eu de marques.
Publié le 30/10/2013
Extrait du document
«
Et
ilreferma labouche.
Adam nedemanda pasàCathy sielle voulait prendre sonrepas danslacuisine.
Il
apporta deuxassiettes danslachambre ets’assit àcôté d’elle.
« Nous allonspartir, dit-il.
– C’est àmoi departir.
Jet’en prie, laisse-moi partir.Jene veux pasque tutebrouilles
avec tonfrère àcause demoi.
Pourquoi medéteste-t-il ?
– Je crois qu’ilestjaloux. »
Elle plissa lesyeux.
« Jaloux ?
– C’est ceque jepense entout cas.Mais net’inquiète pas.Nous partons.
Nousallons en
Californie. » Elle répondit calmement :
« Je neveux pasaller enCalifornie.
– Voyons.
C’estjolilà-bas.
Ilya toujours dusoleil.
– Je neveux pasaller enCalifornie.
– Tu esma femme, dit-ildoucement.
Tuviendras avecmoi. »
Elle resta silencieuse etne reparla plusdudépart.
Ils entendirent Charlesclaquerlaporte etAdam dit :
« Ça luifera dubien.
Ilva aller s’enivrer unpeu etaprès, ilse sentira mieux.
Cathy baissa modestement lesyeux etregarda sesdoigts.’
« Adam, jene pourrai êtreréellement tafemme quelorsque j’iraimieux.
– Je sais, dit-il.
Jecomprends.
J’attendrai.
– Mais ilfaut queturestes avecmoi.
J’aipeur deCharles.
Ilme hait tellement…
– -Je vaisapporter monlitici.
Tupourras m’appeler situ as peur.
Tupourras tendreta
main etme ladonner.
– Tu essibon, dit-elle.
J’aimerais boireunetasse dethé.
– Bonne idée.Moiaussi. »
Il revint bientôt aveclestasses fumantes etretourna danslacuisine chercher lesucrier.
Il s’assit dansunfauteuil prèsdulit.
« Il estfort.
N’est-ce pastrop fortpour toi ?
– Je l’aime comme cela. »
Il finit satasse.
« Tu netrouves pasqu’il aun drôle degoût ? »
Elle porta lamain àsa bouche.
« Donne quejegoûte ! (Ellebutlefond delatasse.) Adam, s’écria-t-elle, tut’es trompé
de tasse ! C’était lamienne, avecmon médicament. »
Il s’humecta leslèvres.
« Ça nepeut pasmefaire demal. »
Elle ritdoucement.
« Non.
Maisj’espère quejen’aurai pasbesoin detoi cette nuit.
– Pourquoi ?
– Tu asbu mon somnifère.
Tuaurais dumal àte réveiller. »
Adam tomba dansunsommeil lourdd’opium contrelequelilessayait delutter.
« Le docteur t’a-t-ilditdeprendre unedose aussi forte ? demanda-t-il, labouche
pâteuse.
Tu n’as pasl’habitude », dit-elle.
Charles rentraàonze heures.
Cathyentendit sespas feutrés.
Ilentra danssachambre,
se débarrassa deses vêtements etse coucha.
Ilgrogna, seretourna, cherchant une
position confortable.
Toutàcoup, ilouvrit lesyeux.
Cathy étaitdebout àson chevet.
« Que voulez-vous ?
– Qu’est-ce quevous croyez ? Poussez-vous unpeu.
– Où estAdam ?
– Il abu mon somnifère parerreur.
Poussez-vous unpeu. ».
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Reconnaître les marques du passé dans une ville Découvrir En sortant de l'école o Faire observer les deux photos.
- Instinct et raison, marques de deux natures
- marques, droit des (cours de droit des affaires).
- Phénomène sociologique des marques
- la stratégie des marques nationales