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de tous ses membres.

Publié le 12/04/2014

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de tous ses membres. Il y a des mois maintenant que Dobby est au courant. Harry Potter ne doit pas mettre sa vie en péril. Il est trop important, Monsieur ! --Et quels sont ces événements si terrifiants ? demanda aussitôt Harry. Qui est à l'origine de ce complot ? Un drôle de bruit s'échappa de la gorge de Dobby qui se cogna frénétiquement la tête contre le mur. --D'accord, d'accord ! s'exclama Harry en saisissant l'elfe par le bras pour l'éloigner du mur. Vous ne pouvez pas me le dire, je comprends très bien. Mais pourquoi prenez-vous la peine de me prévenir, moi ? Une pensée désagréable lui vint alors à l'esprit. --Attendez... Est-ce que ça aurait quelque chose à voir avec Vol... pardon, avec Vous-Savez-Qui ? Répondez-moi simplement d'un signe de tête, s'empressa-t-il d'ajouter en voyant que Dobby s'approchait à nouveau du mur. Lentement, Dobby fit « non » de la tête. --Non... Cela ne concerne pas Celui-Dont-Le-Nom-Ne-Doit-Pas-Etre-Prononcé, Monsieur. Mais les yeux de Dobby étaient grands ouverts comme s'il essayait de suggérer quelque chose à Harry. Celui-ci, cependant, ne voyait absolument pas où il voulait en venir. --Il n'a pas de frère ? Dobby hocha à nouveau la tête, les yeux plus exorbités que jamais. --Dans ce cas, je ne vois pas qui d'autre aurait le pouvoir de provoquer des événements terrifiants à Poudlard, dit Harry. Surtout face à Dumbledore... Vous savez qui est Dumbledore, n'est-ce pas ? Dobby baissa la tête. --Albus Dumbledore est le plus grand directeur que Poudlard ait jamais eu. Dobby le sait, Monsieur. Dobby a entendu dire que les pouvoirs de Dumbledore rivalisent avec ceux de CeluiDont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom au plus fort de sa puissance. Pourtant, Monsieur... La voix de Dobby se transforma en un murmure pressant. --Il y a des pouvoirs que Dumbledore ne... des pouvoirs qu'un sorcier digne de ce nom... Et avant que Harry ait eu le temps de réagir, Dobby sauta du lit, attrapa la lampe posée sur le bureau de Harry et commença à se donner des coups sur la tête en poussant des cris assourdissants. Au rez-de-chaussée, il y eut un silence soudain. Un instant plus tard, Harry, le coeur battant à tout rompre, entendit l'oncle Vernon se diriger vers le hall en lançant d'une voix forte : --Dudley a encore dû laisser sa télévision allumée, le garnement ! --Vite ! Dans le placard ! murmura Harry en poussant Dobby dans la penderie qu'il referma sur lui. Il se jeta ensuite sur le lit au moment où la poignée de la porte tournait. --Tu peux m'expliquer ce que tu es en train de fabriquer ? dit l'oncle Vernon sans desserrer les dents, son horrible visage tout près de celui de Harry. Tu viens de gâcher la chute de ma blague sur le golfeur japonais... Encore un bruit et je te ferai regretter d'être venu au monde, mon garçon ! Et il quitta la chambre d'un pas sonore. Tremblant de la tête aux pieds, Harry délivra Dobby de la penderie. --Vous avez vu comment c'est, ici ? dit-il. Vous comprenez pourquoi il faut que je retourne à Poudlard ? C'est le seul endroit où j'ai... enfin, où je crois avoir des amis. --Des amis qui n'écrivent même pas à Harry Potter ? dit Dobby d'un ton sournois. --J'imagine qu'ils ont dû... mais au fait... dit Harry en fronçant les sourcils. Comment savez-vous que mes amis ne m'ont pas écrit ? Dobby se tortilla sur place, visiblement mal à l'aise. --Harry Potter ne doit pas se fâcher contre Dobby. Dobby a voulu faire pour le mieux... --C'est vous qui avez intercepté mes lettres ? --Dobby les a apportées avec lui, Monsieur, dit l'elfe. Il fit un rapide pas en arrière pour rester hors de portée de Harry et tira une épaisse liasse d'enveloppes de sa taie d'oreiller. Harry reconnut l'écriture propre et nette d'Hermione et celle beaucoup plus désordonnée de Ron. Il aperçut même un gribouillis qui semblait être de la main de Hagrid, le garde-chasse de Poudlard. L'air anxieux, Dobby regarda Harry en clignant des yeux. --Harry Potter ne doit pas se mettre en colère... Dobby espérait que... si Harry Potter pensait que ses amis l'avaient oublié... Harry Potter ne voudrait plus retourner à l'école, Monsieur... Harry n'écoutait pas. Il essaya d'arracher les lettres des mains de Dobby, mais celui-ci fit un bond en arrière pour se maintenir hors de portée. --Harry Potter aura ses lettres, Monsieur, à condition qu'il donne sa parole à Dobby qu'il ne retournera pas à Poudlard. Ah, Monsieur, il ne faut pas que vous affrontiez un tel danger ! Promettez-moi que vous ne retournerez pas là-bas ! --Je ne promettrai rien du tout ! répliqua Harry avec colère. Rendez-moi les lettres de mes amis !

