequ’il suit àl’unanimité.

« L’ASSOCIATION aentendu lireavec unsentiment desatisfaction sansmélange etavec une approbation absolue,lespapiers communiqués parSamuël Pickwick, Esq.P.P.M.P.C.

[2] ,et intitulés Recherches surlessources desétangs deHampstead, suiviesdequelques observations sur lathéorie destêtards . « L’ASSOCIATION enoffre sesremercîments lesplus sincères auditSamuël Pickwick, Esq. P.P.M.P.C.

« L’ASSOCIATION, toutenappréciant auplus haut degré lesavantages quelascience doit retirer desouvrages susmentionnés, aussibienquedesinfatigables recherchesdeSamuël Pickwick dansHornsey, Highgate, BrixtonetCamberwell [3] ,ne peut s’empêcher dereconnaître les inappréciables résultatsdontonpourrait seflatter pourladiffusion desconnaissances utiles, etpour leperfectionnement del’instruction, siles travaux decet homme illustreavaient lieu surune plus vaste échelle, c’est-à-dire sises voyages étaientplusétendus, aussibienquela sphère deses observations. « Dans cebut, l’ASSOCIATION apris ensérieuse considération uneproposition émanantdu susdit Samuël Pickwick, Esq.P.P.M.P.C., etde trois autres pickwickiens ci-aprèsnommés, et tendant àformer unenouvelle branchedepickwickiens-unis, sousletitre de Société correspondante du Pickwick-Club. « Ladite proposition ayantétéapprouvée etsanctionnée parl’ASSOCIATION, « La Société correspondante du Pickwick-Club estpar lesprésentes constituée ; Samuël Pickwick, Esq.P.P.M.P.C., AugusteSnodgrass, Esq.M.P.C., TracyTupman, Esq.M.P.

C.,et Nathaniel Winkle,Esq.M.P.C., sontégalement, parlesprésentes, choisisetnommés membres de ladite Société correspondante , et chargés d’adresser detemps entemps àl’ASSOCIATION DU PICKWICK-CLUB, àLondres, desdétails authentiques surleurs voyages etleurs investigations ; leursobservations surlescaractères etsur lesmœurs ; toutesleursaventures enfin, aussibienquelesrécits etautres opuscules auxquelspourraient donnerlieulesscènes locales, oules souvenirs quis’yrattachent. « L’ASSOCIATION reconnaîtcordialement ceprincipe quelesmembres dela Société correspondante doivent supporter eux-mêmes lesdépenses deleurs voyages ; etelle nevoit aucun inconvénient àce que lesmembres deladite société poursuivent leursrecherches pendant toutletemps qu’illeurplaira, pourvu quecesoit auxmêmes conditions. « Enfin lesmembres delasusdite société sontparlesprésentes informésqueleur proposition de payer leport deleurs lettres etde leurs envois aété discutée parl’ASSOCIATION ; que l’ASSOCIATION considèrecetteoffrecomme dignedesgrands espritsdontelleémane, et qu’elle luidonne sacomplète approbation. » Un observateur superficiel,ajoutelesecrétaire, danslesnotes duquel nouspuisons lerécit suivant ; unobservateur superficieln’auraitpeut-être rientrouvé d’extraordinaire danslatête chauve etdans lesbesicles circulaires quiétaient invariablement tournéesverslevisage du secrétaire del’Association, tandisqu’illisait lesstatuts ci-dessus rapportés ; maisc’était un. »

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