-- Ah !
Publié le 30/10/2013
Extrait du document
«
Charles
wentaway.
— Mon petitvieux, luirépondit Gabriel,mêle-toi detes cipolles.
Sheknows whyand
she bothers mequite alot.
— Oh ! mais,s’écria Zazie,voilàmaintenant quetusais parler leslangues forestières.
— Je nel’ai pas faitesprès, répondit Gabrielenbaissant modestement lesyeux.
— Most interesting, ditun des voyageurs.
Zazie revintàson point dedépart.
— Tout çane me ditpas pourquoi charlamilébou.
Gabriel s’énerva.
— Parce quetului disais destrucs qu’ilcomprenait pas.Destrucs pasdeson âge.
— Et toi,tonton Gabriel, sije te disais destrucs quetucomprendrais pas,destrucs pas
de ton âge, qu’est-ce quetuferais ?
— Essaie, ditGabriel d’untoncraintif.
— Par egzemple, continuaZazieimpitoyable, sije te demandais, t’esunhormosessuel
ou pas ? est-ce quetucomprendrais ? Çaserait-i deton âge ?
— Most interesting, ditun voyageur (lemême quetoutàl’heure).
— Pauvre Charles,soupiraGabriel.
— Tu réponds, ouioumerde, criaZazie.
Tucomprends cemot-là : hormosessuel ?
— Bien sûr,hurla Gabriel, veux-tuquejete fasse undessin ?
La foule intéressée approuva.Quelques-uns applaudirent.
— T’es paschiche, répliqua Zazie.
C’est alorsqueFédor Balanovitch fitson apparition.
— Allons grouillons ! qu’ilsemit àgueuler.
Schnell ! Schnell ! remontons danslecar et
que çasaute.
— Where arewegoing now ?
— À laSainte-Chapelle, réponditFédorBalanovitch.
Unjoyau del’art gothique.
Allons
grouillons ! Schnell !Schnell !
Mais lesgens grouillaient pas,fortement intéressés parGabriel etsa nièce.
— Là, disaitcelle-ci àcelui-là quin’avait riendessiné, tuvois quet’espas chiche.
— Ce qu’elle peutêtretannante, disaitcelui-là.
Fédor Balanovitch, remontédeconfiance àson bord, s’aperçut qu’iln’avait étésuivi que
par trois ouquatre minus.
— Alors quoi,beugla-t-il, ya pus dediscipline ? Qu’est-cequ’ilsfoutent, bondieu !
Il donna quelques coupsdeclaqueson.
Çanefitbouger personne.
Seul,unflic,
préposé auxvoies dusilence, leregarda d’unœilnoir.
Comme FédorBalanovitch ne
souhaitait pasengager unconflit vocalavecunpersonnage decette espèce, il
redescendit desaguérite etse dirigea verslegroupe deses administrés afindese
rendre compte decequi pouvait lesentraîner àl’insubordination.
— Mais c’estGabriella, s’esclama-t-il.
Qu’est-cequetufous là ?
— Chtt chtt,fitGabriel cependant quelecercle deses admirateurs s’enthousiasmait
naïvement auspectacle decette rencontre.
— Non mais,continuait FédorBalanovitch, tune vas tout demême pasleur faire le
coup deLaMort ducygne entutu ?
— Chht chht,fitde nouveau Gabrieltrèsàcourt dediscours.
— Et qu’est-ce quec’est quecette môme quetutrimbales avectoi ?oùque tul’as
ramassée ? — C’est manièce ettâche àvoir derespecter mafamille mêmemineure.
— Et lui,qui c’est ? demanda Zazie.
— Un copain, ditGabriel.
FédorBalanovitch.
— Tu vois,ditFédor Balanovitch àGabriel, jene fais plus lebâille-naïte, jeme suis
élevé danslahiérarchie socialeetj’emmène touscescons àla Sainte-Chapelle.
— Tu pourrais peut-être nousrentrer àla maison.
Aveccettegrève destranstrucs en.
»
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