« —Dudley a encore dû laisser sa télévision allumée, le garnement ! —Vite ! Dans le placard ! murmura Harry en poussant Dobby dans la penderie qu'il referma sur lui.

Il se jeta ensuite sur le lit au moment où la poignée de la porte tournait.

—Tu peux m'expliquer ce que tu es en train de fabriquer ? dit l'oncle Vernon sans desserrer les dents, son horrible visage tout près de celui de Harry.

Tu viens de gâcher la chute de ma blague sur le golfeur japonais...

Encore un bruit et je te ferai regretter d'être venu au monde, mon garçon ! Et il quitta la chambre d'un pas sonore.

Tremblant de la tête aux pieds, Harry délivra Dobby de la penderie.

—Vous avez vu comment c'est, ici ? dit-il.

Vous comprenez pourquoi il faut que je retourne à Poudlard ? C'est le seul endroit où j'ai...

enfin, où je crois avoir des amis.

—Des amis qui n'écrivent même pas à Harry Potter ? dit Dobby d'un ton sournois.

—J'imagine qu'ils ont dû...

mais au fait...

dit Harry en fronçant les sourcils.

Comment savez-vous que mes amis ne m'ont pas écrit ? Dobby se tortilla sur place, visiblement mal à l'aise.

—Harry Potter ne doit pas se fâcher contre Dobby.

Dobby a voulu fa\ ire pour le mieux...

—C'est vous qui avez intercepté mes lettres ? —Dobby les a apportées avec lui, Monsieur, dit l'elfe.

Il fit un rapide pas en arrière pour rester hors de portée de Harr\ y et tira une épaisse liasse d'enveloppes de sa taie d'oreiller.

Harry reconnut l'écriture propre et nette d'Hermione et celle beaucoup plus désordonnée de Ron.

Il aperçut même un gribouillis qui semblait être de la main de Hagrid, le garde-chasse de Poudlard.

L'air anxieux, Dobby regarda Harry en clignant des yeux.

—Harry Potter ne doit pas se mettre en colère...

Dobby espérait que...

si Harry Potter pensait q\ ue ses amis l'avaient oublié...

Harry Potter ne voudrait plus retourner à l'école, Monsieur...

Harry n'écoutait pas.

Il essaya d'arracher les lettres des mains de Dobby, mais celui-ci fit un bond en arrière pour se maintenir hors de portée.

—Harry Potter aura ses lettres, Monsieur, à condition qu'il donne sa parole à Dobby qu'il ne retournera pas à Poudlard.

Ah, Monsieur, il ne faut pas que vous affr\ ontiez un tel danger ! Promettez-moi que vous ne retournerez pas là-bas ! —Je ne promettrai rien du tout ! répliqua Harry avec colère.

Rendez-moi les lettres de mes amis !. »

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